Suite à un grave accident de moto, l’homme avait été déclaré mort par les médecins d’un hôpital privé.
Mais ce n’était pas son heure… Un Indien, déclaré mort par des médecins après un grave accident de moto, a montré des signes de vie sur une table d’autopsie juste avant le début de son examen post-mortem, a indiqué mercredi 3 mars un fonctionnaire des services de santé.
L’homme âgé de 27 ans, originaire de la ville de Mahalingapur dans l’État du Karnataka (sud), avait été transporté dans un état critique le week-end dernier dans un hôpital privé où les médecins ont déclaré son décès. Sa famille avait alors transféré le « corps » dans un hôpital public voisin, où il devait subir un examen post-mortem lundi.
Le corps se met à bouger
Ses proches ont raconté à la presse locale qu’un pathologiste avait vu le corps, sur la table d’autopsie, soudainement bouger. Un fonctionnaire des services de santé a confirmé l’incident et a précisé que le jeune homme avait été immédiatement admis dans un autre hôpital, où son état s’améliorait.
Le fonctionnaire a reconnu que les médecins de l’établissement privé avaient fait preuve d’un « mauvais jugement ». Il reste à la famille de déposer une plainte officielle pour négligence médicale, a ajouté le fonctionnaire.
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