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Il n’y a pas de meilleure médecine que l’amour : un « chat d’hospice » de 18 ans adopté vit 5 ans de plus

avril 5, 2019 19:52, Last Updated: avril 5, 2019 19:52
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Ceux qui se souviennent du premier jour où ils ont amené leur animal à la maison se rappelleront peut-être à quel point ils étaient emballés.

Qui ne le serait pas en anticipant plein de jeux et de joie partagés avec un compagnon tout doux ? Une famille de Baltimore s’est rendu compte qu’il n’y a pas de meilleur remède que l’amour. Leur décision d’adopter un chat d’hospice a vraiment porté ses fruits.

Chester le chat a été adopté à l’âge avancé de 18 ans, ce qui est tout un exploit pour un chat.

Bien que Chester ne puisse pas nous raconter son histoire, on peut la trouver sur la page Facebook du Baltimore Animal Rescue & Care Shelter, que nous allons détailler ici pour vous.

L’ancien chat errant avait l’habitude de flâner dans la ville de Baltimore. Un jour, il a choisi de faire une sieste devant la voiture d’une femme, et non ce n’était pas une voiture garée.

Heureusement, elle a remarqué le félin âgé avant de démarrer. Elle est sortie, a ramassé le petit corps fatigué et l’a amené directement au BARCS.

« Tout le monde là-bas avait le cœur brisé de penser que l’action de Chester, un chat sans abri, était peut-être une tentative de tout abandonner », a écrit Mme Garner.

Lorsque Mme Garner et sa famille sont allées au BARCS pour déposer quelques dons, ils ont entendu parler du chat errant. Mme Garner a demandé si elle pouvait le voir et il y a eu une connexion instantanée.

Mais ce vieux chat avait eu la vie dure. Il était osseux, avait une éraflure à la tête, avait perdu des touffes de poils, éternuait sans cesse et souffrait d’une infection des voies respiratoires.

Après un bref entretien avec son mari, Mme Garner a décidé d’adopter le bon vieux Chester. En raison de l’âge de Chester et de son état de santé, les Garner l’ont amené avec eux en tant qu’« adoption de l’hospice ».

Alors que la famille ne s’attendait pas à ce que Chester vive plus d’une semaine ou deux, Chester a survécu pour célébrer ses 19 ans… puis ses 20, 21 et 22 ans aussi… Ils n’auraient jamais imaginé cela.

Chester n’a eu aucun problème à s’installer dans son nouveau foyer permanent. Il s’est pris d’affection pour le lit du fils de sa propriétaire. Et qui a dit qu’un vieux chat ne peut pas chasser de souris en peluche ? Chester a prouvé qu’il est un gros matou qui adore jouer, comme au bon vieux temps.

Étant d’un âge honorable, Chester n’avait aucun scrupule à réclamer le lit, qui était autrefois destiné au chien d’environ 27 kg de la famille.

Mais chaque chat a son jour fatidique… le grand jour où les neuf vies sont épuisées. Il arriva le moment où Chester dut prouver sa mortalité. Il n’était qu’à trois mois de son 23e anniversaire quand les Garners l’ont trouvé reposant en paix un samedi, « après avoir traversé le pont de l’arc-en-ciel ».

Mme Garner a écrit : « Bien que nous l’ayons amené à la maison en sachant qu’il était notre « chat d’hospice », nous lui serons toujours reconnaissants de nous avoir tant aimés au point d’avoir décidé de rester 1 640 jours supplémentaires. »

Tout ce dont Chester avait besoin, c’était d’un peu d’amour et d’affection pour vivre pleinement sa vie. Mme Garner et sa famille ont sans aucun doute fait un excellent travail pour soulager ses souffrances et rendre les derniers jours de sa vie encore plus agréables.

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