Le samedi 15 janvier, Maître Brusa a pris part au cortège qui a défilé de la place du Trocadéro jusqu’à la place de Fontenoy pour exprimer son opposition au pass vaccinal.
Accompagné de plusieurs membres de l’association Réaction19, dont il est co-président, Me Brusa est revenu sur différents aspects de la crise sanitaire, notamment sur le plan du droit.
Pour Me Brusa, il ne fait aucun doute que les libertés fondamentales ont été bafouées et que le principe de l’État de droit a volé en éclats.
« Quand vous n’avez pas une juridiction pour faire valoir vos droits, quand vous n’avez pas de juges indépendants qui peuvent sanctionner l’État, quand vous n’avez pas de juges qui peuvent sanctionner les abus de l’autorité, vous n’avez pas de droit. Le droit n’existe que s’il y a une justice. »
Selon l’avocat, l’évolution vers une société où l’État accroit son emprise sur les individus en s’appuyant notamment sur la technologie est particulièrement inquiétante.
« Aujourd’hui nous sommes déjà sur ce chemin où la contrepartie de la liberté de voyager est liée au contrôle individualisé. Et pour contrôler chaque individu il faut des algorithmes, des pass vaccinaux, etc. »
« La vie privée n’existe plus, l’intimité n’existe plus, quand vous n’avez plus d’ombre dans votre vie, quand votre vie privée n’est plus protégée, quand votre vie est comme un livre ouvert pour l’État, vous n’êtes plus libre parce que vous n’êtes pas à l’abri de ce qui peut être mis sur la table pour vous faire plier et vous faire taire. »
Retrouvez son témoignage intégral au micro d’Epoch Times France.
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