Mardi 15 septembre, une jument du Polo club de Chantilly a été retrouvée mutilée. Ses jours ne sont pas en danger, mais la pauvre a reçu plusieurs coups de couteau.
Les mutilations continuent, cette fois l’Oise sur une jument du Polo club du Domaine de Chantilly, situé sur la ferme d’Apremont. Dans la nuit du lundi au mardi 15 septembre, elle a été mutilée à coups de couteau, dont un près de la vulve. Les plaies sont essentiellement des zébrures et une entaille plus profonde, relate Le Parisien.
Heureusement, après avoir été conduite dans une clinique vétérinaire spécialisée, ses jours ne sont pas en danger. Sa propriétaire, choquée, a déposé une plainte. Une enquête de gendarmerie est en cours et un dispositif de surveillance a été mis en place.
« Tout le monde est un peu sidéré. Les étrangers ne savaient pas ce qui se déroulait en France avec toutes ces attaques de chevaux », raconte une habituée de l’Open de polo de Chantilly. L’événement continue son déroulement depuis début septembre, mais la découverte de cette nouvelle mutilation a jeté un froid.
C’est le second cas en quelques jours qui est signalé dans l’Oise, rapporte le Courrier picard. Dans la nuit de samedi au dimanche 13 septembre, une ânesse a eu la queue coupée dans un village près de Compiègne.
Depuis, la propriétaire de la jument, Isabelle Augereau, est très inquiète : « Je suis en train de voir comment faire pour disparaître de Google Map. J’ai retiré mes panneaux publicitaires. L’objectif, c’est d’être discret. Je suis perplexe et très inquiète. Une entreprise de sécurité doit passer me faire un devis pour installer un système de vidéosurveillance », déplore-t-elle.
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