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Shen Yun : « du bonheur, et puis… on oublie tout ! », s’exclame un spectateur à Toulon

avril 4, 2025 8:12, Last Updated: avril 4, 2025 8:12
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TOULON – C’est sur les hauteurs de New-York qu’a débuté la renaissance de la culture chinoise en 2006. Cette mission, Shen Yun a décidé de la réaliser en utilisant la danse classique chinoise comme mode d’expression. Dix-neuf ans plus tard, les huit compagnies de l’entreprise se produisent devant près de deux millions de spectateurs par an. Depuis le 2 avril 2025, c’est au tour de Toulon de recevoir Shen Yun.

Au Zénith de Toulon, la première compagnie de danse classique chinoise au monde se produit du 2 au 6 avril 2025. « C’est extraordinaire, extraordinaire », s’exclame Jean-Claude Dmitrieff, président de l’entreprise Socofipat et courtier en assurance, après avoir assisté à la première des six représentations prévues à Toulon. « Il y a une perfection dans les mouvements. La synchronisation est formidable. »

« C’est une très belle chorégraphie et puis c’est très varié, Il y a de l’histoire, il y a des belles images et puis la performance aussi », continue-t-il.

« C’est vraiment très, très beau. C’est très technique et c’est quasiment la perfection », ajoute Annette Dmitrieff, enseignante en langues vivantes à la retraite. « J’ai fait beaucoup de danse quand j’étais jeune, donc je vois tout à fait la technique qui est poussée vraiment à fond et à la perfection. C’est très plaisant. »

La retraitée a remarqué « un bel état d’esprit » dans le spectacle. Le couple a identifié des valeurs de simplicité, de joie, de bonté et d’espoir pendant la représentation de Shen Yun. Des valeurs qui « font du bien, surtout à l’heure actuelle » selon Mme Dmitrieff.

« Ce sont les valeurs qu’il faut transmettre au monde entier », affirme Jean-Claude Dmitrieff. « C’est un message de joie, d’espoir. »

Le courtier en assurance a ressenti « du bonheur » pendant ces deux heures de spectacle. « Et puis… On oublie tout ! »

Sa femme a connu le même sentiment : « C’est vrai que ce qu’on ressent, enfin ce que j’ai ressenti, c’est beaucoup de bonheur et de joie devant toutes ces couleurs ».

« C’est beau, c’est joyeux. Comment dire ? On aimerait que la vie soit comme ça », conclut Jean-Claude Dmitrieff.

 

Johanna Aparicio, directrice et fondatrice d’une école de danse, et ses élèves Maya et Kiara Dousteyssier avec leur famille au Zénith de Toulon lors de la représentation de Shen Yun du 2 avril 2025. (Epoch Times)

Ce mercredi 2 avril en soirée, la directrice et fondatrice d’une école de danse de Saint-Cyr-sur-Mer, entre Marseille et Toulon, se trouvait parmi les spectateurs accompagnée de deux de ses élèves.

La professeure de danse a trouvé les artistes « très aériens, surtout les danseurs quand ils commencent à faire leurs acrobaties, on ne les entend même pas retomber en fait. Même quand ils font des grands sauts-écarts, on n’entend presque rien. C’est juste incroyable. »

« Et les danseuses, on dirait qu’elles volent. Elles sont très charismatiques, très légères, vraiment très fluides », remarque-t-elle.

Mme Aparicio est venue assister à la représentation de Shen Yun accompagnée de la famille Dousteyssier, qui aime beaucoup voir d’autres styles de danse. En effet, les deux filles de la famille, Maya et Kiara, font de la danse en tant que pré-professionnelles. Toutes deux font partie du groupe Tataki qui a gagné le World of Dance de l’année 2024 à Los Angeles, une fierté pour leur enseignante et la troupe championne du monde.

Les trois danseuses ont été inspirées par un pas en particulier qu’elles ont remarqué pendant la représentation de danse classique chinoise. « J’ai vu à un moment donné, il y avait un danseur qui faisait ce que nous appelons des barrel jump, en tournant, en mettant les mains plusieurs fois, ils vont commencer d’affilée. Ça m’a inspiré », témoigne Johanna Aparicio, pensant déjà à intégrer ce pas dans une prochaine chorégraphie du groupe Tataki.

« Le même pas nous a inspiré », constate Maya Dousteyssier, parlant aussi pour sa sœur. « J’ai trouvé que la chorégraphie en rose, avec les genres de manches voiles qui vont dans les airs, c’est très joli. »

Au sujet de la danse classique chinoise, la directrice d’école de danse trouve que « ça se rapproche quand même de la danse classique en France, ce que nous connaissons. Il y a des similitudes, c’est très aérien, très léger. Il y a aussi beaucoup de grâce et beaucoup d’ensembles et de synchronicité entre eux. C’est très agréable à voir. »

Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.

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