Une information judiciaire en « recherche des causes de la mort » a été ouverte après le décès lundi d’un Sétois âgé de 22 ans, vacciné quelques heures auparavant.
Dans une vidéo diffusée sur Facebook sur laquelle on voit en plan fixe un certificat numérique européen de vaccination portant le nom de la victime, un homme se présentant comme son père explique que son « seul fils », son « aîné », s’était fait vacciner à Sète dans l’Hérault pour pouvoir partir en Grèce avec un ami.
Le jeune homme blond aux yeux clairs « est décédé après un choc allergique à 23H00 après avoir été vacciné à 14H00 », assure-t-il sur cette vidéo. « Mon fils avait 22 ans, 22 ans. Il est criminel de mettre sur le marché des vaccins qui ne sont pas certifiés, qui n’ont pas été vérifiés… », accuse-t-il.
« Je ne suis pas anti vaccin »
Selon Libération, le père a expliqué que son fils Maxime, qui « avait fait des œdèmes de Quincke quand il était petit », l’avait signalé lorsqu’il est allé se faire vacciner lundi, à 14 heures au centre de Sète.
« Je ne suis pas anti vaccin‚ je ne m’inscris pas dans ce débat. Ma démarche est républicaine. Je crois en la police et au système judiciaire. Je veux simplement savoir ce qu’il s’est passé. Peut-être que la mort de mon fils pourra servir à d’autres familles. Si on peut éviter que cela arrive à un autre enfant », déclare le père de la victime Frédéric Beltra à CheckNews (Libération).
Expertise en cours
Une autopsie sera réalisée à l’initiative du juge d’instruction, a ajouté le parquet de Montpellier.
Interrogée mercredi par l’agence France Presse (AFP), l’Agence régionale de santé Occitanie a indiqué qu’une « expertise était en cours » et que ses services étaient « fortement mobilisés » pour faire la lumière sur les causes de ce décès.
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