Du vendredi 10 décembre à 18h jusqu’au samedi 11 décembre à 18h, plus de 300 docteurs, médecins et scientifiques ont pris la parole sur la crise du Covid-19 pendant 24 h sans interruption. Parrainé par le Professeur Christian Perronne et la députée Martine Wonner, souvent censurés et critiqués pour leurs positions sur la gestion gouvernementale, le projet Doctothon a permis à chaque intervenant de s’exprimer librement pendant 3 minutes sur la gestion de la pandémie et ses conséquences sur les patients.
Vous pourrez retrouver dans ce marathon des témoignages de professionnels de la santé, un ensemble de profils différents, surtout des docteurs, soit en exercice mais à qui on interdit de prescrire librement des traitements à leurs patients, soit radiés parce que non vaccinés ou encore qui parlent de leur souffrance de ne plus pouvoir pratiquer leur profession de soignant. La plupart viennent de France et d’Europe mais aussi d’Israël, d’Afrique du Sud, du Maroc, d’Australie, etc.
Il s’agit pour ce Doctothon d’informer le public sur les réalités médicales de terrain liées à la crise, celles dont on entend peu parler dans les grands médias et qu’ignorent parfois le grand public. Les différents témoignages montrent un monde médical en souffrance, interdit de soigner et de prescrire librement, forcé à suivre des procédures allant à l’encontre de leur serment d’Hippocrate.
Inévitablement, il y est aussi question de liberté d’expression, ces médecins étant surveillés par l’Ordre des médecins, pouvant être radiés en cas de non-respect des directives ou éloignés des plateaux télé.
Pour ces médecins et organisateurs, une autre voie est possible en laissant aux patients et aux médecins le choix et la liberté de leur traitement. Cela permettrait notamment selon eux de réconcilier les Français entre eux, de rétablir la confiance avec le monde scientifique et médical.
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