Le 13 août 2018, la Suède a été le théâtre d’une série d’attaques organisées. Dans plusieurs villes du pays, une centaine de véhicules ont été incendiés par des jeunes masqués, des biens matériels ont été saccagés et des représentants des forces de l’ordre, attaqués.
Les agresseurs, qui se seraient organisés via les réseaux sociaux, n’ont pas été identifiés. Seulement trois suspects ont été arrêtés, dont un en Turquie. Des témoignages des Suédois décrivent des bandes de jeunes d’origine non suédoise, vêtus de noir et de survêtements à capuche, armés de cocktails Molotov, en train de saccager les voitures et les biens publics.
Malgré le déni de la presse suédoise, des organismes extérieurs ont observé une forte recrudescence d’une criminalité propre aux gangs du tiers monde. Violences urbaines, guerres de territoire, viols collectifs et assauts sur les femmes se sont démultipliés. Des crimes plutôt rares en Suède il y a encore quelques années. Il y a désormais plus de 60 zones dites « vulnérables » où ces criminels ont un fort impact sur la communauté et qui sont régulièrement le théâtre des affrontement urbains.
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