Il y a quelques semaines, alors qu’il avait l’habitude de remonter des objets sans valeur, un pêcheur à l’aimant est tombé sur un coffre intrigant. En mauvais état à première vue, ce dernier renfermait en réalité plusieurs objets de valeur !
Habitant de Neuville-sur-Escaut (Nord) et ayant commencé la pêche à l’aimant il y a peu, un homme a eu une chance incroyable, a rapporté La Voix du Nord. Il y a quelques semaines, cet habitant s’est rendu avec son fils sur le canal qui surplombe la commune pour une séance de pêche à l’aimant. Et si, d’habitude, il ne remonte que des objets sans valeur, comme « un chariot, un vélo ou des lames de rasoir », cette fois, il est parvenu à remonter deux petits coffres.
Dans le premier coffre, l’homme n’a rien trouvé. Mais dans le deuxième, qui était à moitié ouvert, l’homme a découvert des montres et des pièces, a rapporté Capital. Au début, « c’était complètement collé au coffre, tout était plein de vase et de cailloux. On ne reconnaissait pas ce que c’était », a-t-il partagé. Il a alors appelé la police pour faire part de sa découverte, cependant, on lui a indiqué que vu l’état du coffre, « ce n’était pas la peine », a-t-il précisé.
Par curiosité, et dans l’espoir de trouver quelque chose, il s’est alors mis à nettoyer tous les éléments qui se trouvaient dans le coffre. « Le plus long, ça a été de les faire tremper. Puis d’enlever la noirceur croûte par croûte », a-t-il expliqué. Une fois fait, à sa grande surprise, il a découvert une « montre Cartier » datant de 1982, « une montre Bulgari » et des pièces remontant jusqu’aux « années 1960 ».
Après un tour chez un bijoutier, ce dernier lui a indiqué que tout était bien authentique. À l’intérieur se trouvait également une loupe très ancienne, peut-être en « or de 9 ou 18 carats ». Aussi, « lorsqu’on appuie sur le mécanisme, elle se transforme en lunettes de théâtre », a-t-il détaillé.
Pour rappel, selon la loi, toute trouvaille d’un trésor « appartient à celui qui le trouve sur son propre fonds », néanmoins, lorsqu’il l’est sur le fonds d’autrui, « il appartient pour moitié à celui qui l’a découvert, et pour l’autre moitié au propriétaire de fonds ». De plus, lorsqu’on découvre quelque chose avec un détecteur de métaux ou une pêche à l’aimant, toutes les trouvailles doivent aller à l’État.
Mais pour l’heure, le pêcheur à l’aimant compte garder le trésor, non pas pour s’enrichir et le revendre, mais pour « mener des recherches afin de pouvoir remonter à son propriétaire », a-t-il conclu.
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