Lorsqu’il a reçu un diagnostic de cancer de l’estomac de stade 4 en 2010, le professeur Randy Hilliard a décidé de mourir par suicide assisté. Cependant, il a plutôt essayé un nouveau traitement et est on ne peut plus heureux d’être en vie.
« Ma réaction immédiate a été : ‘Je suis mort.' » Cet ancien professeur de psychiatrie à la Michigan State University, aux États-Unis, a rapidement planifié sa mort par suicide assisté en Suisse, ainsi que ses funérailles. « C’était une façon plutôt pathétique d’exercer un certain contrôle sur ma vie », a-t-il confié au Detroit Free Press.
À l’université du Michigan où il travaillait, M. Hilliard a eu la chance de s’entretenir avec un oncologiste qui lui a suggéré d’essayer un nouveau médicament appelé Herceptin. Même si ce médicament ne permettait que de rallonger l’espérance de vie de 11 à 13 mois en moyenne, et que le taux de survie du cancer de l’estomac au stade 4 est de 18 %, il a déjoué toutes les statistiques.
En 2013, les médecins ont déclaré qu’il n’avait plus aucune trace de maladie. Ce professeur a voyagé avec son épouse partout dans le monde dans les dernières années, bien plus que pendant toute sa vie : Amérique du Sud, Dubaï, Singapour, Sydney…
Il est aussi devenu un ardent défenseur des droits des patients. Il conseille à tous ceux qui reçoivent un diagnostic de cancer d’obtenir une deuxième opinion et de ne pas hésiter à participer à des essais cliniques.
Chaque matin, il est déconcerté de voir qu’il est aussi vivant, aussi « non mort ».
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