Le jour de la fête de Thanksgiving, le président américain Donald Trump a tenu une conférence de presse, et les médias ont exercé sur lui une pression implacable pour savoir s’il allait quitter la Maison-Blanche, lui demandant en fait à plusieurs reprises de céder. Cette scène m’a rappelé la Révolution culturelle qui a eu lieu en Chine et la façon dont les médias avaient attaqué Liu Shaoqi.
Li Shaoqi, président de la Chine de 1959 à 1968, a été attaqué par les médias jour et nuit lorsque le leader du Parti communiste a décidé de se débarrasser de lui. En quelques jours, il a été démis de ses fonctions. Maltraité, il est mort seul, sans même que sa famille en soit informée. Au crématorium, son corps est resté anonyme – les employés ne savaient pas qu’il s’agissait de l’ancien président. Des défilés célébrant sa chute ont eu lieu dans tout le pays.
Quand j’ai grandi en Chine, les médias d’État communistes étaient la seule voix à laquelle nous étions exposés. On nous disait que seul le Parti communiste pouvait prendre soin du peuple. Que seul le socialisme était la voie juste pour la vie humaine, et le seul moyen de nous assurer une vie heureuse.
En vieillissant, après avoir immigré aux États-Unis et vécu une vie différente, lu davantage et voyagé davantage, j’ai commencé à comprendre que les médias communistes sont comme un poison. Ils empoisonnent les esprits et contaminent la société.
Les médias communistes n’ont pas vocation à informer. C’est une machine que les communistes ont créée pour mentir. Cette machine est conçue pour cacher la vérité et pour utiliser le mensonge afin de contrôler le peuple. Cette machine n’est pas faite pour raconter de petits mensonges. C’est une machine à mensonges qui amène la société entière à croire en ces mensonges de façon systématique.
En poussant une théorie, un récit, une idéologie qui est contre la nature humaine, contre la tradition humaine et contre notre héritage culturel, cette machine peut procéder à un lavage de cerveau dans tout le pays, à tel point qu’il n’y a plus de norme de bien et de mal. En fait, cette machine établit la norme opposée : le mal devient normal et le bien devient anormal.
Les médias communistes ne sont pas destinés à favoriser une compréhension mutuelle. Ils sèment la division et créent la haine. Les communistes détruisent la société humaine en entraînant les gens dans des groupes opposés, en créant de la haine et en amenant les gens à se battre.
À cause de la propagande communiste, les paysans ont tué les propriétaires, les ouvriers ont tué les chefs d’entreprises, au sein de chaque petit groupe, les gens se sont aussi entretués. C’est pourquoi en Union soviétique, les Russes ont tué des Russes, et dans la Chine communiste, les Chinois ont tué des Chinois. Sous le communisme, 80 millions de Chinois ont été tués, soit plus que le nombre total de morts enregistrés au cours des deux guerres mondiales réunies.
La propagande communiste peut être difficile à repérer parce qu’elle camoufle ses mauvaises intentions derrière le politiquement correct. Les communistes prétendent « servir le peuple », assurer l’« égalité » et « aider les pauvres ».
Cela ressemble à de l’idéalisme, c’est pourquoi cette propagande a été efficace pour attirer les jeunes. Avant que le communisme ne s’empare de la Chine, il se désignait lui-même comme le « sauveur » du peuple. Une fois qu’il a pris le pouvoir, les dirigeants communistes ont commencé à se battre entre eux pour le pouvoir et ont connu la meilleure vie possible. Les riches sont devenus pauvres, et les pauvres se sont appauvris.
Ici, aux États-Unis, nous pouvons voir nos médias agir comme les médias des pays communistes.
CNN et le New York Times s’habillent de bonnes intentions en nous expliquant que nous avons un sérieux problème avec le racisme, tout comme les médias communistes prétendent être au service du peuple. En fait, en encourageant ce discours sur le racisme, les médias fomentent la division. Ce n’est pas un hasard si nous avons vu cet été des jeunes gens se révolter et mettre le feu dans nos grandes villes. Ils ont été formés à la haine, tout comme en Chine, les communistes ont formé les gens à la haine.
Mais en Chine, la lutte des classes est l’outil qui a été utilisé. Le « racisme » aux États-Unis est pour nos médias grand public ce que la lutte des classes était pour la Chine.
Dans leurs reportages sur les États-Unis à travers le monde, les grands médias présentent les États-Unis comme diaboliques et affirment qu’ils devraient se sentir coupables de leur puissance et de leur prospérité. C’est un peu comme les méthodes que les médias des pays communistes utilisent pour appeler les riches à confesser leurs péchés.
Les grands médias nous ont affirmé que les États-Unis étaient en déclin, ce qui est exactement ce que la propagande de l’Union soviétique a déclaré et ce que les médias du PCC ont répété. Ces médias communistes n’ont jamais cessé de demander aux États-Unis, le leader du monde libre, de céder.
Le jour de la fête de Thanksgiving, nous avons vu les médias faire pression sur Donald Trump pour qu’il cède. En fait, les grands médias n’ont jamais accepté la légitimité de Donald Trump.
Par exemple, selon le Centre de recherche sur les médias (MRC), entre les mois de mars et mai 2020, les médias ABC, CBS et NBC ont diffusé une couverture négative sur Donald Trump à 94 %, et cette couverture a atteint un taux sans précédent de 99,5 % au mois de mai. Depuis l’élection de Donald Trump, le MRC a régulièrement constaté que la couverture médiatique du réseau était négative à 90 % ou plus.
Cette unanimité de points de vue est ce que l’on attend des médias communistes. C’est une attaque qui relève de la propagande.
Comme pour le politiquement correct employé par les communistes, derrière cette unanimité se cache la conviction que Donald Trump et les conservateurs n’ont tout simplement pas droit à leurs opinions.
Des centaines et des milliers de personnes se sont manifestées pour dénoncer les fraudes perpétrées lors des élections de 2020, mais les médias n’ont pas rapporté ce qu’elles avaient à dire. Il s’agit d’un contrôle délibéré – ou d’une censure – exercé sur les voix des citoyens.
Les attaques incessantes contre Donald Trump, le politiquement correct, le silence des points de vue, voilà ce qui caractérise la presse à caractère communiste.
Les États-Unis font envie au monde entier pour la liberté et la prospérité dont ils jouissent, et les médias américains sont considérés comme un exemple de presse libre. Les médias des autres pays suivent le modèle de la presse américaine et leur font confiance. Avons-nous encore des médias indépendants et libres ? Si les États-Unis tombent, c’est le monde libre tout entier qui tombera. Qui gagnera ? Les États-Unis ou les communistes ?
Diana Zhang, titulaire d’un doctorat, est une rédactrice de l’équipe qui a 20 ans d’expérience sur l’étude de la Chine. Installée aux États-Unis, elle utilise un pseudonyme pour protéger les membres de sa famille qui vivent en Chine.
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