Lundi 8 août à Paris, des policiers ont interpellé un chauffard drogué et sans permis qui venait de commettre un refus d’obtempérer. Pour le stopper, ils ont dû percuter son véhicule lorsqu’il passait dans une petite rue.
Dans le centre de Paris lundi dernier, au volant d’une Peugeot 308, un homme a refusé d’obtempérer et a déclenché une course poursuite avec la police. Une course qui s’est terminée rue Saint-Honoré dans le premier arrondissement, lorsque les forces de l’ordre ont percuté son véhicule pour l’immobiliser, a rapporté Actu17.
Une scène qui a été filmée par un passant puis diffusée sur les réseaux sociaux :
Des victimes évitées, des passants protégés, un voyou interpellé!
A #Paris, les courageux #policiers ont réussi à stopper un fou furieux du volant grâce à un contact tactique!
Bravo à eux pour leur professionnalisme.
En #France, c’est un refus d’obtempérer toutes les 20 minutes. pic.twitter.com/8ANCEJYh5E— Matthieu Valet (@mvalet_officiel) August 10, 2022
Au final, les deux occupants du véhicule ont été interpellés et placés en garde à vue. Selon les policiers, le chauffard était sous stupéfiants et ne possédait pas le permis de conduire, a relaté Le Figaro.
Il a été jugé en comparution immédiate ce jeudi 11 août, pour « refus d’obtempérer aggravé en récidive, blessures involontaires aggravées en récidive, récidive de transport de stupéfiants, d’offre ou cession de stupéfiants et d’acquisition de stupéfiants et port d’arme de catégorie D ».
***
Chers lecteurs,
Abonnez‑vous à nos newsletters pour recevoir notre sélection d’articles sur l’actualité.
https://www.epochtimes.fr/newsletter
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.