La région Bretagne va injecter 250 000 euros pour aider la start-up NG Biotech, à l’origine de la mise au point d’un test sérologique rapide de dépistage de l’infection au virus du coronavirus.
Ces tests de dépistage rapide fonctionnent avec une goutte de sang et permet de savoir si le patient est positif au virus du PCC*. La réponse au test est obtenue au bout de quinze minutes.
Le président du conseil régional de Bretagne, Loïg Chesnais-Girard, s’est rendu au siège de NG Biotech, à Guipry-Messac (Ille-et-Vilaine), ainsi que le relate France 3 Bretagne. La région Bretagne s’est effectivement engagée auprès de la start-up bretonne et souhaite « accompagner les investissements de cette entreprise de biotechnologie ».
Ces test vont servir, entre autres, au secteur de la pêche durement touché par la crise. « Nos marins pêcheurs veulent savoir s’ils peuvent partir en mer plusieurs jours, sans personne infecté sur le bateau », a expliqué Loïg Chesnais-Girard.
Cette aide est perçue comme un véritable « coup de pouce » au lancement de la production industrielle de ces tests. Une quinzaine d’entreprises bretonnes vont par ailleurs aider à la production en grande quantité des kits de NG Biotech.
La Bretagne devrait acheter de nombreux tests, ainsi que l’a indiqué Loïg Chesnais-Girard, mais sans toutefois donner de quantité précise.
* Epoch Times qualifie le nouveau coronavirus, à l’origine de la maladie COVID-19, de « virus du PCC » parce que la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine avant d’être transmis dans le monde entier.
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