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Shen Yun, « à l’opposé de l’image que l’on peut avoir de la Chine actuelle », estime un expert en informatique

6 avril 2024

PARIS — Du 4 au 7 avril, Shen Yun est de retour au Palais des Congrès de Paris.

Marie Auvray Lathière, DRH, a trouvé le spectacle « très beau, très gracieux, coloré et très synchronisé ». En tant qu’architecte urbaniste, Philippe Lathière a été impressionné et très intéressé par les paysages majestueux affichés sur le fond de scène animé numérique.

Il a aussi « beaucoup aimé la synchronisation entre les scènes dansées et les personnages qui partent après sur l’écran », faisant référence à la technologie unique du fond de scène connecté aux mouvements des danseurs.

Mme Auvray a pu identifier « cette bonté qu’on voit dans ce spectacle où tout est uni. Ils sont tous ensemble et toujours avec des belles couleurs, des belles choses. »

Marie Auvray Lathière, DRH, et Philippe Lathière, architecte urbaniste, sont venus découvrir Shen Yun à Paris, le 4 avril 2024.

Shen Yun se traduit par « la beauté des êtres divins qui dansent », mettant à l’honneur la croyance des anciens Chinois en une culture héritée du divin. La recherche de l’harmonie entre le Ciel, la Terre et les Hommes était au cœur de la spiritualité. Aussi Philippe Lathière explique-t-il « qu’il ne faut pas voir ce spectacle dans l’esprit de la Chine actuelle, il faut voir ce spectacle comme la Chine ancienne, avec les valeurs de l’époque, notamment les valeurs déistes qui ont complètement disparu dans le monde contemporain dans la Chine. »

Eric Filiol, expert en cryptologie et en virologie informatique, s’est dit « enchanté » par le spectacle. Il a également été impressionné et surpris par « les effets visuels » créés par le fonds de scène numérique animé.

Ce chercheur a aussi été interpellé et touché par les références au divin. « Par rapport à ma propre foi chrétienne, il y a des choses… c’est apaisant, c’est à l’inverse de la Chine que l’on connaît actuellement », a-t-il confié expliquant ensuite que « les paroles de chansons » interprétées par le ténor, sont « proches de nos propres croyances chrétiennes ».

Aussi a-t-il pu identifier « la bonté, la paix, la sérénité », des valeurs qui sont « à l’opposé de l’image que l’on peut avoir, nous, Occidentaux, de la Chine actuelle. »

Pour M. Filiol, Shen Yun « nous aide à nous rappeler qu’en réalité, c’était une société assez délicate, au niveau artistique, la littérature, la musique était extrêmement raffinée. »

Sam Tannous ne s’attendait pas à un niveau artistique aussi performant. Ce directeur de société s’est enthousiasmé par « les pirouettes avant, arrière, les sauts périlleux, la danse classique, le ballet… une grande beauté ! »

Sam Tannous, directeur de société, est venu découvrir Shen Yun à Paris, le 4 avril 2024. (NTD)

Outre la danse classique chinoise, M. Tannous a été touché par les « traditions anciennes » présentées par Shen Yun. « Le Créateur qui revient sur Terre pour sauver les vies et sauver de la déchéance et des mauvais esprits, ça fait penser aussi aux traditions de notre ère occidentale. Il y a un grand parallèle entre les deux civilisations. »

Se disant « apaisé », le directeur de société estime que Shen Yun apporte « une grande réflexion, une méditation qui aide la personne à être meilleure et à vivre dans la paix ».

Reportage par NTDTV et Sarita Modmesaïb.

Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.