Jeudi dernier sur BFMTV, Christophe Barbier a régi aux chiffres publiés par la Sécurité routière qui a annoncé une hausse de 17,1 % du nombre de personnes décédées sur les routes au mois de février 2019 en comparaison avec le mois de février 2018.
Le 28 mars, la sécurité routière annonçait que 253 personnes avaient perdu la vie sur les routes au mois de février 2019, contre 216 en février 2018. Une hausse de 17,1 % qui s’accompagne également d’une augmentation des accidents corporels (+ 22,3 %) et des blessés : 5021 usagers de la route ont été blessés en février 2019 contre 4132 en février 2018, soit une hausse de 21,5 %.
« La forte augmentation de la mortalité routière enregistrée le mois dernier concerne principalement les piétons, les cyclistes, les jeunes de 18-24 ans et les seniors de 65 ans et plus », a souligné la Sécurité routière.
Selon l’organisme, cette hausse du nombre de tués depuis le début de l’année 2019 (les personnes décédées sur la route avaient déjà augmenté de 3,9 % en janvier) serait liée à la « forte dégradation des radars fixes », celle-ci se traduisant par un « relâchement des comportements sur l’ensemble des réseaux ».
Une analyse reprise par Christophe Barbier le 28 mars sur le plateau de BFMTV :
« Les criminels, ce sont ceux qui ont détruit les radars : on le sait, sans la peur du radar, sans la peur du gendarme, on appuie sur le champignon et on se tue ou on tue des gens. La responsabilité des Gilets jaunes, et celle des partis qui ont été complaisants avec les Gilets jaunes, est énorme, très importante. »
« Vite ! remettons des radars en état ! Vite ! punissons ceux qui les dégradent ! », conclut l’ancien directeur de la rédaction de L’Express.
Cet article vous a intéressé ? Partagez-le avec vos amis et laissez-nous un commentaire pour nous donner votre avis.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.