Ce 16 mars sur l’avenue des Champs-Elysées environ 80 enseignes ont subi les violences de casseurs d’extrême gauche, en marge du 18e samedi de mobilisation des gilets jaunes à Paris. Magasins pillés, kiosque et banques incendiés, dégradations des vitres et des murs des commerces, etc. les images montrent la violence de ces groupes venus pour tout casser.
Plusieurs banques et commerces ont été pris pour cible par des incendies
Un kiosque à journaux sur les Champs-Elysées a été incendié, le kiosquier dit qu’il a tout perdu et qu’il est maintenant au chômage. Du matériel des commerçants a aussi été brulé sur la grande avenue.
Plusieurs magasins de marque ont tout simplement été pillés et ravagés, leurs vitres cassées
La plaque de commémoration au capitaine de police Xavier Jugelé victime du terrorisme a aussi été vandalisée par des anarchistes
L’état de la « plus belle avenue du monde » est aussi caractéristique de la violence des affrontements avec les forces de l’ordre
Il a été comptabilisé plus de 170 millions d’euros de dégâts depuis le début en marge du mouvement des « Gilets Jaunes ».
Selon le syndicat France Police – policiers en colère, « Environ 80 % des casseurs sont membres de la mouvance de l’ultragauche (black bloc, zadistes, antifas). 10 % appartiennent à des groupuscules d’ultradroite et un socle de 10 % est composé de cas sociaux sans étiquette politique », ajoute France Police qui « déplore que les casseurs ne soient pas interpellés plus efficacement et rapidement. » Ces groupes promeuvent un mélange d’anarchie et de communisme.
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