Une Écossaise qui ignorait qu’elle était enceinte s’est réveillée avec une « bosse du bébé » et a accouché 45 minutes plus tard, d’après les rapports locaux.
Emmalouise Leggate, 19 ans, a donné naissance à sa fille, pesant 3 kilos et 23 grammes, dans un stationnement de l’hôpital de Glasgow.
La veille au soir, a-t-elle dit au Scottish Daily Record, elle s’était couchée le ventre plat.
« Je n’avais pas fait de test de grossesse, je n’avais aucun symptôme, rien », dit-elle.
« Les médecins ne pouvaient pas expliquer pourquoi je n’avais pas de bosse. Ils m’ont juste dit qu’elle devait être placée dans le bas de mon dos et que c’est assez courant. »
« Les gens ont tendance à le découvrir à leur échographie des 20 semaines, une fois que le bébé commence à donner des coups de pied, mais Ciara n’a jamais donné de coups de pied. Je ne l’ai jamais sentie le faire. »
Caira, qui est née le 17 juillet de l’année dernière, est le deuxième enfant de la famille Leggate.
Mais contrairement à la première grossesse de la mère, il n’y avait aucun signe révélateur.
Elle a mis l’absence de règles sur le compte de la pilule.
« Je n’ai pas eu de bosse », dit-elle, d’après le Metro. « J’avais pris un peu de poids, alors ma mère m’a suggéré d’aller marcher et de faire différentes choses pour le perdre, parce que j’en parlais souvent. »
« Le poids était sur tout mon corps, plus dans mes bras, mes jambes et mon visage que partout ailleurs. Mon abdomen n’a jamais grossi. »
Elle a dit au Daily Record que sa bosse a surgi « de nulle part ce matin-là ».
« Je m’étais réveillée et on pouvait voir que c’était une bosse. Il était vraiment haut. »
Elle a appelé sa grand-mère, qui s’est précipitée et a conduit sa petite-fille à l’hôpital.
« Ma grand-mère n’arrêtait pas de dire : ‘C’est sans aucun doute un bébé, mais je ne pense pas que tu sois prête à accoucher maintenant, à cause de la grosseur de ton ventre.’ »
« Quand je suis montée dans la voiture, les contractions arrivaient toutes les deux minutes et j’ai perdu les eaux. »
« Nous venions de nous stationner devant l’hôpital et ma grand-mère m’a dit : ‘Attends cinq minutes, ne peux-tu pas attendre cinq minutes ?’ (…) et je ne pouvais tout simplement pas. »
Emmalouise et son partenaire décrivent Caira comme « la meilleure chose qui soit arrivée », rapporte le Metro.
Le mois dernier, une Bangladaise qui n’avait aucune idée qu’elle était enceinte a donné naissance à des jumeaux 26 jours seulement après avoir donné naissance à son dernier enfant.
La Bangladaise n’avait aucune idée qu’elle portait des jumeaux dans un deuxième utérus jusqu’à ce que les médecins lui fassent une échographie après qu’elle a été transportée d’urgence à l’hôpital le 22 mars pour des douleurs au ventre.
Arifa Sultana Iti, 20 ans, avait donné naissance à un bébé prématuré le 25 février, selon des rapports locaux. Mais pendant la grossesse, elle n’a jamais eu l’échographie qui aurait révélé un deuxième utérus, ce qui est rare, sans parler du fait qu’à l’intérieur, les jumeaux grandissaient.
« Elle n’a pas réalisé qu’elle était encore enceinte de jumeaux. Elle a perdu les eaux 26 jours après la naissance du premier bébé et elle s’est précipitée vers l’hôpital », a déclaré à l’AFP Sheila Poddar, une gynécologue qui a soigné la femme.
Elle a été transportée d’urgence à l’hôpital Ad-din, dans le district de Jessore, où des médecins ont fait sortir les jumeaux d’urgence par césarienne – un garçon et une fille – après avoir découvert deux utérus avec l’échographie.
Avoir deux utérus n’est pas aussi rare que certains le pensent, a déclaré à la BBC le gynécologue singapourien Christopher Ng, c’est généralement facile à détecter pendant la grossesse.
« Si vous allez faire une échographie avant, il serait très évident de voir deux ensembles d’utérus. Mais de toute évidence, cette famille vient d’une région plus rurale [et ils n’ont peut-être pas accès à l’échographie] », dit-il.
Si cet article vous a intéressé, n’hésitez pas à le partager et à nous laisser vos commentaires.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.