En février 2022, j’étais une femme en bonne santé, en pleine forme et énergique lorsque j’ai contracté un cas bénin de COVID-19 qui s’est résolu en quelques jours grâce à l’utilisation d’hydroxychloroquine et d’ivermectine.
Cependant, deux mois plus tard, une éruption cutanée brûlante est apparue sur mon visage – parfois si grave qu’elle me réveillait au milieu de la nuit, et seule la glace soulageait la douleur. J’ai consulté deux dermatologues dont les traitements n’ont fait qu’exacerber mes symptômes.
L’agitation rouge sur mon visage ressemblait à une éruption malaire, et un test d’anticorps antinucléaires s’est révélé positif pour une auto-immunité non spécifique. J’ai été orientée vers un rhumatologue, mais les tests de dépistage du lupus et d’autres maladies rhumatismales se sont révélés négatifs.
Ensuite, j’ai trouvé la « Front Line COVID-19 Critical Care Alliance » et j’ai suivi son programme de désintoxication au COVID-19 pour les Covid longs. Malheureusement, les stéroïdes utilisés dans le cadre de ce programme ont aggravé mon éruption cutanée et m’ont causé d’autres effets secondaires.
J’ai consulté un acupuncteur qui m’a prescrit des herbes chinoises et j’ai commencé un régime anti-inflammatoire. Les choses semblaient s’améliorer un peu jusqu’à ce que, à la fin du mois d’août, je me retrouve à l’hôpital avec de graves spasmes du muscle trapézoïdal, dont nous pensons aujourd’hui qu’ils sont le résultat d’un dysfonctionnement du système nerveux autonome dû à une inflammation du système nerveux central. L’inflammation s’est aggravée et a provoqué des douleurs chroniques dans tout le côté gauche de mon corps pendant les six mois suivants. Pendant ce temps, les éruptions cutanées étaient toujours présentes.
Au cours de l’automne et de l’hiver 2022, j’ai suivi une thérapie physique pour des spasmes musculaires « atypiques ». Ces muscles ne sont pas encore complètement remis, mais je peux maintenant m’entraîner sans douleur.
À la même époque, Dieu m’a conduite vers un médecin spécialisé dans les hormones bioidentiques et un médecin spécialisé dans la médecine fonctionnelle qui m’ont traitée pour des niveaux anormalement bas de thyroïde, de progestérone et de testostérone. Coincé dans un état hyper-inflammatoire, mon corps réagissait négativement à tout, même aux thérapies qui auraient pu m’aider.
Mon médecin spécialiste en médecine fonctionnelle a découvert plusieurs virus latents déclenchés par le COVID-19 – souches de Lyme, Toxoplasma gondii, streptocoque A et Epstein-Barr, pour n’en citer que quelques-uns. Il m’a traitée avec une combinaison de plantes médicinales, d’ozone IV et de thérapies au glutathion.
En décembre, je n’allais toujours pas mieux et j’ai sombré dans le désespoir, l’épuisement, l’angoisse et la colère – je n’obtenais pas le soulagement dont j’avais désespérément besoin. Je pesais 48 kg, soit 9 kg de moins que mon poids idéal.
Pour couronner le tout, nous avons eu une urgence familiale qui a ajouté du stress et de l’anxiété. Je suis tombée gravement malade pendant six semaines. Mon esprit était tellement tourmenté que j’ai cru perdre la tête et j’ai envisagé de me suicider. Je me suis sentie abandonnée par Dieu.
Début janvier, mon médecin spécialiste en médecine fonctionnelle m’a mise sous hydroxychloroquine et naltrexone à faible dose, et ma mère m’a emmenée voir un psychiatre parce qu’elle avait peur pour moi. C’est là que j’ai trouvé le miracle qui m’a sauvé la vie : la mirtazapine, un antidépresseur à l’action anti-inflammatoire étonnante. Qui aurait pu imaginer que ce médicament puisse être aussi radicalement curatif ? En l’espace d’une semaine, l’inflammation a disparu de mon corps et je me suis sentie mieux ! Dieu soit loué !
Aujourd’hui, cinq mois plus tard, je suis en rémission de l’inflammation et je suis des traitements pour éradiquer les rougeurs qui ont marqué mon visage. Mon objectif est d’être complètement guérie en février 2024, deux ans après que le COVID-19 a bouleversé ma vie.
Grâce à ces épreuves, je me suis rapprochée de Dieu et je crois pleinement en Son pouvoir de guérison. J’ai commencé à lire la Bible et j’ai vu mon histoire dans celles de Job, du roi David et de Légion.
Je me suis efforcée de comprendre pourquoi cela m’arrivait. À quoi cela servait-il de traverser de telles épreuves ? Après m’être taraudée avec cette question, comme tant de gens le font lorsqu’ils subissent un traumatisme, je me suis finalement rendu compte que le « pourquoi » n’avait pas d’importance. Ce qui compte, c’est de savoir que Dieu m’aime inconditionnellement et que le fait de partager mon histoire peut apporter un peu d’espoir à quelqu’un qui souffre.
J’encourage vivement les gens à se battre pour leur santé et à savoir que Dieu guérira ceux qui cherchent Son aide.
Article écrit par Marianne
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