L’ancien milieu de terrain et capitaine de l’Olympique lyonnais, Maxime Gonalons, sans club depuis son départ de Clermont cet été, a annoncé qu’il mettait un terme à sa carrière, à 35 ans.
« A vous tous, à mes coéquipiers, aux entraîneurs, aux staffs et à tous les supporters, merci pour ce parcours inoubliable », a écrit mardi soir l’ex-milieu international (8 sélections) sur son compte Instagram.
« Aujourd’hui, je referme ce chapitre avec le sentiment d’avoir tout donné. Le football restera toujours une part de moi et même si je quitte les terrains, je resterai à jamais un amoureux de ce sport », a-t-il ajouté.
Natif de Vénissieux (Rhône), Gonalons a notamment exprimé une forte pensée pour l’OL, avec qui il a connu ses plus grandes heures en club, de 2009 à 2017, après être passé par son centre de formation.
« Je n’oublierai jamais ces années passées à défendre tes couleurs, tu resteras à jamais dans mon cœur », a-t-il écrit, avant d’évoquer également ses matches sous le maillot des Bleus, « un rêve d’enfant », entre 2011 et 2015.
Maxime Gonalons a disputé plus de 300 matches avec l’OL, participant à plusieurs campagnes européennes, dont une demi-finale de Ligue des champions en 2010 contre le Bayern Munich.
Vainqueur de la Coupe de France et du Trophée des champions en 2012, il a ensuite quitté le club rhodanien pour l’AS Rome en 2017. Egalement passé par le Séville FC et Grenade, en Liga, il a disputé deux dernières saisons en Ligue 1 avec Clermont, rélégué en mai dernier.
L’annonce de sa retraite a été saluée par plusieurs de ses anciens coéquipiers, dont Anthony Lopes et Alexandre Lacazette.
« Merci pour tout capi », a ainsi écrit ce dernier en réponse à sa publication sur Instagram.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.