La victime était vraisemblablement décédée depuis plusieurs jours lorsque les gendarmes ont découvert son corps.
Le mardi 21 janvier, des gendarmes de Mauron ont découvert le corps sans vie d’une femme âgée d’une soixantaine d’années dont le visage avait été en partie dévoré par ses chiens.
Domiciliée à Ménéac, une commune d’un peu plus de 1500 habitants située à près de 70 kilomètres de Rennes, la sexagénaire vivait seule avec une dizaine de canidés selon Ouest-France.
C’est un agent recenseur de la commune de Ménéac qui a donné l’alerte après avoir frappé à la porte de la sexagénaire sans obtenir de réponse tout en ayant entendu du bruit à l’intérieur du logement.
« Cette dame vivait seule et n’avait pas de famille connue »
Arrivés sur les lieux vers 17h30, les gendarmes ont alors découvert la dépouille de la victime, qui était manifestement décédée depuis plusieurs jours.
Livrés à eux-mêmes et sans nourriture, les chiens avaient commencé à manger le visage de leur maîtresse. Selon les journalistes de Ouest-France, les enquêteurs ont écarté toute piste criminelle et s’oriente vers la thèse d’une mort naturelle.
« Cette dame vivait seule et n’avait pas de famille connue. Elle ne souhaitait pas bénéficier d’aide de la part de commune », a expliqué Michel Pichard, adjoint au maire de Ménéac, dans les colonnes du quotidien régional.
Les chiens ont été pris en charge par un chenil qui dispose d’une convention avec la municipalité.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.