Il y a deux ans, un rapport catastrophiste de la Fondation Rockfeller prévoyait d’imminentes pénuries alimentaires

Par Joseph Mercola
16 juillet 2022 02:40 Mis à jour: 18 juillet 2022 22:54

Le rapport s’intitulait « Reset the Table » [Réinitialiser la table] et traitait des pénuries alimentaires à venir. Il était également question de l’évacuation prochaine de l’industrie de la viande au profit d’aliments ‘synthétiques’. Êtes‑vous prêt ? Découvrez ce que vous devez faire pour survivre aux bouleversements annoncés.

EN BREF

  • ‑ On nous dit que les pénuries alimentaires imminentes sont principalement dues au changement climatique et au conflit Russie‑Ukraine. Pourtant, en juillet 2020, la Fondation Rockefeller l’avait déjà prédit et appelait à une refonte du système alimentaire dans son ensemble pour y faire face.
    ‑ « Reset the table : Meeting the Moment to Transform the U.S. Food System », publié par la Fondation Rockefeller le 28 juillet 2020, décrit comment la pandémie de Covid a provoqué « une crise de la faim et de la nutrition ‘aux États‑Unis’ sans équivalent dans ce pays depuis des générations ».
    ‑ Selon la Fondation Rockefeller, la pandémie a révélé des problèmes profonds dans le système alimentaire qui doivent être « réinitialisés ». Le rapport « Reset the Table » a été publié juste un mois après que le Forum économique mondial (FEM) a officiellement annoncé ses plans pour une « Grande Réinitialisation (Great Reset) », et beaucoup des contributeurs au document de la Fondation sont des membres du FEM.
    ‑ Alors que le rapport souligne la nécessité d’une « alimentation saine » et d’une production alimentaire « durable », les mots « naturel », « biologique » ou « nourri à l’herbe » sont absents, ce n’est donc pas ce à quoi ils font référence.
    ‑ Le FEM promeut depuis des années l’idée que les insectes devraient être reconnus comme une alternative protéique saine et durable qui peut sauver l’environnement et résoudre le problème de la faim dans le monde.

Il semble que rien n’échappe à ces prophètes de malheur, concepteurs autoproclamés de l’avenir. Ils prévoient avec précision les « catastrophes naturelles » et savent calculer l’aléatoire des « interventions divines ». Ils savent tout avant que cela n’arrive. Peut‑être sont‑ils vraiment des prophètes. Ou peut‑être décrivent‑ils simplement les résultats inévitables de leurs propres actions.

En ce moment, on nous dit que les pénuries alimentaires imminentes sont principalement le résultat du changement climatique et du conflit entre la Russie et l’Ukraine. Pourtant, en juillet 2020, la Fondation Rockefeller les avait déjà prévues et appelait à une refonte du système alimentaire dans son ensemble pour y remédier.

« Reset the Table » fait partie du « Great Reset »

Le document en question, intitulé « Reset the Table : Meeting the Moment to Transform the U.S. Food System » [Réinitialiser l’alimentation : le moment est venu de transformer le système alimentaire américain] [1], publié par la Fondation Rockefeller le 28 juillet 2020, décrit comment la pandémie du Covid a provoqué « une crise de la faim et de la nutrition » aux États‑Unis « sans équivalent dans ce pays depuis des générations ».

Il faut savoir que la pandémie du Covid a été déclarée le 11 mars 2020, donc au moment où le rapport Rockefeller était publié, la pandémie n’avait que quatre mois. Même si certains groupes à haut risque ont connu l’insécurité alimentaire, comme les enfants dont le repas principal est le déjeuner à la cantine, les pénuries alimentaires généralisées, en termes d’étagères vides, n’étaient ni très répandues ni particulièrement graves.

Le rapport indique également être le résultat de « discussions par vidéoconférence en mai et juin 2020 ». Nous devons donc croire que deux mois après le début de la pandémie, ces esprits prophétiques avaient déjà une idée précise de l’avenir. Selon la Fondation, la pandémie a révélé des problèmes profonds dans le système alimentaire qui doivent être « réinitialisés ».

Comme l’a noté ThreadsIrish sur Substack [2], « Reset the Table » a été publié juste un mois après l’annonce officielle par le Forum économique mondial (FEM) de ses plans pour le « Great Reset », et beaucoup des contributeurs au document de la Fondation sont membres du FEM.

Dans l’avant‑propos [3], le président de la Fondation Rockefeller, le Dr Rajiv Shah, souligne également qu’un « guide complet » pour aborder le système alimentaire devrait également aborder d’autres questions, « telles que les salaires décents, le logement et le transport », et que « nous tous » – c’est‑à‑dire les concepteurs autoproclamés du futur – « devons écrire ce guide ensemble au cours de l’année à venir ».

Problème, réaction, solution

Ce document contient d’intéressantes informations. Par exemple, à la page 3, on peut lire que « 94% des décès dus au Covid‑19 surviennent chez des personnes présentant une affection sous‑jacente, dont la majorité est liée à l’alimentation ». C’est surprenant, étant donné que le régime alimentaire et la nutrition étaient essentiellement absents des discussions publiques et des rapports sur l’infection.

Tout aussi surprenant est le fait qu’en page 4, la Fondation admet son rôle dans la création des problèmes qui affectent actuellement notre système alimentaire :

« La révolution verte – que la Fondation Rockefeller a contribué à ensemencer et à étendre – a été efficace et a réussi à combattre la faim basée sur les calories et à éviter une famine de masse. Mais elle a laissé un héritage que nous voyons clairement aujourd’hui, notamment l’importance excessive accordée aux céréales de base au détriment d’aliments plus riches en nutriments, la dépendance aux engrais chimiques qui épuisent les sols et l’utilisation à outrance de l’eau. »

À la page 10, la Fondation va jusqu’à déclarer que « la nourriture est un médicament » et qu’en « investissant dans des régimes alimentaires sains et protecteurs », les populations pourront « prospérer et réduire les coûts étouffants des soins de santé ».

Le rapport appelle même à l’expansion des programmes de prescription de produits, car « la santé alimentaire et les résultats du Covid‑19 sont clairement liés ».

Bien qu’il soit tentant de considérer ce document comme un signe de bon sens, si on examine le Great Reset du FEM, on remarque que « Reset the Table » n’est qu’un rouage d’un mécanisme destiné à nous écraser. Comme l’a noté ThreadsIrish [4] :

« Le document est très ancré dans la dialectique hégélienne du problème, de la réaction et de la solution. Voici le problème qu’ils ont créé (le Covid) et maintenant, ils veulent mettre en œuvre la solution (Transformer l’approvisionnement alimentaire mondial). Naturellement, tout cela est lié à la destruction des terres, au changement climatique et à la tentative de ramener les gens dans des villes intelligentes (page 5). Surprise, surprise. »

Comment ont‑ils l’intention de prendre le contrôle de la chaîne d’approvisionnement ?

« Reset the Table » décrit essentiellement comment prendre le contrôle de l’approvisionnement alimentaire et de la chaîne d’approvisionnement sous couvert d’« équité », de « justice » et de « protection de l’environnement ». Une des clés du programme est la collecte de données. Il est question de recueillir un maximum d’informations sur les dépenses et les habitudes alimentaires de chacun. L’élargissement de l’accès au haut débit vise à faciliter cette collecte.

Car tout le monde « n’a pas accès au haut débit qui est essentiel pour passer à l’inscription en ligne, à l’achat en ligne de nourriture, à l’achat direct de la ferme au consommateur, à la télémédecine, aux téléconsultations, ainsi qu’à l’éducation, à la finance et à l’emploi [en ligne] », note le document [5]. « Il s’agit d’une lacune fondamentale en matière de résilience et d’équité, et nous devons la combler, de toute urgence. »

Il est donc question de créer un environnement connecté pour tous les aspects de la vie, l’éducation, la médecine, la consommation, etc. Cela rend, bien sûr, tout ce que nous faisons beaucoup plus facile à surveiller et à suivre. Une autre clé est de s’assurer que les partenaires mondiaux du FEM dans de multiples secteurs travaillent en tandem pour former un « mouvement de défense collaboratif ».

Quant à la troisième clé du succès, ce sont « les changements dans les politiques, les pratiques et les normes », et ces changements sont « nombreux ». L’objectif final est de centraliser le contrôle de l’approvisionnement alimentaire via un seul et unique bureau exécutif, ce qui correspond parfaitement à l’idée d’un « gouvernement mondial unique ». Comme l’a dit un jour Henry Kissinger, membre du FEM : « Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle le peuple ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. »

Le « régime alimentaire sain »

Quant aux « régimes alimentaires sains et protecteurs » que la Fondation Rockfeller appelle de ses vœux, voilà bien des années que la population a le privilège d’être informée sur ce dont il s’agit. Depuis des années, le FEM promeut l’idée que nous devrions nous habituer à manger des mauvaises herbes et des insectes et à boire des eaux usées récupérées.

Comme indiqué dans un article du FEM de juillet 2021 intitulé « Pourquoi nous devons donner aux insectes le rôle qu’ils méritent dans nos systèmes alimentaires » [6] :

« D’ici 2050, l’approvisionnement alimentaire mondial devra nourrir 2 milliards de personnes supplémentaires. L’élevage d’insectes pour l’alimentation humaine et animale pourrait offrir une solution écologique à la crise alimentaire imminente ().

« Grâce aux nouvelles technologies telles que l’intelligence artificielle (IA) et l’Internet des objets (IoT), nous sommes à un tournant et enfin en mesure d’industrialiser l’élevage d’insectes dans un environnement confiné. L’élevage d’insectes est une agro‑industrie centrée sur des statistiques qui présente de nombreux points communs avec l’agriculture de précision.

« Plusieurs start‑ups d’agriculture en intérieur ont émergé… Ÿnsect, par exemple, avec plus de 300 brevets technologiques et des processus agricoles pilotés par l’IA totalement uniques, construit la première ferme d’insectes verticale entièrement automatisée au monde, capable de produire 100.000 tonnes de produits à base d’insectes par an. »

Selon cet article, les insectes sont « une source alternative de protéines crédible et efficace nécessitant moins de ressources que l’élevage conventionnel », et « un ingrédient sain », très digeste et particulièrement adapté à l’alimentation des seniors. L’élevage d’insectes est également beaucoup moins coûteux, nécessite peu de ressources naturelles comme l’eau et pourrait réduire la pollution agricole de près de 99%.

Le mot « biologique » n’apparaît pas une seule fois dans le rapport de la Fondation, et le mot « naturel » n’est utilisé qu’en référence aux « catastrophes naturelles ». En d’autres termes, leurs versions de l’ « alimentation saine » et de l’ « agriculture durable » n’incluent aucun des critères de base d’un approvisionnement alimentaire véritablement sain, nutritif, durable et régénérateur.

Les derniers obstacles à la généralisation des hamburgers aux insectes sont « les idées préconçues sur les insectes en tant que source de nourriture et la législation relative à l’utilisation et à la consommation de protéines dérivées d’insectes ». Depuis des années, le FEM promeut également l’idée que les aliments pour animaux cultivés en laboratoire et les cultures génétiquement modifiées sont le seul moyen de nourrir le monde et de sauver la planète.

Il n’est donc pas surprenant que le mot « biologique » n’apparaisse pas une seule fois dans le rapport de la Fondation, et que le mot « naturel » ne soit utilisé qu’en référence aux « catastrophes naturelles ». Et ce, alors que le mot « sain » est utilisé 33 fois et le mot « durable » 17 fois.

L’expression « protéines alternatives » n’apparaît qu’une seule fois, et il n’est pas fait mention de « nourri à l’herbe ». En d’autres termes, leurs versions de « régime alimentaire sain » et d’« agriculture durable » n’incluent aucun des critères de base d’un approvisionnement alimentaire véritablement sain, nutritif, durable et régénérateur.

Compte tenu de son étroite collaboration avec le FEM, il semble raisonnable de conclure que le « régime alimentaire sain » auquel la Fondation Rockefeller ne cesse de faire référence est celui des mauvaises herbes et des insectes. De plus, les changements de législation et de normes qu’elle a l’intention de faire adopter concernent ce qui constitue la « nourriture ». Comme l’a noté ThreadsIrish [7] :

« Ce rapport est présenté comme étant d’intérêt public alors qu’il est tout sauf cela. Pendant deux ans, le Covid a été au centre de l’attention. C’était la première étape de l’Agenda 2030.

« La destruction totale et complète de l’approvisionnement alimentaire semble être en bonne voie. Cela n’est que trop évident, surtout lorsque les fact checkers doivent démentir le nombre d’incendies dans les usines de transformation alimentaire au cours de l’année dernière.

« À cela s’ajoute l’abattage de troupeaux de bovins au Kansas (jusqu’à 10.000), attribué aux températures élevées et à la sécheresse. Les agriculteurs réfutent cette explication et la situation semble bien plus sinistre. »

C’est inévitable, car il s’agit d’un plan délibéré

À maintes reprises, le FEM et ses collaborateurs mondiaux ont « prédit » l’avenir avec une précision étonnante, parfois des années à l’avance, puis, lorsque les prédictions se réalisent, ils font comme s’ils n’y étaient pour rien.

Mais n’oublions pas que le fondateur du FEM, Klaus Schwab, lors de la réunion de mai 2022 à Davos, a clairement déclaré que l’avenir n’arrive pas tout seul, il est « CONSTRUIT, par nous. Par une communauté puissante… dans cette salle ». Ne vous méprenez pas, ils croient vraiment qu’ils ont le droit de décider du sort du monde, et que vous et moi n’avons pas voix au chapitre.

C’est à eux de façonner nos opinions et nos préférences, et ils le feront (ou du moins tenteront de le faire) en utilisant les technologies d’ingénierie sociale les plus puissantes qui aient jamais existé.

Et si nous ne nous éveillons pas à leurs plans et ne résistons pas, nous avons fait le choix d’accepter leur version de l’avenir : un avenir dans lequel nous vivrons tous dans des multiplexes intelligents où il n’y a pas d’espaces privés, pas de propriété privée, et où tout ce que nous ferons sera enregistré, suivi, puni ou récompensé selon un algorithme de crédit social qui déterminera ce que signifie être un « bon citoyen ».

À l’heure actuelle, toutes les chiffres indiquent de graves pénuries alimentaires. Et tandis que les pénuries imminentes sont imputées à tout et n’importe quoi, au changement climatique, au Covid, à l’invasion russe en Ukraine, etc. On élude évidemment le fait que les alliés du FEM, tels que la Fondation Rockefeller, ont publié des documents et organisé des exercices fictifs, il y a bien longtemps déjà, détaillant tout ce à quoi nous sommes actuellement confrontés.

Les voilà donc devenus les prophètes des temps modernes, avec des réponses qui jaillissent aussi vite que les problèmes. En réalité, il est assez facile de faire des prédictions sur ce qu’on a déjà prévu de monter soi‑même, c’est relativement simple de façonner des solutions à une vitesse record lorsque, dès le départ, on créé les problèmes à résoudre pour parvenir à un certain résultat obscur, compris de nous seul.

Tout cela pour dire que les pénuries alimentaires et la famine arrivent à coup sûr. C’est inévitable car c’est intentionnel. Il en va de même pour les pénuries d’énergie. Il est question de nous faire entrer dans la « nouvelle donne verte » (puisque cela fait partie du Great Reset) même si les alternatives à grande échelle au pétrole, au gaz et à l’énergie nucléaire sont inexistantes.

Préparez‑vous à l’inévitable

Si quelque chose est inévitable, il serait bon de s’y préparer. Je pense qu’une résistance de masse finira par mettre un terme à bon nombre de ces plans diaboliques, mais cette résistance ne se manifestera probablement pas tant qu’une majorité de personnes ne ressentira pas vraiment la pression.

N’oubliez pas que la Grande Réinitialisation comprend un système alimentaire repensé qui ne dépend pas du bétail et ne nécessite pas une grande surface de terre. C’est pourquoi nous pouvons être sûrs qu’aucun des problèmes actuels ne sera traité ou contré efficacement.

Il faut que le système alimentaire actuel s’effondre, pour pouvoir ensuite le « résoudre » en introduisant un nouveau système basé sur des aliments synthétiques et génétiquement modifiés, cultivés en laboratoire et brevetés, et sur des élevages massifs d’insectes.

La seule façon de sortir de ce chaos intentionnel est :
a) de devenir plus autosuffisant à court terme ;
b) de créer des systèmes alimentaires alternatifs parallèles localement, hors du contrôle des mondialistes, pour une indépendance à plus long terme.

Pour l’instant, il est judicieux de s’occuper de sa propre sécurité alimentaire à court terme. Voici quelques suggestions de base :

‑ S’assurer d’une source d’eau potable et des moyens de purifier les sources d’eau qui ne sont pas idéales 
‑ Par exemple, stocker des comprimés ou des gouttes de purification de l’eau, et/ou des systèmes de filtration d’eau indépendants tels que Berkey qui peuvent filtrer les agents pathogènes et autres impuretés (c’est‑à‑dire un système de filtration qui n’est pas lié au robinet de votre maison, au cas où les pompes tomberaient en panne et que vous n’auriez plus d’eau au robinet).

Même un petit système de filtration d’eau de survie est mieux que rien, car boire de l’eau contaminée peut entraîner une maladie grave et/ou la mort. Il est bon d’avoir un baril de pluie relié au tuyau qui descend de la gouttière. On peut l’utiliser pour arroser le jardin et, dans le pire des cas, on dispose d’une source d’eau fraîche pour boire, cuisiner et se laver avec un gant de toilette.

Acheter des aliments stables et non périssables en vrac
‑ Les aliments lyophilisés, par exemple, ont une durée de conservation de 25 ans ou plus. Les aliments en conserve et les aliments secs de base comme le riz et les haricots peuvent également rester viables bien après leur date de péremption dans de bonnes conditions.

Parmi les autres bonnes options, citons le saumon en conserve, les foies de morue en conserve, les sardines à l’eau (évitez celles conservées dans l’huile végétale), les noix, le lait en poudre et le lactosérum et d’autres poudres nutritionnelles que vous pouvez mélanger à l’eau.

L’idéal est de conserver les aliments dans un endroit frais, sombre et peu humide. Les paquets de riz et de haricots en vrac sont mieux conservés dans un seau hermétique de qualité alimentaire avec des absorbeurs d’oxygène. La mise sous vide des aliments peut également prolonger leur durée de conservation.

Acheter des sources d’énergie de secours
‑ Pour vous préparer à une éventuelle pénurie d’énergie, à des pannes de courant, à des coupures de courant ou à un arrêt complet du réseau électrique, envisagez d’acheter une ou plusieurs sources d’énergie de secours, comme des générateurs à gaz et/ou des kits de générateurs solaires tels que Jackery ou Inergy. Le fait d’avoir une alimentation de secours peut vous éviter de perdre des centaines de dollars de nourriture si votre maison est privée d’électricité pendant plus de deux jours.

Augmentez et diversifiez en fonction de ce que vous pouvez vous permettre. L’idéal serait d’avoir plus d’un système. Si vous n’avez qu’un générateur à gaz, que ferez‑vous s’il y a une pénurie de gaz et/ou si le prix s’envole à deux chiffres ? D’autre part, que ferez‑vous si le temps est trop couvert pour recharger votre batterie solaire ?

‑Prévoir des moyens de cuisson de secours
‑ Il vous faut aussi un moyen de faire cuire de l’eau et des aliments pendant une panne de courant. Les options comprennent (sans s’y limiter) les cuisinières solaires, qui ne nécessitent ni électricité ni feu, les petits réchauds à fusée, les réchauds de camping alimentés au propane et les casseroles de 12 volts que vous pouvez brancher sur une batterie de secours.

‑Commencer à cultiver dans son jardin et apprendre quelques techniques de base
‑ Plus vous pourrez produire de nourriture chez vous, mieux vous vous porterez. Au minimum, stockez des graines de germination et faites pousser des germes. Ce sont de petites merveilles en matière de nutrition, elles sont faciles à cultiver et sont prêtes à être consommées en quelques jours plutôt qu’en quelques mois.

Si vous avez la place, envisagez de créer un jardin et, si la réglementation locale le permet, vous pouvez ajouter des poules pour un approvisionnement régulier en œufs (n’oubliez pas qu’elles aussi peuvent avoir besoin de nourriture supplémentaire).

Commencez également à apprendre quelques techniques de base pour le stockage des aliments, comme la mise en conserve et la marinade. Bien que cela puisse sembler intimidant au début, ce n’est vraiment pas si difficile. Par exemple, les œufs crus, non lavés et cultivés à la maison peuvent être conservés dans de l’eau de chaux – 1 once de chaux (hydroxyde de calcium, alias « chaux à décaper ») pour 1 pinte d’eau ( 0.473176 l ) – ce qui prolonge leur durée de vie d’environ deux ans sans réfrigération [8].

L’eau de chaux scelle les œufs pour les empêcher de se détériorer. Avant d’utiliser les œufs, assurez‑vous d’enlever la chaux. Cependant, cela ne fonctionne pas avec les œufs commerciaux, car la couche protectrice, la cuticule, est enlevée pendant le lavage.

Les légumes fermentés sont également faciles à préparer et vous permettront de conserver le produit de votre jardin pendant de longues périodes. Attention aux odeurs cependant.

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Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

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