L’humoriste a fait part de colère et de son désarroi sur les réseaux sociaux quelques jours après le décès de son père Paul, à l’âge de 88 ans dans un Ehpad de Lyon.
Ce jeudi, Élie Semoun a publié un billet sur les réseaux sociaux dans lequel il a fait part de sa colère après l’annonce des nouvelles mesures prises par le gouvernement français dans certaines zones de l’Hexagone dans le cadre de la lutte contre le virus du Parti communiste chinois (PCC)*.
Dans son message, l’humoriste est revenu sur l’interdiction des visites dans les Ehpad pendant le confinement, soulignant que cet isolement forcé avait fini par avoir raison de son père, Paul Semhoun, décédé le 12 septembre dernier à l’âge de 88 ans dans un Ehpad de Lyon (Rhône).
« La lecture des nouvelles mesures me met en colère. Il est très douloureux pour moi de l’écrire, mais le confinement a tué mon père. J’écris juste ce que je pense (et je ne suis pas le seul), je ne veux lancer aucun débat, parce que cela me ferait mal ‘d’impliquer’ sa mémoire dans une controverse désormais obsolète pour moi », confie Élie Semoun.
— elie semoun (@SemounElie) September 24, 2020
« Mais je dois rendre public que l’arrêt obligatoire de nos visites à son Ehpad durant deux mois a accéléré son déclin, déjà fragilisé par Alzheimer. C’est quasi criminel d’empêcher nos anciens d’être entourés de l’amour de leurs proches. Parce qu’un ‘Je t’aime’, un baiser, un geste valent mieux que la solitude dans laquelle nous plonge la peur de ce virus, pour des raisons qui échappent à tout le monde… et qui tuent notre économie, notre chère culture, nos rapports sociaux et nos parents », ajoute l’humoriste.
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Ce mercredi, le comédien et humoriste Nicolas Bedos avait lui aussi publié un billet sur les réseaux sociaux dans lequel il critiquait les nouvelles mesures anti-virus de Wuhan édictées par le gouvernement.
Il appelait notamment les Français à « ne pas suivre les lâches directives gouvernementales » en affirmant qu’il fallait « vivre, quitte à mourir ». Des déclarations qui ont suscité une vive polémique.
* Epoch Times désigne le nouveau coronavirus, responsable de la maladie de la Covid-19, comme le « virus du PCC », car la dissimulation et la mauvaise gestion du Parti communiste chinois (PCC) ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale.
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