Une étude récente assure avoir trouvé une « preuve irréfutable de causalité » entre les vaccins à ARNm et les lésions vasculaires et organiques.
L’étude, menée par les microbiologistes Michael Palmer et Sucharit Bhakdi, s’appuie essentiellement sur les conclusions formulées par les pathologistes allemands Arne Burkhardt et Walter Lang.
Voici une brève présentation des conclusions :
1. Les vaccins à ARNm ne restent pas au niveau du point d’injection. Ils se propagent dans tout le corps et s’accumulent dans divers organes.
2. Les vaccins Covid à base d’ARNm induisent une expression durable de la protéine spike du SRAS-CoV-2 dans de nombreux organes.
3. L’expression de la protéine spike induite par un vaccin provoque une inflammation de type auto-immune.
4. L’inflammation induite par les vaccins peut sérieusement endommager les organes, en particulier les vaisseaux sanguins, avec parfois des conséquences mortelles.
« Cette étude, de par le type de colorants qu’ils utilisent, apporte la preuve irréfutable que la protéine spike va partout – le cœur, les ovaires, le foie, la rate – et dans une moindre mesure, les testicules », explique pour Epoch Times le Dr Sherri Tenpenny, spécialiste en dommages vaccinaux.
« C’est ce qui conduit à la défaillance de plusieurs systèmes organiques, et à l’infertilité chez les femmes. »
« De nombreuses hypothèses ont été formulées quant aux dommages causés par ces injections. Aujourd’hui, grâce à ces clichés et aux différents types de coloration immuno-chimique, les Drs Bhakti et Palmer montrent – de manière incontestable – que la protéine spike se dissémine rapidement dans tous les organes analysés. »
« Ils sont tous deux pathologistes. Ils ont été formés pour analyser des diapositives de tissus au microscope et pour les colorer de manière appropriée ! »
Selon une déclaration pour Epoch Times du Dr Christiane Northrup, ancien membre de l’American College of Obstetricians and Gynecologists : « Ceux d’entre nous qui ont attiré l’attention sur les dangers que représentent ces injections Covid ont été largement censurés et tournés en dérision. »
« J’aurais souhaité que nous soyons dans le faux. Nous n’y étions pas. Et nous avons finalement une preuve irréfutable. »
Selon la toxicologue Janci Lindsay qui suit de près le dossier relatif au vaccin Covid depuis le début, le principal résultat de cette étude « confirme » les conclusions (in-vitro) de Markus Aldén et de ses collaborateurs quant au fait que le vaccin Covid-19 de Pfizer peut être transcrit en ADN cellulaire dans un système in-vivo.
In-vitro (« dans du verre » en latin) désigne un test ou un procédé réalisé dans une éprouvette ou en dehors d’un organisme vivant. In-vivo (« dans du vivant ») désigne une expérience réalisée dans un organisme vivant.
Les expériences menées par Pfizer sur des animaux ont montré que le vaccin se diffusait rapidement dans l’organisme.
« Le sujet était décédé mais l’examen de ses tissus montraient qu’ils exprimaient la présence de la protéine spike, neuf mois après l’injection du vaccin génétique », explique le Dr Lindsay à Epoch Times.
Selon elle, les trois seules possibilités qui peuvent se présenter sont les suivantes :
1. L’ARNm-modifié est stable dans le corps pendant neuf mois.
2. L’ARNm a été intégré au génome, comme dans l’étude menée par le Dr Aldén.
3. La personne a été en contact avec quelqu’un récemment vacciné. L’ARNm a été transmis.
L’étude réalisée par les Drs Palmer et Bhakdi indique que les « études expérimentales limitées disponibles (2015, 2018) » montrent que l’ARNm modifié injecté se dégrade « dans les jours à quelques semaines suivant l’injection ».
Mais « il est de toute évidence difficile de concilier cela avec l’expression durable observée sous une forme ou une autre, puisqu’il apparait que l’information génétique se perpétue in-vivo », indique l’étude.
« Les observations relatives à l’expression de la protéine spike effectuées neuf mois après la vaccination confirment soit l’intégration génomique de l’ARNm codant la protéine spike dans le génome des cellules qui l’expriment, soit que l’ARN messager synthétiquement modifié reste stable dans ces cellules des mois après s’être dégradé », déclare le Dr Lindsay.
« Cette expression constitutive de la protéine spike épuise le système immunitaire et/ou le rend éventuellement insensible ou tolérant à la protéine spike, ce qui permet à la protéine spike de causer d’innombrables dommages. », ajoute-t-elle.
Méthode
Les méthodes utilisées par le Dr Burkhardt sont l’histopathologie et l’immunohistochimie.
La technique est expliquée dans l’étude : « Si une particule du vaccin – composée de l’ARNm qui encode le spike, et enrobée de lipides – pénètre dans une cellule du corps, la protéine spike sera synthétisée dans la cellule, puis amenée à la surface. Là, elle pourra être reconnue par un anticorps spécifique au spike. »
« Après avoir nettoyé l’échantillon de tissu pour éliminer les molécules d’anticorps libres, les molécules liées pourront être détectées à l’aide d’un anticorps auxiliaire couplé à une enzyme, souvent la peroxydase de raifort », peut-on lire. « Ensuite, nouvelle étape de nettoyage, le spécimen est incubé avec un colorant précurseur soluble dans l’eau et converti par l’enzyme en un pigment brun insoluble. Chaque molécule d’enzyme peut rapidement convertir un grand nombre de molécules de colorant, ce qui amplifie considérablement le signal. »
Le préfixe grec histo- indique une « trame », un « tissu ».
« En haut à droite de l’image, on peut voir deux cellules qui ont été exposées au vaccin Pfizer, puis soumises au protocole décrit ci-dessus. La coloration brune intense indique que les cellules ont effectivement produit la protéine spike », peut-on lire dans l’étude, en référence à l’image 3.
Réfutation
Le 3 septembre, Health Feedback, du Vaccine Safety Net de l’OMS, a déclaré que ces allégations étaient « non fondées ».
« L’idée que l’ARNm des vaccins Covid-19 peut rester dans notre corps sur le long terme est un mythe répandu et sans fondement scientifique », a déclaré la branche de fact-checking de l’OMS.
« L’ARNm des vaccins est fragile et se dégrade rapidement sous l’effet des mécanismes cellulaires dès qu’il a délivré les instructions génétiques. On pense que la protéine Spike générée par les vaccins Covid-19 reste dans l’organisme pendant quelques semaines, comme d’autres protéines fabriquées par le corps », ajoutent-ils.
Inflammation des vaisseaux sanguins
La deuxième grande découverte, selon le Dr Lindsay, est l’observation de dommages endothéliaux – inflammation et vaisseaux sanguins dénudés de cellules endothéliales.
L’endothélium est le tissu qui tapisse les vaisseaux sanguins et d’autres organes, comme le cœur.
« La maladie causée par la protéine spike est une maladie endothéliale – tout à fait typique des myocardites, etc. », explique le Dr Tenpenny.
Le Dr Wade Hamilton est cardiologue. Il a été sanctionné par la communauté médicale pour avoir accordé des exemptions au vaccin Covid. Il commente l’étude.
« Les 13 premiers points constituent en soi une raison majeure de s’inquiéter et d’arrêter l’utilisation du vaccin Covid », explique-t-il pour Epoch Times.
« Le point 14 (étude du Dr Aldén), se rapportant au fait que l’injection peut modifier l’ADN des receveurs et par la suite l’ADN de leur progéniture, est très inquiétant. »
« Le document que j’ai envoyé (commentaire sur le Dr Aldén et ses collaborateurs) soulève des questions non résolues, les trois plus faciles à comprendre sont les suivantes :
1. La dose d’ARNm utilisée dans cette étude est supérieure à l’ARNm contenu dans l’injection Covid.
2. L’étude du Dr Aldén est réalisée in-vitro (et non in-vivo), les protections immunitaires et chimiques humaines normales ne sont pas présentes.
3. Les cellules hépatiques utilisées lors de cette expérience sont des cellules cancéreuses du foie et leur réponse à la transcriptase inverse peut ne pas être normale. »
« Il est possible, comme cela a été évoqué dans le commentaire sur l’article du Dr Aldén et ses collaborateurs, que des morceaux d’ADN ou d’ARNm persistants chez les personnes atteintes de Covid entraînent la circulation d’une protéine spike résistante comme cause de Covid prolongé. En outre, les mêmes symptômes pourraient être produits par un mécanisme analogue via le vaccin Covid », a-t-il ajouté.
Le Drs Burkhardt et Lang
L’étude publiée par les Drs Palmer et Bhakdi indique que les Drs Burkhardt et Lang ont étudié de nombreux cas de personnes décédées quelques mois ou quelques jours après avoir été vaccinées contre le Covid.
Pour tous ces cas, la cause du décès a été enregistrée comme « naturelle » ou « inconnue ».
Certains proches des personnes décédées avaient des doutes sur les diagnostiques relatifs aux causes de leur mort et souhaitaient procéder à une double vérification.
D’après l’étude, le Dr Burkhardt a constaté que « la majorité de ces décès étaient imputables à la vaccination. »
Epoch Times a récemment révélé que plusieurs embaumeurs ont observé de nombreux « caillots fibreux et caoutchouteux » importants, et parfois très longs, à l’intérieur des corps qu’ils traitaient et ont décidé d’en parler. Certains médecins pensent que ces caillots sont liés aux vaccins.
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