Michel Festivi : « Le combat pour la vérité historique sur le communisme est plus d’actualité que jamais »

Par Etienne Fauchaire
8 janvier 2025 15:14 Mis à jour: 8 janvier 2025 16:44

ENTRETIEN – Le communisme, responsable de 100 millions de morts au XXe siècle selon Le Livre noir du communisme, continue de fasciner. Cette idéologie reste « une passion française », regrette Michel Festivi, avocat honoraire et ancien bâtonnier de l’ordre. C’est pourquoi, dans son ouvrage La Désinformation autour du Parti communiste français (éditions Dualpha), l’écrivain met à profit sa vaste expérience de juriste pour engager une guerre mémorielle visant à déconstruire des falsifications historiques qui cherchent à réécrire le lourd passé d’un parti porteur d’une idéologie toujours bien vivante. 

Epoch Times : Le Parti communiste français réalise aujourd’hui de maigres scores électoraux. Seulement 2,3% lors de la présidentielle et 2,5% aux européennes. Pourquoi estimez-vous qu’il est encore essentiel, en 2025, de mener un travail de mémoire sur l’histoire du PCF à travers la publication de cet ouvrage ?

Michel Festivi : Vous soulignez à juste titre les scores électoraux très faibles du PC « F », mais le plus important n’est pas là. D’une part, avec ses alliés, dont LFI et les socialistes, le Parti communiste dispose d’une représentation élective qui va bien au-delà de ses scores, tant en députés qu’en élus départementaux et régionaux, et dans les mairies. Sans ces alliances, le Parti n’aurait quasiment pas d’élus.

D’autre part, de très nombreux hommes politiques qualifiés abusivement « de droite » ou du centre, comme Edouard Philippe, Xavier Bertrand, Dominique de Villepin, Charles-Amédée de Courson, Gérard Larcher le soutiennent. Et certains d’entre eux se rendent même à ses manifestations, comme à la fête de l’Huma. Ils ont été jusqu’à appeler à voter pour des candidats communistes…

Enfin, l’idéologie communisante est toujours très prégnante en France. Comme l’avait écrit Marc Lazar, « les braises sont toujours chaudes, le communisme est une passion française ».

Le PC falsifie en outre son histoire en permanence. Même Emmanuel Macron, lors de la panthéonisation de Missak Manouchian, a assimilé le communisme avec la liberté, bafouant ainsi les 100 millions de morts, les prisonniers du goulag, les hôpitaux psychiatriques… C’est pourquoi le combat pour la vérité historique est plus d’actualité et plus nécessaire que jamais.

En effet, les communistes, comme toute la gauche d’ailleurs, entendent se situer dans le camp du bien et rejeter tous leurs adversaires dans le camp du mal, en pratiquant notamment le terrorisme intellectuel, comme l’avait dénoncé Jean Sévillia, dans son livre au titre éponyme. C’est pour cela qu’il faut en permanence ne rien lâcher et revenir toujours sur leurs trahisons et mensonges.

Dans votre livre, vous rappelez la passe d’armes entre le journaliste Daniel Riolo et le communiste Ian Brossat sur RMC en mai 2019 à propos de l’attitude du PCF pendant la Seconde Guerre mondiale. « C’est la collaboration avec les nazis », lançait le premier. « Non, c’est la résistance, Monsieur, c’est 75.000 fusillés », rétorquait le second. En réaction, la rubrique de fact-checking d’Arte soulignait que ce chiffre est une « outrance » qui « figure même dans certains manuels scolaires comme un exemple de réécriture de l’histoire », le nombre de fusillés pendant la guerre s’élevant à 4000, avec 30% de communistes. Estimant que les communistes ont donc « payé un lourd tribut à la résistance », les fact-checkeurs écrivent par ailleurs : « Jusqu’au printemps 1941, le PCF était prisonnier du pacte de non-agression germano-soviétique, mais cela n’empêchait pas les communistes d’être opposés au régime de Vichy, et certains, comme Gabriel Péri, de rejoindre la résistance très tôt. Les communistes n’ont absolument pas collaboré en se mettant au service du Reich. » Qu’en est-il ?

Vous rappelez vous-même les mensonges actuels et permanents du PC « F » sur son histoire : ce n’est pas innocent comme je viens de l’indiquer. Arte reprend sans aucune critique l’une des mystifications habituelles du Parti.

En réalité du 23 août 1939, date de la signature du pacte entre Hitler et Staline, jusqu’au 22 juin 1941, date de l’invasion par la Wehrmacht de l’URSS (opération Barbarossa), les communistes « français », ont appliqué avec zèle les directives de la IIIe internationale et ont sciemment trahi les intérêts de la France et des Français. Par exemple, ils ont appelé aux sabotages des matériels militaires, ce qui a entraîné des morts de nos soldats.

Tous les communistes qui ont maintenu des liens avec Moscou et le Kominterm, aussi bien les dirigeants, tels Thorez, Duclos, Frachon, Fried, ou des personnalités comme Marty, Havez, Tillon, Billoux, Rol Tanguy, Plissonnier, Florimond Bonte, Marcel Paul… ont milité pour l’entente avec l’URSS et n’ont rien entrepris contre les nazis.

Il est aujourd’hui parfaitement documenté – je renvoie par exemple aux travaux de l’historien Fabrice Grenard – que Georges Guingouin n’a pas du tout soutenu la lutte contre l’occupant avant le 22 juin 1941, et qu’au contraire, comme tous les autres précités, il a injurié de Gaulle et les Français libres, ainsi que l’Angleterre qui luttaient alors seuls contre les Allemands. Et ce au nom du pacte germano-soviétique.

De très nombreux historiens, comme Henri Noguères par exemple, soit par philo-communisme, soit par naïveté, se sont laissés manipuler par des communistes, et des témoignages bidons. Quant à Gabriel Péri, il a refusé de se désolidariser, comme l’ont fait a contrario de nombreux députés communistes, du pacte Hitler-Staline, même s’il avait paru très troublé.

Il sera dénoncé au Kominterm par André Marty comme tiède, puis sera condamné par la justice française pour être resté fidèle à la IIIe internationale. Il restera d’ailleurs dans le groupe Ouvriers et Paysans du PC « F », et sera déchu de son mandat de député comme ses autres collègues par le gouvernement Daladier (ceux qui avaient désapprouvé le Pacte avaient vu leurs mandats validés). Il continuera à écrire dans l’Humanité clandestine, qui jusqu’au 22 juin 1941 sera totalement à la solde des nazis et ne les attaquera jamais.

Il sera arrêté le 18 mai 1941, sur vraisemblablement une dénonciation communiste, car il s’était opposé aux démarches effectuées par Duclos et Tréand pour faire reparaître leurs presses, après l’occupation de la France, auprès d’Otto Abetz.

Tout martyr qu’il fut, Gabriel Péri n’a pas fait d’actes de résistance, contrairement à Honoré d’Estienne d’Orves, Pierre Brossolette ou Jacques Renouvin. Arte nous raconte donc des balivernes en reprenant les habituels éléments de langage du PC « F ».

Avoir été un clandestin ou un interné n’a jamais constitué un acte de résistance. Fustiger Vichy n’a jamais été assimilable à de la résistance. Le PC entretient cette confusion volontaire qui relève d’une manipulation.

En 2007, la première décision de président de Nicolas Sarkozy fut de faire lire dans toutes les classes du pays, en début d’année scolaire, la lettre de Guy Môquet à ses parents avant son exécution. Encore à ce jour, ce jeune communiste fusillé le 22 octobre 1941 est régulièrement présenté comme un « Héros de la Résistance ». Pouvez-vous expliquer en quoi s’agit-il, comme vous l’écrivez, « de la plus grande entreprise de désinformation réalisée par le PC “F“ et ses soutiens » ?

Nicolas Sarkozy, par ignorance, incompétence ou pour faire un coup politique qui s’est avéré totalement raté, est tombé dans le piège dressé par les communistes. Comme je le démontre dans le chapitre que je consacre à cette affaire, Guy Môquet, tout tragique que fut sa fin de vie, était un ardent partisan du pacte Hitler-Staline, mais aucunement un résistant. Car il faut bien comprendre qu’être un otage ou un clandestin, n’était aucunement synonyme d’être un résistant.

Guy Môquet, dont le père, député communiste déchu resté fidèle à Moscou, condamné de ce fait par la IIIe république, n’a fait que distribuer des tracts et des journaux à la gloire de l’URSS et de Staline et de l’alliance Hitler-Staline. D’ailleurs, il n’a pas été arrêté par les Allemands, mais par la police française, le 13 octobre 1940, en plein pacte Hitler-Staline, à la gare de l’Est à Paris, en train, avec d’autres camarades des Jeunesses Communistes, de distribuer des journaux à la gloire de l’URSS.

Depuis les décrets de la fin de la IIIe république d’août, septembre 1939, toute l’activité communiste étant devenue illégale, la police française appliquait ces règlements, que Vichy a continué à faire respecter.

Guy Môquet ne sera jamais remis aux Allemands, n’ayant jamais attenté aux intérêts des occupants. Il sera interné administrativement à Choiseul près de Châteaubriant par le gouvernement français pour accointance avec Moscou. S’il avait attenté aux Allemands, la police aurait dû le remettre aux autorités occupantes, comme le prescrivaient les conventions franco-allemandes de juin 1940 : ce ne fut jamais le cas.

Ensuite, en octobre 1941, après la rupture du pacte, et compte tenu d’un attentat survenu contre un officier allemand dans la région de Nantes, Môquet sera, avec d’autres, désigné comme otage, selon le code des otages de la Wehrmacht, et fusillé comme otage et non comme résistant. Je donne tous les détails dans mon livre.

Comme l’ont indiqué les historiens Liaigre et Berlière, à l’issue d’un remarquable travail de recherches dans les archives, « il faut une belle dose d’ignorance, d’imagination ou beaucoup d’aplomb, pour faire de Guy Môquet un résistant. ». La justice française, après la guerre, a toujours refusé à la famille de Guy Môquet le titre d’interné-résistant : cela lui sera finalement octroyé, pour des raisons d’opportunités politiques par un ministre socialiste en 1956.

Aujourd’hui connue pour défendre des causes telles que le transgenrisme, l’écologisme radical, l’ouverture des frontières, ou encore le port du voile islamique et l’interdiction des crèches de Noël, la Ligue des droits de l’homme (LDH) était allée jusqu’à justifier les sanglants procès de Moscou (1936-1938) orchestrés par Staline. Pourriez-vous revenir sur cet épisode méconnu de l’histoire que vous avez tenu à rappeler ?

La LDH s’est totalement compromise avec le totalitarisme communiste, et son président d’alors, Victor Basch, pourtant adulé aujourd’hui, a trahi les devoirs de sa charge, se soumettant pleinement à Lénine puis à Staline, et cela en toute connaissance de cause. C’est un scandale absolu que peu de personnes osent dénoncer, toujours par peur du politiquement correct.

Déjà, en 1919, la LDH avait procédé à une enquête sur le totalitarisme bolchévique et avait interrogé plusieurs témoins qui revenaient de Petrograd ou de Moscou. Tous ces témoins expliquaient la mise en place d’un système politique ultra policier, emprisonnant les opposants, interdisant tous journaux d’opposition, par la création dès décembre 1917 de la Tchéka et des camps de concentration, les futurs goulags.

Il ne faut pas oublier, que le 19 janvier 1918, sur ordres de Lénine, les gardes rouges avaient manu militari expulsé tous les députés de l’Assemblée constituante, qui avait démocratiquement été élue entre le 12 et le 25 novembre 1917, car les bolchéviques y étaient minoritaires.

La LDH a récidivé en 1936, au moment des procès de Moscou, refusant de les condamner, malgré les évidences, et cela au nom des grands principes de la Révolution française. J’explicite toute cette affaire dans mon premier chapitre : la LDH savait tout, mais a refusé de dénoncer les gravissimes atteintes aux droits de l’homme, tout comme le Parti socialiste d’ailleurs, et Léon Blum le premier, du fait de son alliance électorale avec les communistes au moment du Front populaire.

Aujourd’hui, par cette idéologie pervertie, la LDH vient justifier toutes les atteintes à la dignité humaine et notamment l’abaissement du droit des femmes par la défense du port du voile et du burkini et par des silences coupables sur ce qui se passe en Afghanistan, en Iran et bientôt en Syrie : elle défend l’apartheid des sexes et préfère œuvrer pour faire retirer des crèches dans certaines mairies.

Vous revenez également sur les liens financiers « permanents et considérables » entre le PCF et l’URSS. S’ils avaient été déjà démontrés dès les années 1970 par des journalistes d’investigation comme Jean Montaldo, vous écrivez que le gouvernement giscardien a cherché à taire l’affaire, notamment par l’intermédiaire d’Alain Duhamel dans Le Monde du 3 mars 1979. Comment expliquez-vous cette omerta alors et jusqu’à ce jour ?

C’est l’objet d’un chapitre entier du livre. Deux historiens français, qui parlaient et lisaient le russe, Pierre Lorrain et Victor Loupan, se sont rendus à Moscou dans les années 1990 et ont eu accès à des pièces incontestables, qu’ils produisent pour certaines dans leur ouvrage publié en 1994, L’argent de Moscou, l’histoire la plus secrète du PCF.

Pièces à l’appui, ils démontrent que, de 1921 à 1991, le PC « français » fut entièrement financé, tant en argent que matériellement, par la IIIe internationale, par le PCUS, ou par le Kominform. Par exemple, lors de la campagne électorale présidentielle de 1988, André Lajoinie, candidat communiste avait reçu en donation plusieurs dizaines de millions de francs, demandes faites par Georges Marchais à Mikhaïl Gorbatchev.

Cette omerta se poursuit de nos jours. Jamais aucun journaliste de la grande presse ne pose des questions gênantes aux représentants du PC « F » : c’est symptomatique de cette paralysie politique à sens unique qui concerne aussi bien des élus de « droite », que de gauche.

C’est pourquoi tout ce que je dénonce dans mon ouvrage est toujours d’actualité dans la vie politique française. Jamais sans ces dons et aides massives, le PC « F », n’aurait pu se maintenir.

On a appris ces derniers mois que de nombreux journalistes français, et non des moindres, avaient été payés par les Soviets et qu’ils ont contribué à diffuser en France l’idéologie communiste : les archives du KGB l’ont prouvé, archives que l’on peut consulter au Churchill College à Cambridge.

« Tout anticommuniste est un chien », s’écriait l’écrivain Jean-Paul Sartre, en 1961. Pourtant, en 1950, il reconnaissait dans la revue Les Temps modernes qu’il « est probable que le nombre de détenus se chiffre par millions » et que cela remet en question le système soviétique. La preuve que le fondateur du journal Libération « mentait sciemment et savait qu’il travestissait volontairement la vérité », dénoncez-vous. En 2025, bien que certains à gauche préfèrent volontiers esquiver le débat sur les crimes communistes, rares sont ceux qui osent désormais les nier ouvertement. Le refrain consiste plutôt à dire que les régimes de Lénine, Mao, Castro, Hô Chi Minh ou encore Pol Pot n’avaient « rien à voir avec le communisme ». Que cela vous inspire-t-il ?

Les positions des intellectuels français ou européens dits de gauche devraient les disqualifier définitivement et les rejeter à tout jamais « dans les poubelles de l’Histoire », selon la formule employée par Trotski.

C’est l’idée totalement fausse que le communisme aurait été trahi par Staline, Mao, Pol Pot et autres tyrans comme Fidel Castro, qui fut tant adulé par la gauche française, parmi lesquels Gérard Philippe, Bernard Kouchner, le couple Sartre-Beauvoir, ou encore comme Régis Debray en son temps, Georges Frèche, Michel Le Bris, Alberto Moravia, Gérard Miller, Marguerite Duras, Jorge Semprun, Agnès Varda, Michel Piccoli, François Maspero et tant d’autres.

Comme l’ont démontré Stéphane Courtois ou Thierry Wolton, ces tyrans rouges n’ont fait qu’appliquer les recettes de Marx, Engels, Lénine, Staline et consorts. André Malraux avait encensé Staline en 1936 et 1937 : « Staline a rendu la dignité à l’espèce humaine, les procès de Moscou n’amoindrissent nullement la dignité fondamentale du communisme ».

Comme l’avait dit Jean François Revel en évoquant la schizophrénie communiste, « le totalitarisme le plus efficace… le seul présentable, le plus durable fut celui qui accomplit non pas le mal au nom du mal, mais le mal au nom du bien ».

Je conseille à tous les lecteurs de voir le film Rendez-vous avec Pol Pot du cinéaste d’origine cambodgienne Rithy Panh. Ils comprendront cet aveuglement généralisé, qu’avait dénoncé le journaliste et historien Christian Jelen dans un livre dénommé justement l’Aveuglement, les socialistes et la naissance du mythe soviétique. Dès 1848, Karl Marx, qui avait fondé les bases du communisme, écrivait : « Les communistes déclarent ouvertement qu’ils ne peuvent atteindre leurs objectifs qu’en détruisant par la violence, l’ancien ordre social ».

Hier, le communiste militait pour un régime socialiste sous la bannière de la défense des ouvriers. Aujourd’hui, le communiste milite pour un régime socialiste sous la bannière de la défense des trans, des « racisés », ou encore des musulmans. Pour citer Mathieu Bock-Côté, pensez-vous, comme lui, que « la révélation diversitaire correspond à la poursuite du communisme d’hier par d’autres moyens » ?

Toute la gauche française, des socialistes aux Lfistes en passant par le Parti communiste, s’est engouffrée dans cette nouvelle stratégie présentée il y a quelques années par le cercle de pensée socialiste, Terra Nova : lâcher complètement les classes populaires, les classes moyennes, les ouvriers et employés-démographiquement en perte de vitesse, pour séduire les quartiers de non droit, les banlieues islamisées, cette nouvelle clientèle électorale qui augmente d’années et années. Jean Luc Mélenchon en a été le premier le promoteur.

Toutes ces classes moyennes et populaires, devant l’inaction de la gauche en leur faveur, sont passées avec armes et bagages au Front national, puis au Rassemblement national, comme le démontre la carte électorale. Ces personnes sont avant tout pour l’ordre et la discipline, une immigration contrôlée, et des sanctions sévères contre les délinquants.

Les gauches les ont totalement reniées. Le Parti socialiste est devenu un ramassis révolutionnaire, et les Lfistes des islamistes effrénés. Leur volonté de supprimer le délit d’incitation au terrorisme en est une preuve parmi des centaines d’autres, ainsi que leurs soutiens inconditionnels aux terroristes du Hamas ou du Hezbollah, et leurs appels à faire la révolution, tel que le proclame Rima Hassan.

Les gauches françaises, communistes et Lfistes compris, défendent le Venezuela Chaviste, et lorsque je suis allé, pour la rédaction de ce livre, sur les sites internet du PC « F », ce dernier soutenait encore le régime castriste qui est au bord de l’agonie, la Chine communiste contre Taiwan, la Corée du Nord et tous les paradis communistes. J’ai même lu, que l’on regrettait l’URSS d’avant Mickaël Gorbatchev. C’est tout dire.

La désinformation autour du Parti communiste « français », Michel Festivi (Dualpha), 39€.

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

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