Samedi 25 juin, le CHU de Besançon dans le Doubs a appris le suicide d’une de ses aides-soignantes, à son domicile. Une cellule psychologique a été mise en place et un Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) était prévu pour ce mercredi.
C’est une triste nouvelle pour l’hôpital Jean Minjoz de Besançon. En effet, samedi dernier, l’établissement a appris le décès de l’une des leurs, une aide-soignante travaillant dans le service de réanimation chirurgicale, a rapporté L’Est Républicain. Selon les autorités, elle a mis fin à ses jours à son domicile. Le procureur de la République, Étienne Manteaux, a expliqué qu’il n’y a « aucun lien déclaré avec son travail ».
Le jour même des faits, « la directrice de garde s’est rendue dans le service et la Cellule d’urgence médico-psychologique a été déployée jusqu’à ce lundi avec une rotation pour recueillir la parole des collègues et les prendre en charge », a communiqué la direction du CHU.
Un Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT), demandé par les syndicats, s’est tenu ce mercredi 29 juin.
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