Dans la nuit de samedi à dimanche, une sapeur-pompier du Sdis de l’Hérault, hors service, a été victime d’une piqûre sauvage lors d’une soirée festive au Mas du Cheval à Lattes, près de Montpellier. Tombée dans le coma après les faits, elle a été hospitalisée.
Elle est restée dans le coma plusieurs heures. Ce dimanche, une pompier hors service s’est réveillée au CHU de Montpellier après une mésaventure lors d’une soirée festif au Mas du Cheval à Lattes, a rapporté Midi-Libre. En effet, ce soir là, alors qu’elle se frayait un chemin dans la foule pour rejoindre ses amis attablés, elle a ressenti une soudaine douleur à un bras.
« C’était 5 minutes avant de partir de la soirée vers 1h30. Je n’avais bu qu’un mojito pendant la soirée. J’ai été aux toilettes qui étaient à l’extérieur, je suis revenue à l’intérieur en faisant un détour par le bar pour prendre un verre d’eau au bar qui était au fond. Et quand j’ai voulu retourner vers les tables de notre groupe, j’ai dû me frayer un chemin car tout le monde était serré, se poussait », a-t-elle déclaré.
C’est là qu’elle a ressenti une piqûre au niveau de son bras, et immédiatement « j’étais comme paralysée », a-t-elle témoigné. La suite, elle ne peut s’en souvenir, puisqu’elle est tombée dans le coma pendant plusieurs heures, visiblement victime d’une injection d’un produit toxique.
Admise au CHU de Montpellier, elle a finalement repris connaissance. Pour l’heure, on ne sait pas si une plainte a été déposée, a rapporté Actu.fr. L’hypothèse la plus probable est qu’il s’agit d’un nouveau cas de piqures à la seringue administrées la nuit à l’insu des victimes dans des bars, discothèques ou autres lieux, et que le produit administré s’apparenterait au GHB, aussi appelé « la drogue du violeur ».
Toutefois, le mystère reste entier car les résultats des analyses sont longs.
Du côté des établissements festif, où le risque de se faire piquer créait une certaine psychose parmi les clients, certains ont mis en place des fouilles réalisées par les agents de sécurité. Quant à ce phénomène inquiétant des « piqueurs », des enquêtes sont actuellement en cours du fait de nombreuses plantes déjà déposées par des hommes comme des femmes, notamment dans l’Hérault, pour ce problème.
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