Mercredi 2 février, à Paris, un homme accusé de s’être « frotté » à une femme dans le métro a été interpellé et placé en garde à vue. La victime était une policière qui rentrait chez elle.
L’incident a eu lieu mercredi matin vers 7 heures, sur la ligne 4 du métro parisien : alors qu’elle rentrait de son travail de nuit, une policière adjointe en tenue civil a été la cible d’un « frotteur ». En effet, lors de son trajet, un inconnu s’est collé à elle et lui a fait subir des attouchements, a rapporté Le Parisien.
Au départ, la policière s’est décalée. Cependant, l’homme a insisté et continué ses gestes. Elle lui a alors déclaré qu’elle était policière. Une annonce qui stoppa net l’individu, qui s’est excusé avant de quitter la rame. Toutefois, la policière ayant donné l’alerte, ses collègues ont rapidement retrouvé l’homme sur une autre ligne de métro.
Paris : le «frotteur» de la ligne 4 s’attaque… à une policière
➡️ https://t.co/lCc1FhQQGl pic.twitter.com/AHFJTYlA67— Le Parisien | faits divers (@leparisien_fdiv) February 4, 2022
Âgé de 37 ans, l’homme a été interpellé et placé en garde à vue dans les locaux de la sûreté régionale des transports (SRT). Pendant son interrogatoire, ce dernier a nié les faits et a affirmé vouloir mettre ses « mains dans sa poche ». Pour lui, il s’agissait donc de gestes involontaires, a rapporté Actu17. Un discours peu convainquant.
L’homme a ensuite été déféré au parquet de Paris, qui a ordonné sa comparution devant le tribunal correctionnel. À noter que 200 procédures de ce type sont traités chaque année par la branche judiciaire de la sûreté régionale des transports.
Rejoignez Epoch Times sur Telegram
? t.me/Epochtimesfrance
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.
