Ce lundi, Daniel Bilalian a donné son point de vue sur la commercialisation de hijabs de sport par Décathlon dans le cadre de l’émission Points de vue diffusée sur la chaîne en ligne du Figaro.
Invité à se prononcer sur l’intention de l’enseigne Décathlon de commercialiser des voiles destinés à la pratique du sport, Daniel Bilalian a fait part de son désaccord.
« Faire en sorte que des athlètes viennent avec ce hijab, qui est une forme d’allégeance à la religion islamique, est quelque chose qui me choque profondément. Ça devrait être interdit. On a pas à courir le 100 mètres l’un avec sa croix, l’autre avec sa kippa, l’autre avec son hijab. C’est un moment où l’on fait abstraction de tout ça, c’est un grand moment universel. »
L’ancien directeur de France Télévisions est même allé plus loin, considérant que le voile islamique n’avait pas droit de cité dans l’espace public :
« Le hijab devrait être interdit dans la vie de tous les jours. On porte un voile pour aller à l’église, une kippa pour aller à la synagogue. Le voile est un signe d’infériorité de la femme par rapport à l’homme. »
« Par ailleurs, je considère que, d’une manière générale, le hijab est quelque chose qui ressemble au voile, quelque chose qui, dans la vie de tous les jours, devrait être interdit. On porte un voile pour aller à l’église, on porte une kippa pour aller à la synagogue, mais dans la rue, ça devrait être interdit », a-t-il ajouté.
« En plus, en ce qui concerne l’islam, c’est un signe d’infériorité de la femme par rapport à l’homme et ça, personne ne m’empêchera de le dire ! », conclut M. Bilalian.
Cet article vous a intéressé ? Partagez-le avec vos amis et laissez-nous un commentaire pour nous donner votre avis.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.