Le Premier ministre Édouard Philippe qui s’était rendu sur le site de l’usine Lubrizol à Rouen, a reconnu que les odeurs provoquées par l’incendie de l’usine Lubrizol étaient « gênantes » mais assuré qu’elles n’étaient « pas nocives ».
« Les odeurs que nous sentons […] sont effectivement très dérangeantes, très pénibles à supporter, elles peuvent entraîner en effet un certain nombre de réactions mais elles ne sont pas nocives », a-t-il déclaré devant le site le 30 septembre dernier, selon 20 minutes.
M. Philippe a réaffirmé sa volonté d’« absolue transparence » sur les causes et les conséquences de l’accident. « Je ne dis pas que les odeurs ne sont pas gênantes. Elles ne sont pas nocives », a-t-il souligné quatre jours après le sinistre. Il a également ajouté devant la presse : « C’est ce que me disent les scientifiques, c’est ce que me disent les techniciens et j’ai tendance à écouter ce que me disent les scientifiques et les techniciens lorsqu’il s’agit et de sécurité et de gestion des risques ».
« l’eau de Rouen est potable » mmh #Lubrizol #Rouen pic.twitter.com/Qiw7lKqv3d
— jade (@jade_audou) September 29, 2019
Le Premier ministre a exprimé sa « volonté extrêmement ferme de dire ce que nous savons dès que nous le savons », et qu’il « comprenait parfaitement l’inquiétude » de la population.
[#Lubrizol] Nous garantissons la totale transparence des résultats d’analyses effectuées à #Rouen. Retrouvez l’ensemble des mesures, informations pratiques et recommandations sanitaires sur https://t.co/uFJAkvXvqf
— Gouvernement (@gouvernementFR) October 2, 2019
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