Nicolas de Villiers, fils de Philippe de Villiers, fondateur du parc d’attraction du Puy du Fou, est intervenu sur Europe1, suite à l’émission Complément d’Enquête, consacrée à l’histoire du parc.
« France 2 est le seul média qui visiblement est totalement insensible à ce que nous essayons de faire, c’est-à-dire une belle aventure française », a déploré Nicolas de Villiers, président du célèbre parc du Puy du Fou, alors qu’il était interviewé le 8 septembre dernier dans l’émission de Pascal Praud sur Europe1.
Le Puy du Fou avait été créé par Philippe de Villiers en 1977, lequel souhaitait faire connaître le génocide vendéen perpétré lors des guerres de Vendée par les troupes républicaines sur le peuple vendéen entre 1793 et 1796.
Le succès du spectacle fut tel, dès ses début, qu’il se développa ensuite, pour être sacré quarante ans plus tard, « meilleur parc d’attraction au monde » par le « Thea Classic Award » en 2012 à Los Angeles, puis par le « Applause Award » en 2014, à Orlando en Floride. Depuis, de nombreuses récompenses internationales lui ont également été attribuées pour certains de ses spectacles, tels que le prix du « Meilleur spectacle de l’année » pour « Le Mystère de La Pérouse », en 2018 à Amsterdam ou encore pour « Les Noces de feu » en 2020…
« Né du bénévolat »
Dans l’émission Complément d’Enquête, le journaliste revient, entre autres, sur l’historique du parc et met à bas le bénévolat existant depuis les début du parc, ainsi que l’idéologie sous-jacente d’une histoire de France chrétienne et royale…
Pour M. de Villiers, le Puy du Fou présente « le défaut d’être né du bénévolat et qui a un autre défaut, c’est celui d’entretenir ce bénévolat! »
« Aujourd’hui, le Puy du Fou n’a pas besoin du bénévolat pour vivre au sens économique. Mais le Puy du Fou a gardé en son sein, et même à sa tête, une association dans laquelle nous sommes 4.300 bénévoles… » rappelle le président du Puy du Fou.
« Parce qu’on considère que ce bénévolat irrigue l’esprit même de la maison Puy du Fou! Il permet en fait, d’écarter toute tentation de l’argent! »
Nicolas de Villiers révèle ainsi que lui-même « comme dirigeant, je ne touche pas de dividendes, je ne touche pas non plus de droits d’auteur… c’est çà que l’émission cherche à dénoncer, parce que ce bénévolat, de la tête jusqu’à la base, dérange un média comme France Télévisions, qui voudrait que toute la société soit monétarisée. »
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