Cette mère courageuse est un miracle vivant. Après avoir reçu un diagnostic de cancer de stade 4 pendant sa grossesse, elle a, grâce à sa foi et à sa volonté de vivre, réussi a survivre. Aujourd’hui, elle a donné naissance à trois adorables enfants !
Ashley Hallford, de Douglasville, en Géorgie, était enceinte d’un mois de son premier enfant lorsqu’elle a senti une bosse au cou en janvier 2007. La chose a d’abord été diagnostiquée comme une infection qui disparaîtrait grâce aux antibiotiques.
Cependant, « l’infection » n’a pas disparu et s’est plutôt aggravée, et en novembre 2017, elle est devenue dure et douloureuse. « Ce que je voyais, c’était une masse de la taille d’une balle de golf, à l’avant de mon cou, juste sous ma mâchoire », a confié la mère à Today.
Mom credits her faith to beating stage 4 brain cancer after doctors gave her just days to live https://t.co/qH3hOKxc6I pic.twitter.com/t8mwrkf6hh
— People (@people) 17 mars 2017
Ashley Hallford a donc subi une biopsie le 12 novembre 2007, après 32 semaines de grossesse. Il a été déterminé qu’elle avait un cancer de stade 4.
Quatre jours plus tard, elle a accouché à 33 semaines et a donné naissance à un petit garçon nommé Harley, qui était en bonne santé. La mère et son bébé sont renvoyés à la maison deux jours après l’accouchement. « Le médecin de l’Unité de soins intensifs néonatale (USIN) est venu nous voir et nous a dit qu’il n’avait jamais vu, au cours de sa carrière, un bébé de 33 semaines à terme ne pas aller à l’USIN, même pour une évaluation. Cela ne pouvait être qu’un miracle », a déclaré Ashley Hallford, dans une interview accordée à Atlanta’s II Alive.
Peu de temps après le travail, les médecins ont enlevé une tumeur de la taille d’une balle molle qui s’était étendue à sa mâchoire. Ils ont enlevé une partie du muscle de sa mâchoire et coupé un nerf facial.
Cinq semaines plus tard, les médecins ont expliqué à Ashley Hallford, qu’ils n’arrivaient toujours pas à déterminer avec précision le type de cancer qu’elle avait. « Nous n’avons pas pu déterminer la nature de sa tumeur », a reconnu la Dre Debra Miller du Southeastern Medical Oncology Center, Jacksonville, Caroline du Nord.
« Des pathologistes de tout le pays ont étudié la bosse », a précisé Ashley Hallford. « Ils ont tous convenu qu’il s’agissait d’un cancer rare et très agressif, peut-être alimenté par les hormones. Mais personne n’a pu le diagnostiquer. »
Comme Ashley Hallford avait de très mauvais maux de tête et une vision double, elle devait passer une IRM. Après l’IRM, les médecins ont découvert qu’elle avait une tumeur au cerveau. Plus effrayant encore, les médecins ont découvert que le cancer s’était propagé à ses poumons et à son foie grâce à un suivi par IRM de tout le corps.
Puis, les médecins ont décidé d’arrêter d’essayer de déterminer la nature du cancer, mais au lieu de cela, ils ont commencé à traiter la patiente, sinon « elle allait mourir ». Mme Hallford a commencé à subir de fortes doses de chimiothérapie et de radiothérapie en janvier 2008.
Cependant, le cancer a continué à se propager. Ashley Hallford avait d’innombrables tumeurs. Comme la tumeur cérébrale s’était développée sur son nerf optique, elle a perdu la vue de l’œil droit et ne pouvait plus ouvrir sa paupière droite.
« C’est à ce moment-là qu’ils m’ont demandé de commencer à prendre des photos, des vidéos et à écrire un journal pour mon fils », poursuit-elle. Mais c’était une tâche difficile pour elle à l’époque. « Mon écriture était moche et je pouvais à peine voir. »
C’était si dur, Ashley Hallford s’en souvient : « Je me souviens avoir supplié Dieu de me laisser mourir. » Mais même ainsi, avec le soutien de sa famille, de son église et de sa communauté, elle n’a pas perdu espoir et a continué à se battre.
« En février ou mars 2008, à mon église, ils ont commencé à prier et à jeûner pendant tout un mois durant », rappelle Ashley Hallford.
En peu de temps, quelque chose de miraculeux s’est produit. En juillet 2008, elle a passé un scan qu’elle pensait être le dernier de sa courte vie. Mais le résultat a choqué tout le monde.
Son oncologue lui a dit que le cancer était en rémission. « Je pleurais. J’espérais que ce serait une bonne nouvelle, mais ce n’était rien de moins qu’un miracle », s’est-elle exclamée.
« Théoriquement, avec un cancer de stade 4, vous n’êtes pas guérissable », a tenu à rappeler le Dr Miller à II Alive. S’adressant à Today, le Dr Miller a ajouté : « Même aujourd’hui, cela semble miraculeux. Je pense que beaucoup de facteurs ont joué un rôle dans son rétablissement — y compris les prières. »
Début 2009, après six mois de traitement supplémentaires, non seulement Ashley Hallford marchait, mais son œil droit s’est également rouvert.
Le couple voulait un autre enfant, mais Ashley Hallford ne pouvait pas concevoir parce que les traitements de radiothérapie l’ont amenée à la ménopause. Pourtant, en 2012, un autre miracle s’est produit : elle était à nouveau enceinte !
« J’étais excitée et en même temps vraiment effrayée », précise Mme Hallford. Soupçonnant que le cancer aurait pu être hormonal comme il s’est produit pendant sa dernière grossesse, elle et ses médecins craignaient le pire.
Heureusement, le cancer ne s’est pas représenté tout au long de sa grossesse. Elle a donné naissance à une fille nommée Grace en octobre 2012. Elle était de nouveau enceinte quelques années plus tard et a accouché d’un garçon, Eli, le 20 janvier 2017. « Cela ne semble pas réel », a déclaré Mme Hallford à Today en 2017, faisant allusion à l’incroyable parcours de leur famille au cours de la dernière décennie.
C’était incroyable pour Ashley Hallford et probablement pour tout le monde. Toute cette épreuve lui a appris à apprécier la vie. Après avoir traversé tous ces hauts et ces bas, elle conseille aux gens de toujours rester positifs.
« Les médecins ne m’avaient donné que quelques semaines à vivre », dit-elle. « N’abandonnez pas. Je n’ai jamais perdu espoir. N’arrêtez jamais de vous battre. »
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