Samedi 28 mars, sur le parking de l’hôpital d’Armentières, près de Lille, une enquête a été ouverte après que plusieurs voitures de soignants ont été vandalisées.
Des faits ont suscité l’indignation dans la soirée de samedi, lorsque plusieurs véhicules ont été découverts avec des pneus crevés sur le parking du centre hospitalier d’Armentières. Les visites étant interdites en raison de l’épidémie de coronavirus, toutes les voitures appartenaient au personnel soignant.
Pour trouver l’auteur des dégradations, une enquête a été ouverte – et elle a porté ses fruits : lundi, grâce à la vidéosurveillance, une femme de 50 ans a été interpellée.
Mais ce n’est pas tout. Les policiers, qui ont exploité efficacement le réseau de vidéosurveillance de la ville, ont également fait une autre découverte : dans la nuit de samedi à dimanche, la même femme a commis d’autres dégradations à Nieppe, une commune proche d’Armentières.
Au total, les policiers ont répertorié une soixantaine de véhicules vandalisés. Pour l’heure, la femme a été placée en garde à vue. Mais on ignore ce qui l’a motivée à commettre de telles actions.
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