Samedi 27 mars, en Gironde, un propriétaire a découvert sa maison de Floirac vandalisée et pillée après une fête clandestine qui s’y est tenue la veille. Il l’avait louée vendredi à deux étudiantes, via la plateforme Airbnb.
Très mauvaise surprise pour un propriétaire de Floirac : alors qu’il croyait avoir loué sa maison à deux étudiantes sur Airbnb, il a découvert qu’une fête clandestine y avait été organisée vendredi soir et que les fêtards avaient tout vandalisé, a rapporté France 3 Régions.
L’homme, qui a été averti le soir même par des voisins, s’est rendu lui-même sur place avec la police pour constater le tapage et relever les plaques d’immatriculation des voitures garées devant l’habitation. Cependant, impuissant à cause du contrat de location, ce n’est que le lendemain qu’il a pu constater les dégâts.
Résultats : meubles cassés dans la cuisine, murs enfoncés dans le salon, dégâts dans le jardin… Sans compter les murs tachés de vin, les multiples bouteilles d’alcool jonchant les sols, et le vol d’appareils d’électroménagers et de la télévision, a rapporté Le Progrès.
De plus, en guise de représailles, dans la nuit de samedi à dimanche, les participants à la fête sont également revenus menacer le loueur et ont fait brûler les meubles cassés qu’il avait mis aux ordures.
De son côté, le propriétaire n’a pas l’intention de se laisser faire et a porté plainte ce lundi. Il a également déclaré qu’il allait se retourner vers Airbnb, qui propose une garantie en cas de dégradation des biens loués sur sa plateforme. En attendant, il a lancé une cagnotte en ligne pour racheter des meubles en état et commencer à faire des petits travaux.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.