WELLINGTON, Nouvelle-Zélande – « S’il vous plaît, revenez chaque année », a demandé Bruce McIntyre, fondateur de MacPac Wilderness Equipment, après avoir assisté au quatrième des cinq spectacles à guichets fermés de Shen Yun Performing Arts dans cette ville cette année.
Pendant 35 ans, M. McIntyre a dirigé MacPac, une marque spécialisée dans les équipements de loisirs de plein air. Il s’est ensuite impliqué dans d’autres activités avant de cofonder une école indépendante, la Seven Oaks School, établie à Christchurch, en Nouvelle-Zélande.
« Je pense tout simplement que c’est brillant », a lancé M. McIntyre à propos de Shen Yun le 15 avril. « J’ai été stupéfait. C’était absolument fantastique… J’ai été très impressionné ».
Fondée en 2006, la compagnie new-yorkaise Shen Yun entend retrouver et redonner vie à la culture chinoise d’inspiration divine en utilisant les langages universels que sont la musique et la danse.
Shen Yun présente des danses spectaculaires à grande échelle mettant en scène diverses dynasties et royaumes célestes, et propose également des mini-drames tirés de légendes anciennes et d’histoires contemporaines qui illustrent des vertus intemporelles.
« Je pense que c’est parfait », a ajouté M. McIntyre à propos des efforts déployés par les artistes pour faire revivre la culture chinoise d’inspiration divine.
« Nous avons simplement besoin de réalité dans notre monde et d’une connexion avec notre âme, notre esprit et la source, le Créateur. Nous avons besoin de ça, et ce spectacle nous y relie totalement et nous ramène à ce que nous avons à l’intérieur de nous », a-t-il commenté à propos de Shen Yun. « C’est incroyable. »
Pour M. McIntyre, Shen Yun offre une expérience culturelle formidable. « Il y a tellement de messages et de joie dans ce spectacle que je me sens vivant. Je suis vraiment reconnaissant de l’avoir vu et vécu. »
Il a apprécié toutes les prestations proposées par Shen Yun, qu’il a qualifiées de « très très bonnes ».
« J’aime leur énergie », a-t-il poursuivi en décrivant les danses qui se déroulent dans les contrées sauvages du Tibet et de la Mongolie. « La vitalité et l’énergie globale que dégage cette belle énergie masculine qui peut s’exprimer si merveilleusement. »
Il a également apprécié les performances réalisées par les groupes de danseuses, en les qualifiant de « très délicates ».
« Les danseurs de la compagnie sont tout à fait extraordinaires. J’adore la façon dont ils se retournent, ils s’arrêtent en quelque sorte dans les airs pendant une fraction de seconde. C’est ce qu’ils semblent faire et je les trouve tout simplement incroyables ».
« Non seulement ça, mais tout est incroyable », a poursuivi M. McIntyre, évoquant son impression sur l’intégration de tous les éléments. « La subtilité et l’ensemble de la performance… le fait que la musique soit interprétée par des musiciens présents sur place, que les danseurs évoluent au rythme de la musique, et que tout fonctionne si parfaitement. Ce sentiment d’unité. C’est assez incroyable ».
M. McIntyre « aime particulièrement » l’erhu, un instrument à deux cordes qui existe depuis des milliers d’années, qui ressemble beaucoup à une voix humaine et qui peut exprimer un large éventail d’émotions. Le son de cet instrument le rend particulièrement heureux. »
« C’était magnifique. C’est peut-être une histoire de vie antérieure, mais je me sens vraiment connecté à tout ça… Je ne sais pas, c’est comme une résonance intérieure que je n’arrive pas à décrire. C’est tout simplement magnifique. C’est juste très ancien et ça vit en moi d’une certaine manière. »
M. McIntyre a fait l’éloge des performances des vocalistes de Shen Yun, en particulier de la soprano qui s’est produite ce soir-là.
Les chanteurs primés de Shen Yun sont formés à la technique du bel canto, presque disparue, une méthode autrefois très répandue en Chine et en Europe, qui est censée donner le son le plus pur et le plus beau qui soit.
« Le chant est magnifique. Je me suis dit : ‘Comment peuvent-ils produire une telle quantité de son, comment ont-ils pu atteindre un tel niveau ? Il n’y avait pas de microphones. Je n’ai pas vu de microphones, et c’est une femme qui a émis ce son. C’est vraiment impressionnant. »
Reportage réalisé par NTD et Mimi Nguyen Ly.
Epoch Times est un partenaire privilégié de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
