En allant se faire vacciner, contre la grippe ou le Covid, on présume que le vaccin est sans danger.
On ignore généralement les symptômes légers, tels que les maux de tête, la fièvre, la douleur ou la rougeur au point d’injection, car on est informé et assuré qu’ils seront de courte durée. C’est heureusement le cas en général. On s’en remet et la vie continue.
Cependant, depuis le lancement des vaccins Covid‑19, une proportion importante de personnes vaccinées présente des effets indésirables inhabituels. Les médecins s’inquiètent. À l’heure actuelle, les responsables de la santé publique et les fabricants de vaccins se penchent sur l’incidence élevée de caillots sanguins, de myocardites, de péricardites et d’irrégularités menstruelles.
Il existe cependant des milliers d’autres troubles documentés et signalés sur les plateformes de pharmacovigilance qui ne font pas l’objet du même niveau d’attention.
Depuis leur lancement, les vaccins Covid‑19 ont donné lieu à plus de signalements que tout autre vaccin depuis trente ans. Les troubles signalés sont extrêmement variés.
À noter que de nombreuses personnes vaccinées ne signaleront pas l’effet indésirable dont elles sont victimes. L’étude Harvard Pilgrim de 2005‑2009, financée par le département américain de la Santé et des Service sociaux, a révélé que moins de 1% des effets indésirables survenus après l’administration de 1,4 million de vaccins étaient rapporté sur la plateforme de pharmacovigilance américaine (le VAERS Vaccination Adverse Event Reporting System). Plusieurs analystes indépendants estiment que seulement 2,5% des effets indésirables du vaccin Covid sont signalés au VAERS.
Le VAERS est également réputé pour sa redondance : enflure du site d’injection, enflure du site du vaccin et enflure sont enregistrées comme des événements distincts, en produisant son rapport, une personne peut sélectionner un seul ou les trois événements.
Une autre étude a révélé que les événements indésirables plus graves sont plus susceptibles d’être signalés.
Cet article examine plusieurs événements indésirables désormais courants après la vaccination Covid, sur la base des chiffres du VAERS mis à jour le 18 novembre 2022
Effets indésirables généraux
Les effets indésirables généraux consécutifs à la vaccination Covid sont les plus fréquents. Cela ressort à la fois des signalements sur les plateformes de pharmacovigilance et des rapports d’événements indésirables post‑commercialisation de Pfizer.
Fatigue :
La fatigue est un effet secondaire courant pour de nombreux vaccins. Elle est préoccupante et débilitante si elle se prolonge. Au moins 121.200 cas de fatigue chronique ont été signalés au VAERS après l’injection du vaccin Covid‑19, dont environ 40%, soit plus de 49.000 cas, sont déclarés comme non guéris.
Asthénie :
Souvent considérée comme synonyme de fatigue, l’asthénie définit un état spécifique de faiblesse et de manque d’énergie mentale et physique. Plus de 34.000 cas ont été signalés, principalement chez des adultes âgés de 30 ans ou plus, dont près de 41% n’ont pas récupéré.
Décès :
Plus de 12.000 cas de décès ont été signalés au VAERS suite aux vaccins Covid. Les chercheurs indépendants soulignent la diversité des ingrédients dans les lots de vaccins et leur incohérence. Certains décès surviennent du fait de caillots sanguins et de blocages artériels. D’autres, des suites d’une anaphylaxie (réaction allergique grave). Les causes sont multiples. Plus de 25% des décès signalés sont survenus dans les sept jours suivant la vaccination.
Sueurs nocturnes :
Les sueurs nocturnes, avec 3100 cas signalés, sont beaucoup moins fréquentes après la vaccination que la transpiration excessive, avec plus de 24.000 cas signalés. Bien que les sueurs nocturnes indépendantes d’autres symptômes soient généralement bénignes, il faut y prêter attention si elles se prolongent, perturbent le sommeil et s’accompagnent d’autres symptômes comme la fatigue et la perte de poids.
Effets indésirables immunologiques
Covid‑19 :
Classé comme le neuvième événement indésirable le plus fréquent, plus de 68.000 cas d’infection par le Covid‑19 après une vaccination ont été remontés au VAERS. Plusieurs études ont indiqué que quelques mois après l’administration de vaccins à ARNm, l’immunité des individus aux infections symptomatiques du Covid passe d’une efficacité positive – avec présence de défenses immunitaires – à une efficacité négative. Pour les scientifiques, l’efficacité négative d’un vaccin signifie que le vaccin « induit un plus grand degré de susceptibilité » de maladie chez les « individus vaccinés par rapport aux individus non vaccinés ».
Par conséquent, une efficacité négative indique non seulement que les effets des vaccins vont s’estomper, mais aussi que le risque d’attraper le Covid est plus important chez une personne que non vaccinée. Tous les vaccins Covid sont conçus pour exposer l’organisme à la protéine spike. Les études ont montré que l’exposition à la protéine spike peut rendre les cellules immunitaires moins réactives et désactiver d’importantes voies immunitaires de première ligne, ce qui peut entraîner une réponse inopportune en cas d’infection. En outre, une nouvelle étude a révélé que lorsque des souris se voyaient injecter les nanoparticules lipidiques utilisées dans les vaccins à ARNm, le nombre de cellules diminuait et les réponses immunitaires (innée et adaptative) étaient réduites.
Virus du zona (VZV) :
Plus de 7700 rapports d’infection par le VZV après la vaccination Covid ont été signalés. Il n’est pas précisé si ces cas sont de nouvelles infections ou des virus réactivés. Plusieurs études ont documenté une réactivation du virus chez des personnes vaccinées contre le Covid. La réactivation de virus latents tels que le VZV à la suite d’une vaccination était auparavant assez rare. Cette réactivation est courante lorsque le système immunitaire du patient est fragile ou déficient. La réactivation d’un virus est donc souvent considérée comme un signe d’immunosuppression.
Hypersensibilité :
Plus de 4900 cas de réponses allergiques ont été rapportés. Les réponses allergiques entrainent une inflammation, des gonflements, des rougeurs, des démangeaisons et, dans les cas d’anaphylaxie, des difficultés respiratoires. Les réponses allergiques après une vaccination peuvent être déclenchées par le contenu des vaccins.
Inflammation :
L’inflammation est une réponse physique commune activée chaque fois que le corps subit une blessure ou rencontre un élément étranger ou toxique. Toute maladie ou affection entraînant des douleurs, des rougeurs, des gonflements, voire des difficultés à respirer, est très probablement due à une inflammation. Des études sur la protéine spike du SRAS‑CoV‑2 ont montré qu’elle est hautement inflammatoire.
Symptômes neurologiques
Modifications de la sensation :
Picotements (plus de 25.500 rapports), perte de sensation (plus de 24.300 rapports). Ces symptômes peuvent être l’indice d’une maladie, d’une lésion des neurones ou d’une réduction du flux sanguin vers les neurones, entraînant un dysfonctionnement des neurones.
Douleur :
La douleur au point d’injection est un effet indésirable courant de la vaccination. Cependant, la douleur dans les extrémités (plus de 78.000 rapports) et la névralgie (douleur nerveuse aiguë) (plus de 2.900 rapports) peuvent être le signe d’une lésion neuronale ou d’une éventuelle auto‑immunité. Des études ont établi un lien entre la névralgie et les vaccins à ARNm et à adénovirus, bien que les causes ne soient pas bien comprises.
Acouphènes :
La suractivité des nerfs auditifs peut provoquer des bourdonnements d’oreilles. Des acouphènes ont rarement été signalés à la suite de vaccinations antérieures, mais ils sont très fréquents chez les personnes ayant reçu les vaccins Covid‑19. Les cas liés au vaccin Covid représentent plus de 16.000 des quelque 19 900 cas d’acouphènes liés à la vaccination signalés au VAERS. Toujours plus de recherches sont menées sur les acouphènes associés aux vaccins.
Insomnie :
Les problèmes de sommeil sont assez courant après une vaccination. Ils sont liés à une hyperactivité du cerveau. Il est probable que certains de ces cas d’insomnie soient liés à l’acouphène associé au vaccin, qui peut avoir un impact sur le sommeil.
Tremblement :
Les tremblements ou mouvements involontaires associés aux vaccins Covid toucheraient 0,002 à 0,02% de la population vaccinée. Bien que les tremblements en eux‑mêmes n’entraînent généralement pas de problèmes de santé, ils sont souvent associés à d’autres maladies neurologiques, notamment la maladie de Parkinson. D’autres symptômes post‑vaccinaux courants, tels que les spasmes et les secousses musculaires, peuvent être confondus avec les tremblements, mais les spasmes musculaires sont des contractions musculaires involontaires, tandis que les secousses musculaires sont des mouvements fins d’une petite partie d’un grand muscle. Jusqu’à présent, plus de 15.000 cas de tremblements ont été signalés au VAERS.
Anxiété :
Plus de 9000 personnes ont rapporté des troubles anxieux après la vaccination. L’anxiété serait due à un déséquilibre chimique dans le cerveau obstruant la transmission de l’information vers les neurones.
Brouillard cérébral :
Le VAERS recense plus de 6700 cas de personnes vaccinées faisant état de confusion, dont plus de 2200 cas de troubles de la mémoire et plus de 560 cas de troubles de la pensée. « Le brouillard cérébral » est un terme familier qui décrit tout un ensemble de symptômes tels que la confusion, le dysfonctionnement de la pensée, de la mémoire, de la concentration et de la clarté. Une étude réalisée en 2020 sur des souris et publiée par Nature a montré que les protéines spike pouvaient traverser la barrière hémato‑encéphalique, habituellement imperméable. Une autre étude documentant plusieurs autopsies de personnes vaccinées a trouvé des protéines spike dans les neurones et les vaisseaux sanguins du cerveau.
Modifications du goût et de l’odorat :
De nombreuses personnes ont fait état d’une perte du goût (plus de 5500 rapports) et de l’odorat (plus de 4400), ou d’une modification du goût (plus de 4900), et d’altérations olfactives. Certaines odeurs autrefois agréables ont dès lors été perçues comme nauséabondes. Ces symptômes sont similaires à ceux ressentis par de nombreuses personnes infectées par le Covid. Ces changements peuvent se produire de manière indépendante et peuvent avoir un impact sur le plaisir de manger, entraînant une éventuelle perte de poids. Ils peuvent également être un signe de neurodégénérescence.
Paralysie de Bell :
Il s’agit d’une affection relativement rare et généralement temporaire dans laquelle les muscles faciaux sont paralysés ou affaiblis. Souvent une partie du visage s’affaisse vers le bas. Elle est généralement associée à des infections virales et est causée par une inflammation ou un gonflement des nerfs faciaux. La maladie affecte généralement un côté du visage, mais dans de rares cas, les deux côtés peuvent être touchés. Jusqu’à présent, plus de 3700 cas ont été signalés au VAERS. Un article publié en 2022 évaluant 17 rapports sur la paralysie de Bell et le vaccin Covid‑19 a révélé que les personnes touchées présentent généralement une paralysie du côté gauche du visage, qui peut survenir jusqu’à 48 jours après la vaccination. Ce phénomène a également été signalé dans le rapport d’événements indésirables post‑commercialisation de Pfizer. Cet état est généralement inoffensif et peut habituellement être inversé, bien que les symptômes puissent réapparaître.
Affections musculosquelettiques
Symptômes musculosquelettiques :
Ils sont bien documentés en relation avec les vaccins Covid‑19, notamment la faiblesse et la raideur des muscles et des articulations, la mobilité réduite, les problèmes d’équilibre et les chutes. Selon une étude publiée dans le BMJ 66 personnes ont présenté une inflammation à court terme des articulations 11 à 13 jours après la vaccination sans aucun antécédent de symptômes antérieurs ou connexes. Le vaccin peut également déclencher des maladies musculosquelettiques auto‑immunes ; dans une étude ayant suivi 1519 personnes atteintes de maladies musculosquelettiques, 5% ont connu une exacerbation de leur maladie et 0,1%, des symptômes graves après la vaccination.
Effets indésirables cardiovasculaires
Palpitations cardiaques :
Plus de 16.300 cas de palpitations, décrites comme des pulsations cardiaques plus rapides, plus fortes ou irrégulières, ont été signalés au VAERS. Les plaintes de palpitations sont courantes et généralement bénignes. Elles sont souvent associées à l’anxiété, mais peuvent être le signe de problèmes inquiétants et potentiellement mortels, notamment la tachycardie et la tachyarythmie.
Hypertension :
Plus de 7700 cas d’hypertension (pression artérielle élevée) ont été signalé. L’hypertension est associée aux maladies cardiovasculaires et en augmente le risque. Un article de synthèse examinant six études portant sur 357.387 personnes a révélé que 3,2% (3444 patients) avaient signalé une pression artérielle anormale ou plus élevée après la vaccination Covid. Un autre rapport sur l’hypertension a révélé que neuf patients hypertendus ont vu leur pression artérielle augmenter jusqu’au stade 3 de l’hypertension ‑ pression artérielle supérieure à 180/110 ‑ dans les minutes qui ont suivi la vaccination (pdf).
Tachycardie :
Il s’agit d’un état préoccupant qui se produit lorsque la fréquence cardiaque d’une personne dépasse 100 battements par minute. C’est un fort indicateur d’hypertension et de maladies cardiovasculaires, avec plus de 7000 cas rapportés au VAERS.
Pâleur :
Contrairement aux effets de l’hypertension, la pâleur du visage indique une diminution de la circulation sanguine et constitue un signe avant‑coureur de l’hypotension. Ceci est particulièrement inquiétant si la pâleur est soudaine, car la personne peut s’évanouir en raison d’une chute rapide de la pression artérielle, et cela peut également être un signe d’anaphylaxie. Plus de 6300 cas de pâleur ont été signalés.
Caillots sanguins :
Le VAERS a recensé plus de 5100 rapports de caillots sanguins signalés après des vaccinations Covid. Les caillots sanguins signalés après l’administration des vaccins à ARNm Pfizer et Moderna représentent la majorité des rapports, avec plus de 3900 cas.
Des études ont montré que la protéine spike des vaccins à ARNm est capable de se lier aux globules rouges et peut donc provoquer la formation de caillots sanguins. Outre les caillots sanguins, plus de 3800 accidents vasculaires cérébraux, plus communément appelés AVC, ont également été signalés. Les accidents vasculaires cérébraux sont généralement causés par des caillots dans les vaisseaux sanguins alimentant le cerveau.
Myocardite :
Malgré les nombreux reportages et recherches sur la myocardite post‑vaccinale, la myocardite est en réalité l’effet secondaire signalé en plus petit nombre sur le VAERS. Plus de 2800 cas ont été soumis, 70% des cas étant graves. Il est probable que de nombreux cas de myocardite bénigne n’ont pas été signalés ou n’ont pas été diagnostiqués. Selon les données du VAERS, les jeunes hommes de moins de 40 ans qui ont reçu des vaccins à ARNm semblent être plus touchés que tout autre groupe. Selon la gravité du cas, les patients peuvent être en mesure de se rétablir complètement. Cependant, la myocardite chronique est associée à une hypertrophie du cœur et à d’autres problèmes cardiaques, qui peuvent tous conduire à des maladies cardiovasculaires à plus long terme.
Effets indésirables pulmonaires
Pneumonie :
Plus de 5000 cas de pneumonie Covid‑19 et 4100 cas de pneumonie ont été signalés après la vaccination. Ces deux pneumonies sont l’indice d’un système immunitaire faible ou déréglé, car les personnes ayant un système immunitaire fort sont normalement capables d’éliminer une infection pulmonaire avant qu’elle ne progresse vers une inflammation et une rétention de liquide dans les poumons. Les vaccins Covid peuvent induire ou exacerber une pneumonie et enflammer les poumons après la vaccination. La biopsie d’une personne vaccinée a révélé la présence de la protéine spike dans les cellules pulmonaires neuf mois après la vaccination. Selon le rapport, le patient souffrait de symptômes respiratoires depuis la vaccination.
Embolie pulmonaire :
Il s’agit d’une affection grave où des caillots sanguins se forment dans les vaisseaux sanguins des poumons, ce qui peut réduire le flux sanguin vers les poumons, provoquer des lésions tissulaires et, par conséquent, altérer la fonction pulmonaire et réduire les niveaux d’oxygène dans le sang. Les personnes touchées peuvent tousser fréquemment et éprouver des difficultés à respirer. Au moins deux études de cas ont documenté des embolies pulmonaires après des vaccinations Covid‑19 aux Etats‑Unis. Des embolies pulmonaires ont également été rapportées après des infections au Covid‑19, mais une étude a montré qu’il y a très peu de littérature pour soutenir la théorie selon laquelle l’infection augmente considérablement le risque de cette affection. Plus de 3700 cas ont été rapportés après la vaccination.
Insuffisance respiratoire aiguë :
Avec plus de 3200 cas signalés après la vaccination, cette affection potentiellement mortelle survient lorsque les poumons d’une personne ne peuvent pas répondre à la demande en oxygène ou sont incapables d’éliminer correctement le dioxyde de carbone. En fonction du facteur déclenchant, les médecins peuvent être en mesure d’inverser la situation.
Effets indésirables liés au système endocrinien
Changements menstruels :
Plus de 11.500 femmes ont connu des cas de changements menstruels après la vaccination. Cela inclut des menstruations anormalement abondantes, prolongées, plus fréquentes, irrégulières, incohérentes ou légères, ou l’arrêt des menstruations. Ces changements sont plus fréquemment observés chez les femmes ménopausées âgées de 45 à 55 ans, et chez les femmes périménopausées, généralement âgées de 40 à 44 ans. Cependant, ces événements sont également rapportés chez les fillettes et les adolescentes. Il est alarmant de constater que plusieurs cas concernent des filles de 3, 4 et 5 ans, des femmes âgées de 60 à plus de 80 ans et, dans de très rares cas, des nourrissons. Le cycle menstruel est une alternance soigneusement orchestrée d’œstrogènes et de progestérone, et un changement soudain peut être le signe d’un dysfonctionnement endocrinien, de la formation de fibromes (tumeurs musculaires dans l’utérus) ou d’autres problèmes de santé moins courants mais préoccupants.
Bouffées de chaleur :
Ces sensations soudaines de chaleur au niveau du visage, du cou et du haut du corps surviennent généralement chez les femmes pendant la ménopause, lorsque les taux d’œstrogène et de progestérone chutent. Bien que beaucoup moins fréquentes, les bouffées de chaleur peuvent également survenir pendant les cycles menstruels, affectant principalement les femmes dans la quarantaine qui sont en périménopause. Le VAERS contient 1241 rapports de bouffées de chaleur chez des femmes et des filles en âge de périménopause, dont 31 cas chez des filles âgées de 6 à 17 ans. Il y a également 727 cas signalés chez les hommes. Des études sur les hommes ont montré que les bouffées de chaleur sont généralement dues à une diminution de la testostérone, comme cela peut se produire lors d’un traitement hormonal suppresseur du cancer ou en raison d’un dysfonctionnement testiculaire.
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