Nous approchons de la fin de l’année 2021, et le spectre du Covid-19 défie nos attentes, toujours bien ancré dans notre quotidien. La vie normale n’a pas encore repris son cours.
Force est de constater face aux mutations constantes du virus du PCC (Parti communiste chinois) que les réponses des gouvernements œuvrent à pérenniser la pandémie, lui donner corps, menaçant notre mode de vie.
L’obsession de la vaccination et l’atteinte de niveaux record d’inoculations, des niveaux grotesques qu’il faut atteindre pour ouvrir les frontières des États, tels que l’Australie, par exemple, permettent à la maladie de faire continuellement la une des journaux.
Un événement récent et relativement troublant est la décision du gouvernement australien de rendre le vaccin Pfizer accessible aux enfants de 5 ans. C’est une évolution inquiétante, que toute personne raisonnable, en particulier tout parent, doit examiner attentivement, et ce pour de nombreuses raisons.
En effet, suite à l’adoption par le gouvernement fédéral des recommandations du groupe consultatif technique australien (ATAGI), le gouvernement a annoncé que le programme de vaccination contre le Covid-19 serait étendu à tous les enfants âgés de 5 à 11 ans à partir du 10 janvier 2022.
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Comme indiqué sur le site Web du ministère de la Santé : « Les enfants recevront 2 doses du vaccin à 8 semaines d’intervalle. La dose pour les enfants est égale à un tiers de la dose pour les personnes âgées de 12 ans et plus. » Le communiqué se veut rassurant pour les parents en déclarant : « L’autorisation provisoire de la TGA se fonde sur une évaluation minutieuse des données disponibles, qui confirment la sécurité et l’efficacité du produit dans cette tranche d’âge. » Et d’ajouter : « Les recherches montrent que le vaccin Pfizer est efficace jusqu’à 91 % chez les enfants. »
Cependant, ce sont précisemment ces arguments rassurants qui sont problématiques. En effet, une étude, menée par des scientifiques du King’s College de Londres, a fermement conclu que le risque global pour les enfants de tomber gravement malades ou de mourir du Covid-19 était « extrêmement faible ».
En conséquence, le Comité conjoint sur la vaccination et l’immunisation (JCVI) mandaté par le gouvernement britannique a refusé d’approuver la vaccination pour les enfants de moins de 18 ans, déclarant que le bénéfice pour cette tranche d’âge de recevoir ce nouveau vaccin était « pratiquement nul », alors que le risque notoire d’inconvénients graves n’était « pas négligeable ».
Le 19 juillet 2021, le JCVI a officiellement annoncé qu’il jugeait préférable de ne pas déployer massivement ces nouveaux vaccins chez les enfants en bonne santé de moins de 18 ans. « Pour le moment », conclut la déclaration, « le JCVI est d’avis que les avantages pour la santé [qu’offre] la vaccination universelle des enfants et des jeunes de moins de 18 ans ne l’emportent pas sur les risques potentiels. »
Le seul risque potentiel reconnu comme particulièrement dangereux, ou effet indésirable de ces nouveaux vaccins, est celui de la myocardite, une inflammation du cœur. La myocardite évolue souvent vers une insuffisance cardiaque qui condamne les plus jeunes à avoir besoin d’une transplantation cardiaque.
Un article récemment publié par des professeurs de pharmacologie et de toxicologie passe en revue les problématiques liées à la vaccination des enfants. L’article conclut :
« Une nouvelle analyse du meilleur scénario coûts-avantages a montré de manière très prudente qu’il y a cinq fois plus de décès attribuables à chacune des inoculations que ceux attribuables au Covid-19 dans le groupe démographique le plus vulnérable des 65 ans et plus. Le risque de décès dû au Covid-19 diminue radicalement plus l’âge est bas, par contre les effets à long terme des inoculations sur les groupes d’âge inférieurs augmenteront le rapport risque-bénéfice, peut-être de manière significative. »
Ainsi, étant donné les inconvénients potentiels déjà connus des nouveaux vaccins, dont la myocardite n’est que l’un d’entre eux, et les effets indésirables potentiels à long terme totalement inconnus qui apparaîtront éventuellement après de longues années, la décision du gouvernement australien de recommander la vaccination pour toutes les tranches d’âge, y compris les jeunes enfants, indépendamment de l’état de santé, est tout simplement erronée et ne repose sur aucune preuve scientifique.
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Il s’agit d’une décision politique et non d’une décision médicale. Elle n’est ni déontologique ni éthique, car tout nouveau traitement comporte de très sérieux risques et les statistiques sur la sécurité des vaccins contre le Covid-19 sont insuffisantes concernant leur fiabilité à court terme et nulles concernant leur répercussion à long terme.
Comme l’explique un article du British Medical Journal (BMJ) : « Du point de vue de la santé publique, il est peu judicieux d’exposer des personnes présentant un risque minimal de Covid-19 grave à d’éventuels effets secondaires. L’argument selon lequel ils protègent les autres est faible ou contraire aux preuves. Un tel constat laisse à penser qu’une politique de vaccination ciblant les personnes les plus à risque [est la plus adéquate], elle permet une immunité post-infection plus large pour protéger la population. »
L’Australie a ratifié la Convention relative aux droits de l’enfant, qui est entrée en vigueur le 2 septembre 1990.
L’article 24(1), tout à fait d’actualité, stipule : « Les États parties reconnaissent le droit de l’enfant de jouir du meilleur état de santé possible et de bénéficier de services médicaux et de rééducation. Ils s’efforcent de garantir qu’aucun enfant ne soit privé du droit d’avoir accès à ces services. » Quant à l’article 24(2)(e) il exige de « faire en sorte que tous les groupes de la société, en particulier les parents et les enfants, reçoivent une information sur la santé et la nutrition de l’enfant (…) ».
C’est précisément l’absence d’informations suffisantes et fiables sur l’impact à long terme sur la santé des plus jeunes qui provoque la réticence des parents à faire vacciner leurs enfants.
De fait, les conclusions auxquelles sont parvenus les scientifiques du King’s College sont un exemple de prudence en matière de santé, en particulier celle des très jeunes enfants vulnérables, qui, à long terme, peuvent souffrir d’effets secondaires dangereux.
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