Depuis quelques jours, une vidéo sur les réseaux sociaux montre un individu en train de frapper violemment un chat. La police nationale a demandé dimanche aux internautes de les aider à identifier l’homme.
« Vous êtes nombreux à nous signaler la vidéo d’un jeune homme qui maltraite un chat à coups de pied. Les enquêteurs de la plateforme #Pharos ont été saisis. Les investigations sont en cours pour retrouver l’auteur des faits. Ne relayez pas cette vidéo. » peut-on lire sur le compte Twitter de la police nationale.
[VOS SIGNALEMENTS] Vous êtes nombreux à nous signaler la vidéo d’un jeune homme qui maltraite un chat à coups de pied. Les enquêteurs de la plateforme #Pharos ont été saisis. Les investigations sont en cours pour retrouver l’auteur des faits. Ne relayez pas cette vidéo. pic.twitter.com/2ZH8WzkHJV
— Police nationale (@PoliceNationale) 26 mai 2019
Sur cette vidéo, on peut voir un homme d’une vingtaine d’années caresser dans un premier temps un chat, puis lui donner un violent coup de pied, éjectant l’animal à plusieurs mètres, alors qu’il se met à rire.
Des investigations en cours
« Des investigations sont en cours pour retrouver l’auteur des faits », ont indiqué les forces de l’ordre. « Lorsque vous repérez des contenus illicites sur Internet, ne les partagez pas, ne les likez pas ! Faites un signalement directement sur la plateforme Pharos », ont ajouté les forces de l’ordre.
« Les premiers signalements ont été faits samedi », nous confirme une source policière. « Les enquêteurs de Pharos sont en train de retracer l’adresse IP de celui qui a diffusé cette vidéo pour la première fois, en vue de l’ouverture d’une enquête ».
Des peines de prison ferme sont maintenant requises en France dans des cas de cruauté avérée envers des animaux.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.