Les militants pour le climat cherchent à criminaliser toute opinion ou tout fait contraire à la religion du changement climatique.
Les idées erronées sur le changement climatique vous vaudront-elles une amende, une peine de prison ou pire encore ?
Exprimer une opinion qui remet en question les faits et les fictions qui entourent l’hystérie du changement climatique pourrait-il bientôt devenir illégal, c’est-à-dire interdit par la loi et constituer une infraction pénale ?
Il semble à présent que cette réalité puisse se concrétiser rapidement.
Ce serait une chose si une telle idée monstrueuse se limitait à une petite minorité de fanatiques du changement climatique, d’amoureux des arbres et d’adorateurs de la terre. Malheureusement, il n’en est rien.
De plus, cette notion incroyable et anti-américaine parait tellement irrationnelle qu’elle semble impossible à croire.
Croyez-le.
Diaboliser les pensées indépendantes
Par exemple, l’envoyé spécial des États-Unis pour le climat, John Kerry, a diabolisé les opinions contraires au dogme sur le changement climatique et a qualifié les personnes qui expriment de telles opinions de menaces pour l’humanité.
« Alors qu’ils refusent d’accepter les faits qui expliquent des dommages de plus en plus évidents, que le Premier ministre a énumérés, ils s’en prennent à ceux qui disent la vérité et qualifient d’hystérie des preuves indiscutables », a souligné M. Kerry lors d’un discours prononcé en Écosse.
« Ils aggravent le défi déjà difficile que représente la crise climatique, en promettant de faire plus encore que ce qui fut à l’origine de cette crise. Aujourd’hui, l’humanité est inexorablement menacée par l’humanité elle-même, par ceux qui séduisent les gens en leur faisant croire à une réalité alternative totalement fictive, où nous n’avons pas besoin d’agir et où nous n’avons même pas besoin de nous préoccuper de ce qui se passe. »
Bien entendu, la plus grande menace pour l’humanité a toujours été, et de loin, l’humanité elle-même. C’est particulièrement vrai en cette ère nucléaire et de guerre industrielle, d’armes biologiques et d’autres armes de destruction massive. La déclaration de M. Kerry sur « l’humanité menaçant l’humanité » vise à susciter un impact émotionnel plutôt qu’à décrire une circonstance nouvelle ou inhabituelle qui ne toucherait que ceux qui remettent en question les affirmations des extrémistes du changement climatique.
Mais M. Kerry n’est pas le seul à vouloir priver les Américains de leur droit à la liberté d’expression et de pensée.
UNESCO : Remettre en question la science, une menace pour l’humanité
Les Nations unies ont publié en 2019 un article qui affirme que non seulement votre empreinte carbone est une menace pour le monde tel que nous le connaissons, mais que vos paroles le sont également. Selon le magazine de l’UNESCO, quiconque remettrait en question la pseudo-science du changement climatique d’origine humaine ou contesterait les principes quasi-religieux de la dé-carbonisation constituerait une menace directe pour la planète et mettrait l’humanité en danger d’extinction.
Ce n’est tout simplement pas crédible. Les armes nucléaires aux mains des mollahs iraniens ou l’escalade de la guerre entre la Russie et l’Ukraine ne représentent-elles pas un plus grand danger pour l’humanité que les idées d’une personne ?
L’agression de la Chine dans la région Asie-Pacifique et au-delà ne doit-elle pas être contenue et arrêtée avant notre droit à la liberté d’expression ?
L’expansion cavalière de l’administration Biden dans sa guerre par procuration contre la Russie via l’OTAN ne représente-t-elle pas un plus grand risque pour le monde que les doutes sur les risques relatifs aux niveaux de CO2 ?
Et qu’en est-il de la puissance croissante de l’intelligence artificielle qui, selon Elon Musk, menace l’avenir de l’humanité ?
Allons donc ! Aucune de ces situations à haut risque, potentiellement apocalyptiques, n’est comparable à celle où vous ou moi, ou même un chef d’entreprise, exprimons nos doutes sur les affirmations infondées du changement climatique.
Les partisans de la crise climatique considèrent les conservateurs comme des criminels
Si ça semble ridicule et faux, c’est parce que c’est le cas.
Mais ça n’a pas d’importance pour les Nations Unies. Selon l’article de l’UNESCO, ceux qui doutent du changement climatique représentent une menace existentielle pour l’humanité. Par conséquent, toute personne remettant en question « la science » du changement climatique est coupable d’avoir utilisé un langage susceptible de déclencher la fin du monde et doit être réduite au silence, que ce soit en enfer ou par tous les temps.
« Devrions-nous utiliser le droit pénal pour lutter contre le changement climatique ? La génération actuelle de personnes vivant dans l’Anthropocène est capable d’endommager et de dégrader l’environnement de manière à provoquer l’extinction de l’humanité. Le postéricide est une réponse moralement requise aux changements de situation de l’humanité dans l’Anthropocène », peut-on lire dans l’article du magazine Le Courrier de l’UNESCO.
Notez le langage particulier utilisé pour justifier la violation de nos droits. L’« Anthropocène », fait référence à une période où les activités humaines ont eu un impact sur la planète, autrement dit l’ère post-industrielle. Le postercide est une nouvelle infraction pénale internationale qui vise les personnes et les groupes non conformes, tels que les conservateurs, qui mettent en quelque sorte la planète entière en danger et devraient donc être soumis au droit pénal international.
L’administration Biden est-elle en train d’abolir la Déclaration des droits ?
On peut se demander si c’est le carbone des mots prononcés, les mots eux-mêmes, ou peut-être les deux, qui posent le plus de problèmes.
En fait, cela n’a pas d’importance. Le point clé est qu’il semble que ni l’administration Biden ni l’ONU n’ont de considération pour la Charte des droits dont les citoyens jouissent et qu’ils exercent librement. En fait, il semblerait que nos droits constitutionnels ne seront bientôt plus valables, s’ils n’ont pas déjà été supprimés.
Étant donné que ni M. Kerry ni l’UNESCO ne semblent avoir de scrupules à appeler à l’abolition de nos droits, sans que les grands médias n’émettent le moindre gémissement, comment pourrait-on arriver à une autre conclusion ?
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
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