La brutalité du PCC est une humiliation pour le peuple chinois

Le 25 mars était un jour spécial.

Ce jour-là, les États-Unis ont annoncé des sanctions à l’encontre d’une entreprise d’État chinoise et de deux ressortissants chinois pour avoir mené des cyberopérations malveillantes visant les États-Unis.

Le Royaume-Uni a imposé des sanctions à cette même entreprise chinoise et aux deux ressortissants chinois pour des « cybercampagnes malveillantes à l’encontre de députés britanniques et la Commission électorale ».

Ces annonces sont rares, mais elles exposent au monde entier la nature malveillante du Parti communiste chinois (PCC).

Toujours le 25 mars, des reportages ont révélé que des menaces à la bombe avaient été faites à certains théâtres où devait se produire Shen Yun Performing Arts, une compagnie de danse classique chinoise basée à New York, et cible privilégiée du PCC. Le FBI mène actuellement une enquête.

En un peu plus d’une semaine, la compagnie Shen Yun, qui, depuis décembre, se produit dans le monde entier, a reçu trois courriels d’alerte à la bombe. En outre, deux de ses bus de tournée ont été vandalisés d’une manière suggérant une intention de provoquer un accident grave. Ces incidents sont les plus récents de ce qui apparaît être une escalade menée par le PCC contre cette compagnie.

Depuis sa création, Shen Yun ravit des millions de spectateurs dans le monde entier en présentant les véritables histoire et culture traditionnelle chinoises, celle d’avant le communisme, et montre au grand jour la nature malfaisante du PCC.

De nombreux spectateurs ont salué la pureté des représentations de Shen Yun et l’excellence artistique de la compagnie, et celle-ci a reçu des commentaires dithyrambiques dans le monde entier. Les représentations font souvent salle comble, et plus d’un million de spectateurs chaque année assistent aux représentations de Shen Yun.

Le PCC vise à saboter Shen Yun car il a peur que la démarche de la compagnie visant à faire revivre la culture traditionnelle chinoise n’offre aux spectateurs un aperçu de ce qu’était la Chine avant le communisme, et qu’ils prennent conscience de la nature malveillante du PCC.

Depuis que le PCC a usurpé le pouvoir en 1949, son hostilité ne s’est jamais démentie. Le PCC contrôle la Chine par la violence et le totalitarisme, imprégnant toutes les facettes de la société chinoise et étendant même son influence à l’étranger.

Au cours de ses cinq mille ans de glorieuse civilisation, la Chine était perçue comme un pays de haute moralité et de bienséance. Toutefois, au cours des sept dernières décennies, marquées par le règne du PCC, des actes d’une indicible bassesse ont été commis, notamment par les dirigeants du PCC, assombrissant la réputation de la Chine et des Chinois.

La société chinoise, en proie à des crises internes

Depuis que le PCC a pris le pouvoir, il a détruit l’héritage de la Chine, déshonoré les ancêtres de la nation et désacralisé ses traditions culturelles. Des campagnes politiques ont été successivement lancées, ciblant et opprimant la classe dominante. Des reliques culturelles ont été détruites, la moralité et la foi ont été attaquées, notamment lors de la Révolution culturelle des années 1960. Parallèlement, le PCC a systématiquement endoctriné la population chinoise dans l’idéologie communiste, prônant la théorie de l’évolution, l’athéisme, une vision matérialiste du monde et une culture de lutte. Cela a précipité la société chinoise dans le déclin rapide et abrupt de sa moralité.

Un ancien adage chinois dit : « Quand la poutre du haut est de travers, la poutre du bas le sera également. » Dans une société régie par l’autoritarisme du PCC, les entreprises et les sociétés chinoises, dépourvues de valeurs traditionnelles, poursuivent des gains à court terme, sans balise morale. La prévalence des produits contrefaits, notamment les médicaments, le riz, l’huile, les vermicelles et le lait en poudre, de même que la corruption, la fraude, les productions de qualité médiocre, la répression, l’intimidation, l’hostilité et les homicides, sont révélateurs du chaos qui sous-tend la société chinoise. Aujourd’hui, sous le régime du PCC, la société chinoise est en danger et au bord de l’effondrement.

La méfiance internationale envers le PCC

Au sein de la communauté internationale, le PCC ne cache pas sa nature malfaisante. Il rompt ses promesses sans état d’âme et mène une « diplomatie du loup guerrier ».

Le PCC s’était fermement engagé à ce que « la politique de Hong Kong ‘un pays, deux systèmes’ reste inchangée pendant 50 ans ». Cependant, en moins d’un quart de siècle, le PCC a balayé du revers de la main la déclaration commune sino-britannique, la qualifiant de « simple document historique sans signification pratique actuelle ».

À Hong Kong, le PCC a rapidement promulgué l’article 23, une nouvelle loi de sécurité nationale radicale, déclenchant une nouvelle vague de condamnations et de protestations dans le monde entier.

L’article 23 couvre cinq délits : la trahison, l’insurrection, le vol de secrets d’État et l’espionnage, les activités destructrices mettant en danger la sécurité nationale et l’ingérence extérieure.

Par ailleurs, le PCC est de connivence avec les régimes sans foi ni loi du monde entier, et soutient, soit ouvertement, soit secrètement, de nombreux groupes terroristes, dont la raison d’être est de miner ou remettre en cause les démocraties occidentales.

La liberté et la démocratie constituent le fondement des sociétés occidentales. Or, le PCC cherche à corrompre l’Occident avec des gains économiques, et cherche à exploiter la cupidité de la nature humaine pour en éroder les principes moraux et en faire des complices du PCC. Liant les fortunes occidentales au PCC, il sape les valeurs démocratiques et la liberté. Ces stratégies sont méprisables et suscitent l’inquiétude de l’Occident.

Le vol de propriété intellectuelle du PCC jette l’opprobre sur les universitaires

Pour le PCC, tous les moyens sont bons pour renforcer son pouvoir. Ainsi, le PCC exporte son idéologie communiste dans les pays démocratiques et mène des activités d’espionnage au quatre coins de la planète.

Le PCC vole des technologies de l’étranger et les reproduit en Chine, dans une tentative de devancer les pays occidentaux. Les tactiques utilisées par le PCC comprennent la guerre économique et une guerre d’espionnage totale, jetant l’opprobre sur les universitaires chinois à l’étranger.

Les agissements du PCC suscitent l’ire de la communauté internationale, conduisant à un effort concerté pour les contenir.

Entre 2018 et 2022, le ministère américain de la Justice a porté des accusations contre plus de 150 universitaires, dont environ 90% étaient d’origine ou de descendance chinoise.

Le 9 mai 2022, le juge J. Ronnie Greer du tribunal de district des États-Unis a condamné Shannon You, scientifique sino-américaine et ancienne ingénieure en chef de Coca-Cola, à 14 ans de prison pour avoir volé des secrets commerciaux d’une valeur de 120 millions de dollars, s’être livrée à l’espionnage économique et avoir commis une fraude.

Mme You et son partenaire chinois, Weihai Jinhong Group, ont reçu des millions de dollars de subventions du PCC pour soutenir la nouvelle entreprise, selon les procureurs.

Un grand jury fédéral de San Francisco a inculpé Linwei Ding, un ressortissant chinois de 38 ans, alors ingénieur logiciel de Google, pour avoir volé des secrets commerciaux de Google liés à l’intelligence artificielle pour le compte de concurrents chinois cherchant à supplanter le géant dans la course à l’intelligence artificielle.

M. Ding a été inculpé de quatre chefs d’accusation pour vol de secrets commerciaux, chacun étant passible d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 10 ans. Il a été arrêté à son domicile de Newark, en Californie, le 6 mars.

Entre mai 2022 et mai 2023, M. Ding aurait volé plus de 500 fichiers contenant des informations confidentielles de Google.

Le vol de la propriété intellectuelle par le PCC a, en réalité, terni la réputation de la diaspora chinoise, et, par conséquent, ses perspective de carrière à l’étranger. Le vol systématique de technologies américaines et européennes par le PCC a conduit à une suspicion généralisée des Occidentaux à l’égard des ressortissants chinois, soupçonnés d’être des alliés potentiels du PCC, voire ses agents mandataires.

Par exemple, ces dernières années, les États-Unis ont refusé l’entrée à des centaines d’universitaires et étudiants chinois, et certains même ont été visés par des expulsions d’urgence.

En juillet 2021, pour des raisons de sécurité, le gouvernement américain a rejeté les demandes de visa de plus de 500 étudiants chinois de domaines d’études connexes aux sciences, à la technologie, à l’ingénierie et aux mathématiques, qui souhaitaient étudier dans de grandes universités américaines.

Une douzaine d’étudiants chinois se seraient vu refuser l’entrée aux États-Unis et auraient été expulsés dès leur arrivée à l’aéroport.

Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a admis, lors d’une conférence de presse régulière le 4 janvier, qu’au cours des derniers mois, des dizaines de Chinois, dont des étudiants, ont été contraints, par les autorités américaines, de rentrer en Chine. Nombre d’entre eux sont des diplômés des meilleures universités chinoises qui ont poursuivi leurs études dans des universités renommées aux États-Unis.

L’économie chinoise de la contrefaçon en plein essor

Le PCC stimule le développement économique de la Chine par la contrefaçon et à l’imitation de marques à grande échelle. La contrefaçon est devenue tellement systématique que des chaînes industrielles ont été établies à cet effet. La situation est telle qu’elle a conduit à la création d’un « classement des marques de téléphones portables contrefaits » en Chine. Par ailleurs, ces produits contrefaits, de qualité médiocre, sont exportés à l’étranger, et constituent une menace supplémentaires pour les pays étrangers.

Selon le service coréen des douanes, entre le 6 novembre et le 1er décembre 2023, 142.930 articles contrefaits ont été confisqués, dont environ 90% tirent leur origine de la Chine. Des analyses ont révélé que de nombreux produits dont l’usage implique un contact direct avec la peau contenaient des substances cancérigènes à des niveaux de 2 à 930 fois supérieurs aux limites acceptables.

Récemment, en Australie, deux Chinois ont utilisé Uber pour se rendre à une boutique de luxe à Sydney. Au cours du trajet, le chauffeur leur a demandé s’ils se rendaient dans cette boutique pour prendre des photos, reproduire les articles et vendre des produits contrefaits.

Le PCC a normalisé, organisé et même militarisé les actes de vol de propriété intellectuelle, en menant ce qu’il appelle une « guerre populaire » visant l’appropriation de technologies occidentales avancées, jouant la carte du patriotisme, de la ferveur nationaliste et de promesse de gains monétaires et de renom. Des agissements aberrants, alarmants et sans précédent.

La sauvagerie du PCC ne se limite pas aux États-Unis, à l’Europe, à l’Asie et à l’Australie. En Afrique, le PCC exerce agressivement son influence, entraînant une grave dégradation de l’environnement, le braconnage et l’oppression des communautés locales.

À l’heure actuelle, le PCC est sans complexe et défie ouvertement la communauté internationale. Sous le régime du PCC, les agissements indignes sont monnaie courante.

Quand le savoir-vivre se dégrade, la civilisation s’étiole

Le peuple chinois s’enorgueillit d’avoir une longue et riche histoire et civilisation, où s’incarnaient de hautes règles de bienséance. Pendant longtemps, la Chine traditionnelle a joué le rôle de phare où les autres nations venaient étudier et s’inspirer.

À l’époque, des personnes de divers horizons affluaient en Chine pour s’abreuver de connaissances et de savoir-faire, un phénomène révélateur de la splendeur de la civilisation chinoise ancienne. Sous la dynastie Qing, les enfants allant étudier aux États-Unis s’assimilaient rapidement à la société américaine et ont noué de nombreuses amitiés.

Toutefois, sous l’influence actuelle du PCC, de nombreux Chinois ont des comportements et des états d’esprit qui détonnent de ceux de la communauté internationale. Le mépris des normes sociales, la méfiance, la tendance au mensonge et à la confrontation, la difficulté à reconnaître ses erreurs et le narcissisme, sont quelques-uns de leurs traits caractéristiques. L’incivilité de nombreux immigrants chinois dans les sociétés occidentales laisse la communauté internationale pantoise.

En 2015, une Chinoise a laissé son jeune garçon déféquer devant la succursale britannique de Burberry à Bicester Village, dans l’Oxfordshire. Pourtant, les toilettes publiques se trouvaient à quelques mètres.

En 2016, une touriste chinoise a laissé son enfant uriner directement sur le sol du grand Palais de Catherine, à Saint-Pétersbourg, en Russie. Construit au XVIIIe siècle, le palais a été classé au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1990.

Face à de telles incivilités, des pays comme la France, l’Allemagne, le Japon et la Thaïlande – les destinations préférées des touristes chinois – ont tous mis en place des affiches indiquant, en caractères chinois simplifiés : « Chinois, veuillez tirer la chasse d’eau après usage », « Veuillez garder le silence » et « Veuillez vous abstenir de cracher ». Ces affiches à l’attention de la population chinoise embarrassent tous les Chinois.

La communauté internationale mobilisée

Lorsque les agissements du PCC offensent la communauté internationale, le peuple chinois subit les conséquences de leur ressentiment et représailles.

Ces dernières années, la proportion d’Américains et d’Européens ayant des opinions négatives à l’égard de la Chine n’a cessé d’augmenter. Selon un sondage Pew, réalisé en 2023, 38% des adultes américains interrogés qualifiaient la Chine d' »ennemi », soit une augmentation de 13% par rapport à mars 2022. Les Américains sont les plus susceptibles de considérer la Chine comme un concurrent (52%), et seulement 6% la considèrent comme un « partenaire des États-Unis », tandis que 83% ont une opinion négative de la Chine.

Le 14 mars, la commission de la Chambre des représentants des États-Unis sur la Surveillance a fait parvenir des lettres à neuf institutions fédérales, dont le ministère de la Justice, la Drug Enforcement Administration, l’United States Agency for Global Media, le Financial Crimes Enforcement Network du ministère des Finances, la National Aeronautics and Space Administration et la National Science Foundation, afin de s’assurer que le gouvernement fédéral prend toutes les mesures nécessaires pour protéger les Américains de la guerre politique que mène actuellement le PCC à l’encontre des États-Unis. La commission a exhorté toutes ces institutions à contrer l’infiltration systématique du PCC dans la société américaine.

Choisir un avenir meilleur

Le PCC est né de la violence et sa nature malfaisante demeure inchangée depuis sa prise de pouvoir. Lors de la « réforme et de l’ouverture », le PCC a utilisé la rhétorique de la « réforme » – impliquant « l’État de droit, le respect des droits de l’homme, la démocratie, la prospérité, la civilité, etc. » – mais a, en réalité, trompé à la fois la population chinoise et la communauté internationale. Dans la pratique, il a pillé les richesses des particuliers, renforcé son contrôle autoritaire et marginalisé les voix en sa défaveur, entraînant une importante régression de la moralité.

Au cours de ses longues décennies au pouvoir, le PCC a constamment commis des actes répréhensibles et méprisables, s’attirant la condamnation du monde entier et ternissant la réputation de la Chine et du peuple chinois. Lorsque le PCC est confronté à l’opposition des sociétés libres, il utilise sans complexe le peuple chinois comme bouclier.

Une société qui néglige le savoir-vivre ne gagne pas le respect d’autrui. Un régime sans intégrité ne se maintien pas. Une nation et un peuple coupé de leurs racines culturelles ne peuvent véritablement prospérer. Les citoyens chinois et la diaspora chinoise doivent reconnaître que le PCC porte atteinte à l’image de la Chine et de son peuple, et les détruit. En s’opposant au caractère malfaisant du PCC, ils peuvent sauver la réputation que le peuple chinois mérite à juste titre.

La communauté internationale doit cesser de naïvement considérer le régime PCC comme normal. Elle doit reconnaître son caractère malfaisant, et son intention de détruire l’humanité. L’existence du PCC oblige à faire des choix, celui entre le bien et le mal, façonnant ainsi notre avenir. Différencions la Chine du PCC, résistons au PCC, maintenons nos distances envers le PCC et choisissons un avenir meilleur pour nous-même.

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.