Alarmant les compagnies d’assurance, un phénomène a fait grimper de 40 % le taux de mortalité des travailleurs américains en l’espace d’un an, et ce n’est pas le Covid-19.
Comme nous l’avons vu au cours des deux dernières années, les données et les statistiques peuvent être manipulées et faussées de multiples façons.
La mortalité toutes causes confondues est une des données les plus fiables dont nous disposons. Il est très difficile de manipuler cette information, car soit les gens sont morts, soit ils ne le sont pas. Leur inclusion dans la base de données de l’index national des décès est fondée sur un critère principal – ils sont morts – quelle qu’en soit la cause.
À partir de là, la cause du décès, telle qu’elle figure sur le certificat de décès, est ajoutée à des statistiques plus détaillées, comme le nombre de personnes décédées d’un cancer ou d’une maladie cardiaque au cours d’une année donnée, par exemple. Mais si la cause d’un décès déterminé peut être manipulée et modifiée, le fait qu’il y ait eu un décès est plus sûr. Qui plus est, les taux de mortalité ont tendance à être très stables.
« Nous observons, en ce moment même, les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons vus dans l’histoire de ce secteur… les taux de mortalité ont augmenté de 40 % par rapport à ce qu’ils étaient avant la pandémie. » ~ Scott Davidson, PDG de OneAmerica
Comme le note une étude (non évaluée par les pairs) dirigée par le scientifique Denis Rancourt, qui a examiné le taux de mortalité aux États-Unis entre mars 2020 et octobre 2021, « la mortalité toutes causes confondues dans le temps est la donnée la plus fiable pour détecter les vrais événements catastrophiques à l’origine des décès, et pour évaluer l’impact au niveau de la population de toute augmentation subite des décès, toutes causes confondues. »
Augmentation de 40 % du nombre de décès chez les travailleurs américains
Dans ce contexte, OneAmerica a annoncé que le taux de mortalité des Américains en âge de travailler (18 à 64 ans) était, au troisième trimestre 2021, supérieur de 40 % aux niveaux enregistrés avant la pandémie. OneAmerica est une compagnie d’assurance-vie mutuelle nationale basée à Indianapolis. Lors d’une conférence de presse tenue début janvier 2022, le PDG Scott Davidson a déclaré :
« Nous observons, en ce moment même, les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons vus dans l’histoire de ce secteur – et pas seulement chez OneAmerica. Les données sont cohérentes pour tous les acteurs de ce secteur.
Et ce que nous avons vu au troisième trimestre, et que nous voyons se poursuivre au quatrième trimestre, c’est que les taux de mortalité ont augmenté de 40 % par rapport à ce qu’ils étaient avant la pandémie. Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe de trois sigmas ou d’une année sur 200 correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la période prépandémique. Donc, 40 %, c’est du jamais vu ».
Selon M. Davidson, la majorité des demandes d’indemnisation déposées ne sont pas classées comme des décès dus au Covid-19, ce qui signifie que le taux de mortalité est dû à autre chose. Comme rapporté par The Center Square :
« Les décomptes hebdomadaires des CDC, qui reflètent les informations figurant sur les certificats de décès et ont donc un décalage de huit semaines ou plus, montrent que pour la semaine se terminant le 6 novembre, il y a eu beaucoup moins de décès dus au Covid-19 dans l’Indiana qu’il y a un an – 195 contre 336 – mais plus de décès dus à d’autres causes – 1 350 contre 1 319. »
Les demandes d’invalidité ont également augmenté
Dans le même temps, OneAmerica a également constaté une hausse des demandes d’invalidité. Au début, il y a eu une augmentation des demandes d’invalidité de courte durée, mais maintenant la plupart des demandes portent sur des invalidités de longue durée.
La compagnie s’attend à ce que l’augmentation des demandes d’indemnisation lui coûte « bien plus de 100 millions de dollars », une dépense imprévue qui sera répercutée sur les employeurs qui souscrivent des polices d’assurance-vie collectives.
Au cours de cette conférence de presse, Brian Tabor, président de l’Association des hôpitaux de l’Indiana, a confirmé que les hôpitaux de l’Indiana connaissent une augmentation spectaculaire du nombre de décès et d’hospitalisations pour une grande variété de pathologies.
Non seulement le nombre d’hospitalisations dans l’Indiana est plus élevé, mais il n’a jamais été aussi élevé depuis cinq ans. Pendant ce temps, le nombre de décès quotidiens dus au Covid-19 est inférieur à la moitié de celui de 2020.
Même tendance dans de nombreux autres États et pays
Comme l’a noté M. Davidson, OneAmerica n’est pas le seul pays à connaître une augmentation sans précédent du nombre de décès supplémentaires. Le phénomène ne se limite pas non plus aux États-Unis. Les autorités indiennes de réglementation et de développement des assurances, par exemple, font également état d’une augmentation de 41 % des demandes d’indemnisation pour cause de décès en 2021. C’est presque identique à l’augmentation de 40 % signalée par OneAmerica.
Selon le blogueur Steve Kirsch, spécialiste de la sécurité des vaccins, la ville de Phoenix, en Arizona, fait état d’une hausse de 100 % du taux de mortalité chez les employés municipaux. En 2021, il était deux fois plus élevé que la moyenne sur 10 ans. « Il y a clairement quelque chose qui se passe et qui n’est pas propre à l’Indiana », écrit-il, ajoutant :
« Les chiffres de surmortalité en Europe et au Royaume-Uni semblent montrer que les jeunes meurent plus vite que les personnes âgées, et que les 0-14 ans meurent plus vite au cours du second semestre 2021 par rapport au premier. »
Les signaux de sécurité sont indiscutables
Comme l’a déclaré à plusieurs reprises le Dr Peter McCullough, cardiologue, nous avions un signal de sécurité clair dès février 2021, et il n’a fait que s’accentuer au fil du temps. Malgré cela, pas un seul examen de sécurité n’a été effectué, et nos autorités sanitaires refusent de faire face au nombre astronomique de décès.
Les médecins ont identifié plusieurs options de traitement efficaces qui peuvent réduire le taux de mortalité du Covid de 85 % ou plus. Nous aurions pu éviter tous ces décès supplémentaires en veillant à ce qu’un traitement précoce soit administré, plutôt que de nous en remettre exclusivement à un vaccin.
Les possibilités de traitement précoce
Bien que le risque global de contracter la Covid-19 ait été grossièrement exagéré, un traitement précoce est indispensable, à la fois pour éviter une infection grave et pour prévenir la « Covid-19 longue durée ». Voici quelques suggestions :
- Décontamination bucco-nasale – Le virus, en particulier le variant Delta, se reproduit rapidement dans la cavité nasale et la bouche pendant trois à cinq jours avant de se propager dans le reste du corps, il faut donc frapper là où il est le plus susceptible de se trouver dès le départ. Des recherches ont démontré que l’irrigation des voies nasales avec 2,5 millilitres de povidone iodée à 10 % (un antimicrobien) et de solution saline standard, deux fois par jour, est un remède efficace. Une autre option, légèrement moins efficace, consiste à utiliser un mélange de solution saline et d’une demi-cuillère à café de bicarbonate de sodium (un alcalinisant). Vous pouvez également vous gargariser avec ces produits pour tuer les virus présents dans la bouche et la gorge. Lorsque cela est fait régulièrement, cela peut être une stratégie préventive très efficace. Vous trouverez des guides de traitement imprimables sur TruthForHealth.org.
- Optimisation de la vitamine D – Des recherches ont montré qu’un taux de vitamine D supérieur à 50 ng/mL ramène le risque de mortalité lié au Covid à un niveau proche de zéro.
- D’autres nutraceutiques clés – la vitamine C, le zinc, la quercétine et la NAC – bénéficient tous d’un soutien scientifique.
- Médicaments clés – Pour une infection aiguë, on peut utiliser l’ivermectine, l’hydroxychloroquine ou des anticorps monoclonaux. Si les anticorps monoclonaux et l’hydroxychloroquine doivent être utilisés à un stade précoce de la maladie, l’ivermectine s’est avérée efficace à tous les stades de l’infection. On ajoute généralement de la doxycycline ou de l’azithromycine pour traiter toute infection bactérienne secondaire, ainsi que du budésonide inhalé (un stéroïde). Des stéroïdes oraux sont utilisés à partir du cinquième jour pour traiter les faiblesses pulmonaires et de l’aspirine ou de la NAC peuvent être ajoutés pour réduire le risque de coagulation. L’aspirine pure et dure est aussi généralement recommandée, mais je pense que la lumbrokinase et la serrapeptase pourraient être une meilleure alternative, ou du moins une alternative plus fiable, car elles aident à décomposer et à prévenir les caillots sanguins naturellement.
Références
Nature of the COVID-era public health disaster in the USA
The Center Square January 1, 2022
Stevekirsch.substack January 3, 2022
Roundingtheearth.substack January 3, 2022
Euromomo.eu Data as of Week 52, 2021
CDC MMWR October 29, 2021; 70(43): 1520-1524
medRxiv August 17, 2021 DOI: 10.1101/2021.08.16.21262044
EMPR.com February 6, 2020
The Journal of Pediatrics September 2007; 151(3): 266-270.el
Orthomolecular Medicine May 10, 2021
Nutrients October 2021; 13(10): 3596
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