Parce qu’il a communiqué « des informations qui ne s’appuyaient sur aucune donnée confirmée » en promouvant l’hydroxychloroquine comme traitement contre le Covid-19, causé par le virus du PCC (Parti communiste chinois), Didier Raoult a été sanctionné d’un blâme par la Chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins de Nouvelle-Aquitaine en décembre dernier. En ce début d’année, il a communiqué ses vœux sur Twitter.
Le directeur de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU) Didier Raoult a présenté ses vœux en ce début d’année 2022, une occasion pour ce fervent défenseur de l’hydroxychloroquine de revenir sur le blâme dont il a fait l’objet le 3 décembre dernier.
« Pour moi je ne recule devant rien ni personne »
« Bonne année à vous tous dont mes amis et soutiens de l’IHU. Ne doutez pas, la raison, notre alliée, finira par triompher », a exprimé sur Twitter Didier Raoult ce samedi 1er janvier 2022. Dans un second tweet, il se dit « reposé » et « en pleine forme ». « Nous ne nous coucherons pas, je n’ai pas peur et je suis avec vous pour faire face à la fois aux surprises de la nature et aux erreurs de ceux qui sont censés gérer les crises », a-t-il ajouté, concluant : « Bon courage ! Pour moi je ne recule devant rien ni personne. »
L’infectiologue était poursuivi par l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône, puis par le Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom), qui lui reprochaient d’avoir enfreint plusieurs articles au code de déontologie médicale, en promouvant et prescrivant un traitement à base d’hydroxychloroquine contre le Covid-19.
La chambre considère effectivement que Didier Raoult a enfreint l’article 12 du code de déontologie, qui oblige les médecins à communiquer avec « prudence » auprès du grand public et sur la base de « données » scientifiques « confirmées ».
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