Lors du grand débat qui a eu lieu dans l’Essonne lundi soir, le président Emmanuel Macron a dit ne pas croire en « ceux qui font des murs » pour contrer les vagues migratoires.La référence au président Donald Trump n’était que trop évidente.
Lors du grand débat national qui a eu lieu lundi dans l’Essonne, le chef de l’État a dit ne pas croire en « ceux qui font des murs » pour contrer les vagues migratoires, martelant: « Ça ne marche pas! ».
« Ce n’est pas par idéologie, on voudrait en faire que ça ne marcherait pas » dit le chef de l’État. « Alors comment on fait pour ne pas simplement jouer sur les peurs? «
Lors du discours à l’ONU, le 26 septembre 2018, la vision mondialiste d’Emmanuel Macron et celle « nationaliste » de Donald Trump s’étaient ouvertement opposées. On y voyait Emmanuel Macron taper du point sur la table pour défendre le mondialisme.
L’idéologie mondialiste prône un monde globalisé, basé sur le multiculturalisme et le multilatéralisme. Elle défend ainsi l’idée que les migrations sont inévitables et une vision progressiste de la société. Elle s’oppose par nature aux valeurs traditionnelles et au nationalisme. Dans les années 70, le progressisme a été le nouveau nom donné à l’idéologie du communisme.
Le même jour à l’ONU, Donald Trump y défendait quant à lui la liberté des peuples souverains à choisir eux-mêmes leur avenir. Le président s’y était qualifié de nationaliste et avait appelé les autres nations à utiliser ce terme « parce qu’il mettait en tête les intérêts d’un pays en priorité ».
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