Selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting réalisé pour France Info et Le Figaro, un parent sur quatre n’enverra pas son enfant à l’école le 22 juin, et 56 % des Français jugent que la décision d’un retour en classes à cette date est une « mauvaise » mesure.
Un quart des parents interrogés assurent qu’ils ne mettront pas leur enfant à l’école pour ces deux semaines précédent les grandes vacances, alors que seulement 45 % ont répondu que oui, ils le feront. Les 40 % restant étaient encore en train de réfléchir à la question au moment où on la leur a posée, indique France Info.
Par ailleurs, une majorité des Français sondés, soit 56 %, estime que le retour en classes le 22 juin est une mauvaise décision.
Parmi les autres points mis en lumière par l’enquête, environ deux tiers des Français saluent le travail des enseignants pendant le confinement, assurant que ces derniers ont réussi à proposer de nouveaux outils efficaces et à s’adapter aux nouvelles réalités pour continuer à offrir un enseignement de qualité.
Par ailleurs, la cote de popularité du ministre de l’Éducation nationale Jean-Miche Blanquer a baissé, deux tiers des parents d’élèves ayant une mauvaise opinion de lui.
Selon diverses sources, même si le retour à l’école est obligatoire le 22 juin, les parents qui n’enverront pas leur enfant en classes à cette date ne risquent aucune sanction.
Le sondage a été réalisé par Internet les 17 et 18 juin 2020 auprès de 1 004 personnes.
Le saviez-vous ?
Epoch Times est un média indépendant, différent des autres organisations médiatiques. Nous ne sommes influencés par aucun gouvernement, entreprise ou parti politique. Notre objectif est d’apporter à nos lecteurs des informations factuelles et précises, en étant responsables envers notre lectorat. Nous n’avons d’autre intention que celle d’informer nos lecteurs et de les laisser se faire leur propre opinion, en utilisant comme ligne directrice les principes de vérité et de tradition.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.