Les lecteurs seront rassurés d’apprendre dans l’article « Pourquoi l’humanité existe-t-elle ? », rédigé par le fondateur du Falun Gong, M. Li Hongzhi, que la bonté est la clé d’une vie et d’un avenir bénis.
Janice Abernethy, institutrice à la retraite et auteur de livres pour enfants, estime qu’il faut faire ce qui est juste, quelles que soient ses croyances spirituelles.
« J’aime le fait que le Falun Gong croit en la nécessité de faire ce qui est juste, d’être bon et gentil, et d’aider les gens », a déclaré à Epoch Times cette femme de 62 ans, qui vit en Pennsylvanie.
Le Falun Gong, également connu sous le nom de Falun Dafa, est une discipline spirituelle comprenant des exercices méditatifs et des enseignements moraux fondés sur trois principes : la vérité, la compassion et la tolérance. M. Li a présenté le Falun Gong au public chinois en 1992.
Bien qu’elle ait été élevée dans la religion catholique, Mme Abernethy pense que l’on peut faire preuve de spiritualité dans la vie de tous les jours sans aller à l’église ni avoir recours à des intermédiaires. En lisant l’article de M. Li, elle a relevé de nombreuses idées qui s’accordent avec la Bible et ses opinions personnelles.
« L’attention portée aux autres est essentielle… il ne semble pas y avoir beaucoup de religions qui le disent expressément », a déclaré Mme Abernethy.
« Mais dans cet article, le discours de M. Li, sa façon de présenter les choses, m’ont donné l’impression que ‘Wow, voilà ma religion' », a-t-elle conclu.
Le principe énoncé par M. Li, à savoir que les bonnes actions sont récompensées, a également trouvé un écho chez Mme Abernethy, qui y voit un « modèle de vie vraiment juste ».
La vie au-delà de la mort
En lisant l’article de M. Li, Margaret Spiller, ancienne factrice à la retraite de l’USPS, a eu la confirmation qu’elle était sur la bonne voie.
« J’ai toujours pensé qu’il fallait être une bonne personne. Il ne faut pas faire de mal à ses semblables, de quelque manière que ce soit. Mais [cet article] m’a fait penser […] que je devrais peut-être faire encore mieux », a déclaré Mme Spiller, qui vit en Virginie, au journal Epoch Times.
Ayant reçu une éducation catholique, cette septuagénaire a avoué que l’idée qui a été évoquée par M. Li dans son article sur la réincarnation l’a aidée à mieux appréhender la mort, d’autant plus que son mari est décédé récemment.
Mme Spiller s’efforce d’être une bonne personne, sans attendre de compensation, ce qui lui permet d’envisager sa vie future avec sérénité. « Je suppose que nos esprits iront dans l’autre monde. C’est censé être beau, non ? Je suis curieuse », a-t-elle confié.
Dans son article, M. Li avance l’idée que la souffrance et les problèmes sont là pour permettre aux gens de cultiver leur caractère moral. Mme Spiller partage ce point de vue.
« L’adversité forge le caractère », a-t-elle fait valoir. « Tout le monde passe par la douleur, le malheur, la tristesse, par tant de choses terribles. Mais il faut voir les choses comme si elles allaient faire de vous une meilleure personne après cette expérience », a-t-elle ajouté.
Elle pense également que les épreuves peuvent être des tests que Dieu nous fait passer pour voir comment nous y réagissons.
« Lorsque les choses vont mal dans votre vie, si vous vous arrêtez et réfléchissez une minute, il se peut que vous soyez testé par Dieu », a-t-elle expliqué.
Persécution diabolique
Mme Spiller a également exprimé son inquiétude face au mal qui sévit dans le monde. « Il y a tellement de gens qui contrôlent ce monde, et qui sont mauvais… Ils laissent les mauvaises choses se produire. Les gens qui contrôlent le monde font des choses terribles », a-t-elle déclaré.
« Le parti communiste chinois emprisonne les pratiquants de Falun Gong […] et les exploite ensuite pour réaliser des transplantations d’organes. Ils les découpent alors qu’ils sont encore en vie », a-t-elle expliqué.
« Quand j’ai été informé de cette affaire, j’ai eu mal au ventre. Comment peut-on faire des choses pareilles ? Comment peut-on être aussi cruel, aussi froid ? » s’est-elle demandé.
Le Falun Gong a connu une popularité croissante en Chine au cours des années 1990, le nombre de pratiquants est estimé entre 70 et 100 millions. Craignant que le nombre de pratiquants menace le pouvoir, le régime communiste a lancé une vaste campagne d’éradication du Falun Gong dès le 20 juillet 1999, initiative qui se poursuit encore aujourd’hui.
Les pratiquants détenus sont également victimes de prélèvements forcés d’organes, entraînant la mort d’un nombre incalculable d’entre eux pour alimenter le marché chinois de la transplantation d’organes.
« Je pense simplement que si l’article [de M. Li] était lu par un grand nombre de personnes et diffusé à travers le monde, et si un grand nombre de personnes y prêtaient attention pendant quelques minutes pour le lire … alors peut-être que certaines personnes prendraient conscience de la situation et mettraient fin à cette folie », a conclu Mme Spiller.
Gary Bai a contribué à la rédaction de cet article.
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