NANTES — Eric Le Guen, pianiste, dessinateur et écrivain retraité, était présent à la Cité des Congrès de Nantes ce vendredi 26 février avec sa compagne Liliane Lebourg afin de découvrir le meilleur de la danse et de la musique classique chinoise.
Cette responsable de gestion dans la formation professionnelle a déclaré : « J’espère que le paradis a toutes ces couleurs-là, car c’est magnifique ! On peut rêver tout en restant sur Terre également. C’est magnifique ! »
Mme Lebourg a particulièrement apprécié les effets créés par le fond de scène numérique animé, breveté par Shen Yun, et qui permet, entre autres, aux artistes de passer de l’écran à la scène… « Ce plongeon entre la réalité et le divin, c’est superbe ! Je n’avais jamais vu ça sur scène. C’est le premier spectacle où je vois le mélange. Dans les dessins animés, vous le voyez, dans les films animés à la télé, on le voit. Je ne l’avais jamais vu sur scène. C’est superbe, vraiment superbe ! »
En tant qu’artiste, M. Le Guen, a trouvé « intéressant » de pouvoir découvrir la culture traditionnelle chinoise avec Shen Yun. « C’est gai ! Bien que ça puisse parler de choses difficiles, c’est joyeux et c’est généreux ! »
« Tout, quasiment tout, par le mouvement »
« C’est plein de charmes comme nous en Europe, on l’attend de l’image asiatique. C’est avec des formes, avec une manière de montrer les choses et avec un geste permanent. Le geste de la grande scène, le geste du détail, le geste de la petite fleur, le geste théâtral, au restaurant, par exemple… Tout, quasiment tout, par le mouvement ! », s’est-il étonné.
En effet, la danse classique chinoise, l’un des plus anciens et plus complets systèmes de danse au monde, a puisé et forgé ses techniques tout au long des dynasties qui se succédèrent pendant ces milliers d’années.
Aujourd’hui, elle constitue un art à la fois athlétique car des sauts, vrilles et pirouettes viennent agrémenter les postures et mouvements de base, tout en étant très expressive, le danseur exprimant le « yun », ses émotions le plus profondes à travers ses mouvements.
Du tableau chanté par la soliste Tian Li et accompagnée par la pianiste Brenda Chen, Eric Le Guen a apprécié également « ce raccord européen » où « les choses sont dites simplement, bien qu’elles parlent de choses très incarnées, de la vie de tous les jours, comme de la pensée spirituelle la plus élevée. Et c’est dit simplement et frontalement… J’aime bien, c’est même nécessaire ! »
Comme nombre de spectateurs, le couple avait déjà souhaité découvrir Shen Yun dès 2020, mais le confinement les avait conduits à devoir attendre et patienter… « Il fallait absolument qu’on le découvre ! Qu’on vive des moments féeriques ! Et ils nous les ont donnés, tous ces artistes », a conclu Mme Lebourg.
Reportage par Da Ji Yuan et Sarita Modmesaïb.
Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
