Coup de tonnerre pour les Bleus : l’ouvreur du XV de France, Romain Ntamack, touché à un genou, doit déclarer forfait pour la Coupe du monde (du 8 septembre au 28 octobre), a indiqué lundi à l’AFP une source proche du joueur.
Blessé samedi lors de la victoire contre l’Écosse (30-27), le joueur du Stade toulousain (24 ans, 37 sélections) souffre d’une rupture du ligament croisé du genou gauche, selon le quotidien L’Équipe.
L’ouvreur tricolore Romain Ntamack, qui s’est rompu les ligaments croisés du genou gauche, manquera finalement la Coupe du monde.https://t.co/Adl4eLD6bp pic.twitter.com/qk80FcM3la
— L’ÉQUIPE (@lequipe) August 14, 2023
Sorti à la 56e minute de ce deuxième match de préparation, à Saint-Étienne, Ntamack s’est fait mal sur un plaquage et avait été remplacé numériquement par le jeune ailier de Bordeaux-Bègles, Louis Bielle-Biarrey, son partenaire de club Thomas Ramos prenant sa place à l’ouverture aux côtés du demi de mêlé et capitaine Antoine Dupont.
Le sélectionneur Fabien Galthié, n’avait pas montré de signe d’inquiétude après la rencontre. « On a préféré le sortir pour que ça reste sans conséquence. Il a été vu par le médecin, les kinés et on décidera demain (dimanche, NDLR) en fonction de l’évolution s’il y a besoin d’examens complémentaires », avait-il expliqué. C’est donc très ému qu’il prend la parole ce matin à Capbreton.
En son absence, le demi d’ouverture de l’UBB Matthieu Jalibert devrait être le numéro 10 titulaire lors de la Coupe du monde, que les Bleus débutent par un choc face aux All Blacks.
Le XV de France est actuellement en stage à Capbreton, dans les Landes, avec un prochain match de préparation contre les Fidji samedi à Nantes.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.