Ces derniers jours, sur l’île grecque de Lesbos, des migrants afghans et africains ont détruit un champ de 5.000 oliviers, comme le rapporte Greek City Times.
5.000 oliviers centenaires ont été coupés par des migrants illégaux à côté du camp de migrants de Moria, au nord de Mytilène, la capitale de Lesbos en Grèce. Leurs motivations exactes ne sont pas encore connues.
Sur les photos, on peut voir une colline d’oliviers complètement dévastés, avec des arbres déchiquetés à côté du camp de migrants.
Les oliviers mettent environ 65 à 80 ans pour devenir productifs, ce qui signifie que les arbres détruits sont un coup dur pour l’économie locale. Il est probable que la terre sera cultivée à d’autres fins maintenant, car les agriculteurs doivent trouver des moyens plus immédiats pour rentabiliser leur terre. La culture de l’olivier près du camp de Moria a sûrement définitivement disparu à présent.
L’olivier fait partie intégrante de la culture et du patrimoine grecs. La culture de l’olivier remonte au moins à l’âge du bronze et ils sont fréquemment mentionnés dans la culture catholique et romaine.
Outre la destruction de ces arbres, les migrants de Lesbos se sont également attaqué à des bâtiments grecs, en saccageant notamment il y a un mois une église grecque orthodoxe.
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