Des photos troublantes ont fait surface montrant le cratère d’un impact dans la pelouse d’une maison londonienne où un corps a heurté le sol après une plongée d’un avion à des milliers de mètres d’altitude.
Les autorités pensent que le corps appartient à un passager clandestin, selon le journal britannique Metro. D’après les informations reçues, il est tombé d’un avion de Kenya Airways alors qu’il approchait de l’aéroport d’Heathrow pour atterrir le dimanche 30 juin.
Un post sur Facebook montrant l’enfoncement dans le sol et les plaques d’une allée écrasées a suscité de vives réactions.
« Cette personne devait être désespérée pour prendre un tel risque », a écrit l’un d’eux dans les commentaires. « Comme je me sens mal pour le gars qui prenait un bain de soleil, ça doit être un choc », a écrit un autre.
Une autre personne s’inquiétait du relâchement de la sécurité de l’aéroport, en disant : « Si une personne a réussi à monter à bord de l’avion, une bombe pourrait tout aussi bien y être placée. La sécurité doit être renforcée, comment est-il entré sur la piste ?! »
LADbible a publié l’histoire sur sa page Facebook, où elle a également recueilli de nombreux commentaires.
Une personne a écrit : « Mes condoléances à la famille et aux amis du défunt ». « À la personne décédée, je suis désolé pour vous, quelle horrible façon de mourir. »
Certaines personnes se demandaient si l’individu était mort avant de toucher le sol.
« Il était probablement mort peu après le décollage », a dit l’un d’eux. « À 5 000 mètres, vous auriez de la difficulté à respirer, à partir de 7 500 mètres, vous perdriez connaissance parce que vos poumons n’arriveraient pas à respirer et à plus de 9 000 mètres on s’approche des -60°C, donc vous seriez mort gelé. »
Très secoué
Des habitants sous le choc ont appelé la police à une adresse à Clapham, dans le sud de Londres, à 15 h 39 dimanche, a rapporté The Telegraph, quelques instants après que le corps eut touché le sol. Le corps, que l’on croit appartenir à un homme qui n’a pas encore été identifié dans les rapports, a atterri à quelques mètres d’un locataire qui était assis dans son jardin.
Un résident local, qui a demandé à ne pas être nommé, a dit au Telegraph : « J’ai entendu un bruit et je suis allé regarder par la fenêtre. Au début, j’ai cru que c’était un vagabond endormi dans le jardin. »
« Il portait tous ses vêtements et tout. J’ai regardé de plus près et j’ai vu qu’il y avait du sang partout sur les murs du jardin. »
« J’ai tout de suite réalisé qu’il était tombé », ajoute le voisin.
Le journal Metro a rapporté que l’homme qui prenait du soleil dans son jardin lorsque le corps s’est écrasé juste à côté de lui était « très secoué » par cet événement.
Un ami du locataire a dit au Sun : « Il a eu tellement de chance de ne pas être frappé et tué. L’impact a détruit le corps. »
L’ami, qui se trouvait à l’intérieur de la propriété à ce moment-là, ajouta : « Au départ, il n’a même pas réalisé quelle était la cause du bruit. Il dormait et l’impact a été énorme. »
Le Sun a identifié l’homme qui se reposait comme étant John Baldock et a rapporté qu’il était tellement traumatisé après l’incident qu’il était « incapable de parler ».
« Ce jeune homme a eu beaucoup de chance de ne pas avoir été frappé et je suis sûr qu’il aura besoin de thérapie après avoir vu une scène aussi horrible », disait un commentaire sur le post Facebook du Sun.
« C’est tellement traumatisant, c’est la dernière chose à laquelle on s’attend dans son jardin », a écrit quelqu’un d’autre.
« Bouleversant pour la personne qui se reposait dans son jardin et triste pour le pauvre qui est tombé. »
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.
