Jean-Jacques Charbonier a été médecin anesthésiste réanimateur pendant 35 ans et un des spécialistes en France des expériences de mort imminente appelées « EMI ». Il est aujourd’hui conférencier et consacre son activité professionnelle à l’hypnose. Pour en savoir plus les EMI en France et sur ces activités, il a accepté de répondre à nos questions.
Epoch Times : Bonjour M. Charbonier, vous avez été médecin-anesthésiste pendant 35 ans et vous avez assisté à de nombreux témoignages d’expériences de mort imminente. Assistons-nous aujourd’hui à une augmentation de ces témoignages ? Pouvez-vous nous raconter la première expérience à laquelle vous avez assisté et pourquoi vous vous êtes intéressé à ce domaine ?
Dr Jean-Jacques Charbonier : Les témoignages d’EMI sont effectivement aujourd’hui de plus en plus nombreux puisque les réanimations d’arrêts cardio-respiratoires sont de plus en plus fréquentes et de plus en plus efficaces avec la mise en place de défibrillateurs cardiaques, un peu partout sur les lieux publics. Cette évolution favorable de la médecine d’urgence est relativement récente. Si vous faites un arrêt cardiaque en vous promenant dans une grande ville en France, vous avez beaucoup plus de chance d’être réanimé qu’il y a seulement une petite dizaine d’années. Environ 12 à 18% des adultes réanimés sont en mesure de raconter une EMI et ce chiffre grimpe à 65% chez les enfants, selon l’étude du pédopsychiatre américain, le Dr Melvin Morse. Il y a beaucoup plus de récits chez les enfants en arrêt cardiaque car ils ne bloquent pas les informations de l’expérience par les apprentissages matérialistes de nos sociétés occidentales qui ont l’habitude de les ridiculiser ou de les censurer. D’ailleurs, jusqu’à l’âge de 7 ou 8 ans, les enfants ont des perceptions médiumniques ou des réminiscences de vies antérieures, ensuite, la plupart du temps, tout est bloqué par l’éducation reçue. Je suis persuadé que 100% des individus en arrêt cardiaque vivent des EMI, mais hélas, seule une petite minorité d’adultes s’en souvient.
Toutefois, les récits deviennent de plus en plus fréquents car étant dé-marginalisés, la parole se libère peu à peu. On peut désormais parler de cette expérience sans passer pour un fou.
Je me suis intéressé aux EMI dès le début de ma carrière de médecin et j’ai d’ailleurs choisi d’exercer la profession d’anesthésiste réanimateur pour cette raison. Alors que je me destinais à une carrière de médecin généraliste, j’ai eu une expérience personnelle qui m’a fait clairement comprendre que nous sommes un esprit incarné. Lors d’une garde effectuée en SAMU, j’ai physiquement ressenti l’esprit d’un jeune accidenté de la route, quitter son corps après l’échec de ma réanimation. On peut dire que ce vécu de quelques secondes a bouleversé ma vie. Il m’a fait comprendre l’évidence d’une « après-vie ».
À partir de ce moment-là, j’ai décidé de m’investir à fond sur ce sujet et de devenir anesthésiste réanimateur pour mieux étudier le phénomène. Plusieurs années après, j’ai publié « Les preuves scientifiques d’une vie après la vie » édition poche J’ai Lu – Aventure Secrète, puis « Les 7 bonnes raisons de croire à l’au-delà » éditions poche J’ai Lu qui est traduit en une vingtaine de langues et qui reste mon best seller avec plus de 100.000 exemplaires vendus en version française. J’ai aussi dirigé deux thèses de doctorat en médecine sur les EMI ; la dernière étant celle du Dr François Lallier [1], soutenue à l’université de Reims, qui expose ma théorie de Conscience Intuitive Extraneuronale et de Conscience Analytique Cérébrale pour expliquer les ressentis des EMI. Au total j’ai publié 21 ouvrages qui ont tous la particularité d’être en lien direct avec les EMI.
Selon votre expérience, qu’est-ce que les témoignages de mort imminente ont en commun ? Par exemple la vision des scènes du passé, l’omniscience, la perception d’un amour inconditionnel, etc.? Pouvez-vous décrire quelques-uns de ces témoignages ?
Le témoignage standard d’une EMI est assez simple à décrire compte tenu du nombre de récits dont nous disposons. Classiquement, au moment de l’arrêt cardiaque, la personne concernée comprend qu’elle est morte, elle se voit au-dessus de son corps, assiste parfois aux gestes de sa réanimation ou à des scènes qui se déroulent à très grande distance de son corps physique. Il n’y a ni peur ni tristesse. Ceci est surprenant car la personne ne sait pas qu’elle va revenir à la vie. Il y a au contraire une sorte d’euphorie car il n’y a plus aucune douleur et la compréhension d’une chose révolutionnaire : être vivant ce n’est pas avoir un corps mais c’est être conscient. Et l’état de conscience est à ce moment-là hyper-performant; on comprend tout sur tout ; on comprend que rien n’est grave et que tout est juste et que nous sommes sur Terre pour vivre des expériences qui font progresser notre âme, quand celles-ci sont difficiles ou compliquées à vivre. Il y a ensuite le passage dans ce fameux tunnel qui donne accès à une autre dimension où d’autres expériences bouleversantes sont vécues dans une atmosphère lumineuse : la visualisation du déroulement de sa vie depuis le début dans les moindres détails en ressentant le bien et le mal que l’on a fait aux autres, quelques fois et plus rarement des scènes de ses vies passées ou celles de son futur, la visualisation de défunts avec lesquels une discussion télépathique peut parfois se faire, la confrontation avec un « être de lumière » qui prend différents aspects en fonction des cultures et des religions, et surtout un ressenti très fort d’amour inconditionnel dont la puissance balaye d’un revers de main tous les amours terrestres.
On a l’habitude de classifier toutes ces étapes selon les critères décrits par le Dr Bruce Greyson (échelle de Greyson) pour décider si la personne a vécu ou pas une EMI. Je ne suis pas d’accord avec cette méthode ; je la trouve trop restrictive. En effet, il y a des personnes qui ont vécu une seule des étapes décrite dans ma présentation, par exemple une simple sensation de sortie du corps et qui seront excluent par la classification de Greyson alors qu’elles auront pourtant les mêmes transformations de personnalité après leur expérience qu’une personne qui a vécu l’intégralité des séquences.
Plusieurs patients ayant vécu une mort imminente reviennent transformés et changent progressivement de vie. Que disent-ils en revenant et dans quelle mesure changent-ils de perception de la vie ?
Les transformations de personnalités sont radicales après cette expérience qui bouleverse tous les objectifs de vie surtout si ceux-ci étaient orientés sur des cibles matérialistes (ce qui est souvent le cas dans nos sociétés occidentales…).
L’être de lumière ne demande pas à celui ou celle qui se présente devant lui : combien as-tu sur ton compte en banque ? Combien de personnes diriges-tu dans ta vie ? Quelle est la superficie de ta maison ? Quelle est la cylindrée de ta voiture ? Non, rien de tout cela. Il pose la plupart du temps une seule question : ‘Qu’as-tu fais de ta vie pour donner de l’amour aux autres sans attendre un retour ?’ Dès lors, l’objectif de vie de la personne qui reçoit ce message changera pour toujours. Elle s’investira dans des missions humanitaires, des œuvres caritatives et se détachera des valeurs matérielles de ce monde. Imaginons un instant un monde où ces objectifs d’amour et d’altruisme seraient prioritaires… Un monde où les parents ne diraient plus à leurs enfants : si tu veux être heureux, il te faut bien travailler à l’école pour avoir un métier où tu gagneras beaucoup d’argent qui te permettra de faire tout ce que tu veux. Ce plan de vie imbécile fabrique des générations de frustrés car la matière ne sera jamais suffisante et tout le monde ou presque est sous les ordres d’un chef. C’est pour cette raison que j’ai écrit « La mort expliquée aux enfants mais aussi aux adultes » éditions Guy Trédaniel qui existe en version illustrée et qui a aussi été traduit dans une dizaine de langues. Sans faire de prosélytisme, cet ouvrage reprend le récit des EMI pour changer les objectifs de vies des lecteurs.
Les EMI révèlent parfois des capacités extrasensorielles qui étaient jusqu’alors inexistantes: la médiumnité, la télépathie, la possibilité de voir à distance (remote viewing), la voyance, le magnétisme. Beaucoup de personnes sont devenues artistes inspirés (peintres, musiciens, sculpteurs, romanciers, poètes), médiums ou guérisseurs après leur EMI. Un chiffre publié par P.M.H. Atwater montre bien ces changements de personnalités : 70% de divorces dans les 10 ans qui suivent une EMI !
Selon vous, d’où viennent ces EMI ? Comment peut-on les expliquer alors que la science ne réussit pas à les comprendre et à expliquer les récits des personnes en revenant ?
On sait depuis les travaux publiés par De Vries et Bakker en mars 2001 [2] que dans les 15 secondes qui suivent un arrêt cardiaque, on obtient une mort clinique attestée par un EEG plat. Ce délai extrêmement court laisse penser que toutes les personnes en arrêt cardiaque ont une activité corticale cérébrale égale à zéro. Avec un cerveau qui ne fonctionne plus au niveau du cortex, il est impossible de recevoir toutes les informations décrites dans une EMI ; en particulier la vision de scènes se déroulant à très grande distance de son corps physique, qui n’est même pas possible quand le cerveau fonctionne à plein régime. Les exemples de cette incroyable prouesse sont légion, on ne peut plus les nier. Tout se passe comme si notre cerveau était un filtre réducteur d’informations venant d’une autre conscience beaucoup plus vaste située en dehors du cerveau que j’appelle ‘Conscience Intuitive Extraneuronale’ ou CIE et qui serait beaucoup plus performante que celle de notre cerveau. La Conscience Analytique Cérébrale ou CAC bloque et censure toutes les informations qui entrent en dissonance cognitive par rapport à nos apprentissages matérialistes réductionnistes de nos sociétés occidentales. J’explique tout cela dans la thèse de doctorat en médecine du Dr Lallier et dans deux ouvrages « La conscience intuitive extraneuronale » et « Devenir hyperconscient » publiés aux éditions Guy Trédaniel. Si on émet le postulat que le cerveau fabrique la conscience, les informations reçues lors des EMI sont tout simplement impossibles. De mon point de vue, un scientifique objectif ne doit pas rejeter les expériences qui viennent contredire les postulats qu’il a lui-même fixés ; il doit plutôt proposer un autre concept adapté aux faits observés ; c’est ce que j’ai fait avec cette modélisation de CAC et de CIE.
Vous vous intéressez depuis à l’hypnose pour aider certains patients bloqués par des angoisses, pouvez-vous nous décrire de quoi il s’agit ? Est-ce que cette pratique d’hypnose peut présenter certains dangers si elle est mal pratiquée, y a-t-il des précautions à prendre ?
L’étude de centaines de témoignages d’EMI m’a permis de retenir un élément très important: les personnes qui ont connu cette expérience sont considérablement apaisées par rapport aux angoisses de la mort et aux souffrances du deuil. Convaincues que leur expérience n’était ni un rêve, ni une hallucination, elles sont moins tristes que les autres de voir partir un être cher pour l’autre monde et sont beaucoup moins anxieuses devant l’inexorable ; clairement, elles n’ont plus peur de mourir sans pour autant avoir envie de devancer l’appel par le suicide puisque les épreuves terrestres sont, selon leur point de vue, des opportunités de progression de l’âme.
Fort de ce constat, je me suis dit qu’il était dommage de trouver cette sérénité devant la mort en devant subir un arrêt cardiaque. Après avoir utilisé l’hypnose en bloc opératoire avec d’autres confrères anesthésistes, et ayant constaté que c’était les contacts avec les défunts vécus lors des EMI qui étaient le plus apaisants, j’ai souhaité reproduire l’expérience EMI sous hypnose lors d’ateliers regroupant plusieurs personnes dans un protocole que j’ai nommé Trans Communication Hypnotique ou TCH.
J’ai effectué le premier atelier de TCH au Canada, à Montréal en octobre 2014 et comme les résultats étaient encourageants, ils se sont poursuivis en France pendant toutes ces dernières années. Aujourd’hui, plus de 30.000 personnes ont bénéficié de ces séances ! Marc Leval a organisé ces ateliers en France, en Suisse, au Canada et en Belgique tandis qu’Etienne Dupont s’occupait et s’occupe toujours de la sonorisation en mixant ma voix à une musique hypnotique diffusée dans des casques dont certains peuvent être réglés de manière individuelle. Chaque séance dure 4 heures avec une heure de préparation pendant laquelle j’explique le protocole, suivie d’une heure et demie d’hypnose, le reste du temps étant consacré au partage des expériences. On peut trouver tous les renseignements sur ce protocole et le moyen de s’inscrire à ces séances sur la rubrique TCH du site www.abctalk.fr.
La TCH est une hypnose profonde de 90 minutes ; elle doit s’effectuer en présentiel car je dois pouvoir intervenir à tout moment pour les personnes qui auraient des réveils prolongés ou des transes hypnotiques trop intenses. En ce qui concerne les problèmes médicaux qui pourraient se produire à cette occasion, mon expérience de 35 ans de médecin réanimateur me permet d’être suffisamment armé pour affronter n’importe quelle situation d’urgence médicale. À ce jour, nous n’avons jamais eu de problème particulier.
Mais le succès de ces ateliers m’a valu bien des ennuis. J’ai subi un contrôle fiscal qui a montré des erreurs de comptabilité puisque mon comptable incompétent avait placé mes revenus de TCH dans mes revenus médicaux. Ce qui était normalement justiciable d’un simple redressement fiscal est devenu blanchiment d’argent et fraude fiscale. Cette information a été relayée par la presse inféodée à Big Pharma dès le lendemain de ma première garde à vue (j’en ai subi deux). J’ai été mis sous écoute téléphonique et espionné par un drone (révélé par le brigadier de ma première garde à vue qui ne comprenait pas cet acharnement engagé sur ma personne). J’ai subi une interdiction d’exercice de la médecine pendant 3 ans (aujourd’hui terminée) qui a conduit mon assurance professionnelle à porter plainte à la Cour Européenne des Droits de l’Homme à Bruxelles pour que l’État français indemnise mon préjudice. J’explique tous ces mécanismes de corruptions médiatique, médicale et juridique dans mon dernier livre « Hold up sur la vérité » publié chez Guy Trédaniel.
Quelles sont les expériences auxquelles vous avez assisté lors de ces séances ? Vous parlez de souvenirs de vies antérieures, de vision d’un futur proche. Une nouvelle fois est-ce que l’on peut expliquer ce type de phénomène par la science contemporaine ?
La TCH remet en question non seulement le fonctionnement de la conscience mais aussi celui de l’hypnose puisque jusqu’à présent on pensait que toutes les informations révélées sous hypnose étaient contenues et cachées dans une des mémoires du cerveau. Or la TCH fait voler en éclat ce postulat ; certaines informations données en TCH ne peuvent tout simplement pas venir du cerveau. Par exemple, des défunts inconnus apparaissent et sont reconnus secondairement sur une photo après l’enquête approfondie d’un participant ou par un autre participant de la même séance qui lors du débriefing reconnaît la description physique de l’entité qui donne aussi parfois son nom et son prénom. Un défunt peut aussi lors de ces séances délivrer un secret de famille avéré par la suite exact ou la position précise d’un objet ou d’un document caché dans une maison ou encore décrire des scènes précises qui se déroulent à distance de l’endroit où se fait l’atelier. Description également de scènes se déroulant dans le futur et validées ensuite plusieurs mois ou plusieurs années plus tard. Tous ces phénomènes se sont produits à de nombreuses reprises.
En ce qui concerne les vies antérieures visualisées en TCH, j’ai noté que ces perceptions avaient une action thérapeutique. En effet, une angoisse, une phobie, un malaise par rapport à une situation donnée peuvent disparaître définitivement après en avoir identifié son origine dans un traumatisme vécu dans une vie antérieure, en l’occurrence il s’agit souvent des circonstances de décès.
J’ai aussi obtenu lors de ces séances de TCH des guérisons de certaines maladies chroniques ou des disparitions totales de douleurs installées depuis longtemps. En tant que médecin, je n’ai aucune explication rationnelle à donner concernant ces surprenants résultats, mais les faits sont là et on ne peut les nier. Ceci m’a donné l’idée d’organiser d’autres séances d’hypnose dédiées aux soins énergétiques. J’ai nommé PCH ces séances (Programmation Cellulaire Hypnotique) ; la première cession de PCH s’est déroulée à Lyon le premier week-end d’avril et a réuni 600 participants. Les premiers résultats obtenus sont très encourageants.
J’ai également remarqué que les participants des ateliers de TCH pouvaient se connecter aux énergies des lieux et retrouver le passé de ces lieux dans des sortes de flashs médiumniques. Depuis un an, j’effectue d’autres séances d’hypnose de groupe de 50 à 90 personnes sur des sites réputés pour les énergies qu’ils dégagent par un autre protocole hypnotique que j’ai nommé le HIGH Concept (Hyper Immersion Géolocalisée Hypnotique). Bien sûr, je dois faire ces séances d’hypnose de groupe dans des lieux privatisés interdits au public pendant une heure ou deux. Grâce au savoir faire d’Eric Grange, le directeur d’une agence de voyage spécialisée intitulée Oasis l’éveil aux mondes, j’ai pu pratiquer le HIGH Concept dans des temples grecs, à Lombrives dans la plus grande grotte d’Europe. Et ici encore, les résultats obtenus sont totalement bluffants.
Pour les personnes intéressées par mes séances de PCH ou de HIGH Concept, il faut s’adresser à www.oasis-voyages.com ou écrire un mail à hypnose@oasis-voyages.com pour être prévenu en priorité des séances à venir.
Au total, on voit bien que tout ce travail de recherche conduit à penser que les états de conscience modifiés obtenus en hypnose ou lors des EMI sont susceptibles d’apporter des soutiens considérables aux différentes thérapies médicales hospitalières. Ces thérapies ne doivent pas entrer en concurrence avec les soins habituels mais être envisagées en synergie ; il s’agit d’une complémentarité et non d’une substitution.
[1] Lallier F., Facteurs associés aux expériences de mort imminente dans les arrêts cardia-respiratoires réanimés, thèse de doctorat en médecine, Reims, 2014. (Dr Charbonier J.J. directeur de thèse)
[2] Visser G. H., Wieneke G. H., Van Huffelen A. C., De Vries J. W., Bakker P. F., « The developpement of spectral EEG changes during short periods of circulatory arrest », J. Clin. Neurophysiol. Off Publ. Am. Electroencephalographic Soc., mars 2001, 18(2), p. 169-77.
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