BORDEAUX — Ce lundi 5 février en soirée, Hervé Bozec, un chef d’entreprise de la région bordelaise, se trouvait à l’Arena Arkea pour découvrir Shen Yun.
« C’est une bouffée d’énergie et ça donne envie d’aller en Chine et de découvrir ce merveilleux pays », s’est enthousiasmé le chef d’entreprise, impressionné par « le niveau artistique très élevé ».
Pour M. Bozec, Shen Yun est tout simplement, « un rayonnement, avec une découverte à travers les millénaires de ce qu’est la culture chinoise ». En effet, la compagnie, basée à New-York, s’est donnée pour mission de faire revivre les 5000 ans de la très riche histoire et culture chinoise.
Outre l’énergie ressentie, le chef d’entreprise a aussi été touché par « la spiritualité », « un axe essentiel du spectacle ».
« Un mix entre la musique classique occidentale et la musique chinoise »
Hugues et Marie Christophe, tous deux médecins généralistes, étaient aussi présents ce lundi afin de découvrir la culture traditionnelle chinoise à travers la danse et la musique classique chinoise.
« Chorégraphie superbe ! Organisation superbe » a déclaré M. Christophe. Ce médecin a déclaré que « tout au long du spectacle, il y a des messages, il n’y a pas seulement le côté danse, le côté ludique, il y a une spiritualité qui s’en dégage, qui est très agréable ! »
Le couple a particulièrement apprécié l’orchestre de Shen Yun, unique car c’est le seul orchestre à combiner des sonorités asiatiques d’instruments de musique orientaux avec un orchestre traditionnel occidental. « J’ai beaucoup aimé, parce que c’est un mix entre la musique classique occidentale et la musique chinoise », a déclaré M. Christophe, précisant que les prestations des solistes instrumentaux, notamment le tableau présentant l’erhu, joué par Kai Xi, étaient « très, très bien ».
Bruno et Elisabeth Vaesken sont un couple de journalistes spécialisés dans le tourisme et les voyages. Depuis leurs fauteuils de l’Arena Arkea, ils ont pu découvrir les paysages grandioses de la Chine traditionnelle ainsi que des ethnies qui peuplèrent la Terre du milieu pendant des milliers d’années.
« Nous apprécions beaucoup et nous trouvons que c’est une approche de la culture chinoise ancienne que nous ne connaissons pas vraiment », a reconnu Bruno Vaesken.
Mme Vaesken s’est dite » très impressionnée par le côté féerique » du spectacle, notamment lors du tableau dansé des « manches gracieuses », où des dames évoluent avec de fluides « manches d’eau », incarnant la double nature de l’eau, à la fois douce et apaisante, mais parfois impétueuse et indomptable…
« Beaucoup d’ingéniosité dans cette création »
« La dimension numérique » du spectacle, présentant la Chine ancestrale et traditionnelle à l’aide de techniques audiovisuelles exceptionnelles a aussi ravi ce couple de journalistes.
« Je pense qu’il y a vraiment beaucoup d’ingéniosité dans cette création et cette invention de ce mélange. Quand on les voit partir, quitter la scène et partir dans cette dimension, je dirais… digitale, c’est assez extraordinaire ! » Un brevet a ainsi été déposé par la compagnie Shen Yun permettant d’intégrer un « arrière-plan numérique aux performances scéniques ». En d’autres termes, cette invention de Shen Yun Performing Arts est un système qui permet aux artistes d’aller et venir entre la scène et l’arrière-plan animé.
Reportage par NTDTV et Sarita Modmesaïb.
Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
